Emblématique : le viol ignoble d’un adolescent français par un Arabe en Ile-de-France

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Une affaire ignoble, dont chaque détail est révoltant, et montre à quel point nous ont mené les hommes politiques, les juges, les journalistes, le monde médiatique, la gauche et la fausse droite en général.

Pour un public averti :

« Un Algérien en situation irrégulière, très connu de la justice et sous OQTF a agressé sexuellement et violé un adolescent de 15 ans à Persan.
Le jeune garçon se trouvait dans un train de la ligne H lorsque l’homme s’est approché de lui pour l’agresser sexuellement. Sous le choc, la victime est descendue en gare de Persan et a tenté d’alerter un chauffeur de bus. Mais celui-ci n’a pas pris ses déclarations au sérieux et lui a demandé de quitter le véhicule. L’horreur a continué : l’Algérien sous OQTF avait suivi l’adolescent, l’a emmené de force dans un endroit isolé et l’a violé, avant de prendre la fuite. L’individu a été interpellé grâce aux investigations menées par les enquêteurs. Il devait être placé dans un centre de rétention administrative (CRA) mais aucune place n’a été trouvée. Il a été déféré ce mercredi devant le tribunal de Pontoise en vue de sa mise en examen. » (source Bastion)

Le chauffeur de bus mérite lui aussi une lourde condamnation (comme les juges impliqués dans le suivi de ce criminel étranger). Et pourquoi n’a-t-il pas agi ? Par mépris pour un jeune Français ? Quand on connaît leur nationalité habituelle, la question est légitime.

En tout cas, que les Français supportent des crimes comme celui-ci (fréquents mais pas souvent médiatisés) sans rébellion ou représailles populaires restera probablement aux yeux des historiens du futur un phénomène un peu incroyable.

C’était un… 25 septembre :

1597 : après avoir repoussé les Espagnols à Amiens, Henri IV est enfin maître de son royaume.

Montesquiou Fezensac, Leon.jpg1915 : l’écrivain comte Léon de Montesquiou-Fezensac, secrétaire général de la Ligue d’Action française, qui a rejoint comme lieutenant le 2e de marche du 2e Etranger, tombe « glorieusement » sur le front de Souain, sur le terrain même de la fameuse bataille des champs catalauniques, à l’âge de 42 ans.

1956 : un rapport secret de Nicolas Podgorny, au comité central du Parti communiste d’Union soviétique, indique que, dans la période 1944-1955, plus de 150 000 membres de l’OUN (Organisation des nationalistes ukrainiens, dirigée par Stéphane Bandera) et de l’UPA (« Armée insurectionnelle ukrainienne » sa branche militaire) ont été tués, 103 828 membres arrêtés et 60 000 familles « de nationalistes et de leurs complices », soit 203 662 personnes, ont été déportées à titre de « mesures de rigueur ». Les pertes soviétiques dans la même période s’élèvent à 23 000 hommes, donnant une idée de l’ampleur de la résistance anti-communiste.

Source : Ephémérides nationalistes

C’était un… 24 septembre

768 : mort, à Saint-Denis, de Pépin le Bref, fils de Charles Martel et père de Carloman (qui ne régna que quatre ans) et de Charlemagne. Issu d’une lignée de maires du palais (véritables détenteurs du pouvoir sous les derniers Mérovingiens), il s’était fait proclamer roi des Francs en 751, envoyant au monastère dernier roi mérovingien Childéric III. Il est le fondateur de la dynastie carolingienne.

Gisant de Pépin le Bref et sa femme Bertrade de Laon (dite Berthe aux grands pieds) à la Basilique de Saint-Denis.

1715 : mort, près d’Epernay, du moine bénédictin Dom Pérignon, inventeur du procédé de champagnisation.

1852 : l’ingénieur français Henri Giffaud réalise le premier vol en ballon dirigeable, reliant Paris à Trappes.

1853 : la France prend officiellement possession de la Nouvelle-Calédonie, avec l’arrivée du contre-amiral Febvrier Despointes. Une précédente expédition avait été conduite en 1850, pour compléter l’hydrographie de l’île, mais l’équipage avait été dévoré par les Canaques, hormis trois marins faits prisonniers. La colonie prendra son essor avec l’arrivée des proscrits et des Communards. En 1878, les Canaques massacrèrent 128 Blancs et brûlèrent leurs maisons.

1871 : création, par le marquis de la Tour du Pin et Albert de Mun (tous deux avaient été camarades de captivité en 1870), de l’Œuvre des cercles catholiques ouvriers, fer de lance du catholicisme social. Considéré comme le maître du corporatisme, La Tour du Pin fut l’un des premiers à rejoindre, en 1899, l’Action française. Il a exposé sa doctrine dans un ouvrage fameux : « Vers un ordre social chrétien ».

► pour des livres de la Tour du Pin ou sur lui, voir ici. Sur le catholicisme social en général, voir le livre de Léo Imbert.

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Les enfants européens attaqués de plus en plus sauvagement par de jeunes étrangers

 

« L’horreur dans un parc de Rome en Italie : un petit garçon de 8 ans qui fêtait son anniversaire a été attaqué à la barre de fer et défiguré par 3 migrants âgés de 7 à 11 ans.
Alors que la fête touchait à sa fin, l’enfant a été frappé à coups de pieds, de poings et de barre en fer au visage, dans le jardin public du quartier de Fidene. Hospitalisé en urgence absolue, la victime souffre de multiples fractures faciales et devra subir de nombreuses opérations de reconstruction du visage. Les agresseurs sont 3 frères d’origine étrangère vivant avec leurs parents dans des logements sociaux. Ils ne seront pas poursuivis par la justice, étant âgés de moins de 14 ans. » (Le Parisien via Bastion)

23 septembre 1939 : mort de Freud

Ce darwiniste forcené et cocaïnomane invétéré, génial fumiste, aura été le fondateur d’une pseudo-science psychologique : la « psychanalyse », qui a la particularité de rendre névrosés ceux qui ne l’étaient pas avant de l’approcher.

Charlatanerie mêlant le vrai et l’absurde, le fatras monté par Freud et ses compères (presque uniquement ses coreligionnaires) tourne principalement autour du sexe – véritable obsession –, auquel tout est ramené.

En fait, Sigmund Freud a largement plagié le docteur Jean-Martin Charcot (un peu comme Einstein a plagié le Français Poincaré) concernant l’hystérie, l’inconscient, la suggestion par l’hypnotisme, le « ça », le « moi », etc., mais a ajouté ses délires pansexualistes.

La « théorie » fondamentale de la psychanalyse est basée sur le « complexe d’Œdipe » défini en l’occurrence comme le désir inconscient qu’aurait tout enfant de tuer son père pour entretenir des rapports sexuels avec sa mère…
Pour Freud, « l’enfant est un pervers polymorphe »…

Il n’est pas précisé, dans la pourtant très copieuse fiche wikipedia de Freud, que ce dernier a lui-même connu l’inceste dans sa jeunesse.
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23 septembre 1940 : l’agression britannique sur Dakar

Vue du pont arrière du croiseur Georges Leygues

Un article de José Castano :

« Après avoir été donné à la France par le traité de Paris, le 30 mai 1814, Dakar devint, en 1904, la capitale de l’Afrique Occidentale Française (AOF). Située à l’extrémité occidentale de l’Afrique, elle occupait, en 1940, une position stratégique considérable qui faisait bien des envieux. Au point de séparation de l’Atlantique Nord et Sud, en avancée face à l’Amérique Latine, sur le chemin entre l’Afrique du Sud et l’Europe, Dakar intéressait tout le monde et en premier lieu les Britanniques qui, sur le chemin traditionnel de l’Afrique australe et de l’Asie par le Cap, retrouvaient là l’un des enjeux de leurs rivalités coloniales avec la France et voulaient profiter de son écrasement.

En septembre 1940, le Maréchal Pétain avait confié au général Weygand la délégation générale du gouvernement en Afrique et le commandement en chef des troupes. Ainsi se trouvait affirmée la volonté de défendre l’Afrique mais aussi de préparer les moyens de la revanche.

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C’était un 22 septembre…

1711 : parti de France le 9 juin et ayant débarqué le 12, le corsaire René Duguay-Trouin se rend maître de Rio de Janeiro, la plus riche colonie portugaise au Brésil. Cette victoire fit grand bruit en Europe, tant par la hardiesse de l’entreprise que par la vigueur de l’exécution.

1793 : défaite des Bleus (les républicains) à Saint Fulgent face à Lescure et Charette. Westermann doit s’enfuir à la Châtaigneraie. En 5 jours, la Vendée a remporté cinq éclatantes victoires et rompu le cercle des 115 000 hommes, qui, d’après le plan de Canclaux, devaient l’écraser.

Description de l'image Bataille de Saint-Fulgent 1793.jpg.
Bataille de Saint-Fulgent, 1793.

1862 : tentant d’arrêter l’avancée sudiste, le président yankee Abraham Lincoln proclame l’émancipation partielle et conditionnelle des esclaves noirs, « chez les États rebelles seulement » !

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« En interdisant les étrangers, la piscine de Porrentruy explose sa vente d’abonnements »

Tel est le titre explicite d’un article d’un gros média suisse.

Une piscine en Suisse

« La piscine de Porrentruy a fait polémique cet été. Après plusieurs incidents impliquant des baigneurs français […], elle a interdit l’accès aux étrangers, réservant ses portes aux seules personnes résidant ou travaillant en Suisse.
[…] Une interdiction globale de baignade pour les personnes étrangères est problématique et irritante», a écrit la Commission fédérale contre le racisme (CFR).
[…] Malgré la controverse, le bilan de la saison est jugé positif. «Les locaux se sont réapproprié leur piscine, nous y retrouvons maintenant le calme et la sérénité», déclare Lionel Maitre dans «Le Quotidien Jurassien». Lionel Maitre est le responsable politique du secteur des loisirs au Syndicat intercommunal du district de Porrentruy (SIPD). Le SIPD relève en effet une forte hausse du nombre d’abonnements […] » (Blick)

Evidemment, tout le monde sait que ces « Français », qui viennent mettre le bazar en Suisse, ne sont que citoyens de la République, et nullement de véritables Français.
Cette mesure suisse, si elle porte aussi préjudice à de vrais Français qui ne pourront pas fuir l’enfer multiethnique français pour aller jouir d’une société civilisée, donne l’idée de ce que nous avons perdu en France, et quel bonheur la remigration génèrerait.

15e dimanche après la Pentecôte (textes et commentaire)

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), avec leur commentaire.
Aujourd’hui l’Église nous rappelle l’épisode si touchant de la résurrection du fils d’une veuve par le Christ. L’Épître mérite d’être lu, relu et médité.

« Le Christ nous arrache à la mort du péché, comme il a autrefois arraché le jeune homme de Naïm à la mort naturelle, et en cela il obéit à la compassion que lui inspire notre mère l’Église qui pleure sur les pécheurs, comme il s’était laissé touché par la pauvre veuve désolée qui pleurait son fils. – Il faut que cette vie surnaturelle, qui est celle de l’Église, demeure toujours en nous et porte ses fruits qui consistent à pratiquer l’amour du prochain et la défiance de nous-mêmes, puisque nous ne sommes quelque chose que par Jésus-Christ. (Ép.) »

Dom G. Lefebvre

TEXTES AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres)

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Video virale : au Royaume-Uni, un homme rattrape le voleur de son téléphone

Certains internautes notent qu’un autre homme blanc vient à son aide (est-ce le début d’un changement des mentalités?) mais qu’en revanche, les personnes non blanches – comme le voleur – ne bougent pas, sinon pour inviter les victimes à se « calmer » vis-à-vis du voleur.
Beaucoup d’Occidentaux ignorent les dynamiques et solidarités raciales, qui expliquent pourtant beaucoup de choses.

C’était un 20 septembre : la bataille des champs catalauniques

En l’an 451, les Huns connurent une défaite lourde de conséquences.

Cette confédération de barbares européens et asiatiques menée par Attila, dont le gigantesque empire était basé en Pannonie (Hongrie), entendait conquérir la Gaule.
Après avoir franchi le Rhin, les Huns détruisirent Metz. Mais ils se détournèrent de Paris suite à l’opposition menée par Sainte Geneviève, avant de se casser le nez sur la résistance d’Orléans. Quinze jours après, près de Chalons-en-Champagne se déroula la bataille des Champs catalauniques où les Huns furent battus par une coalition.

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C’était un… 19 septembre

1793 : à Torfou, victoire des Vendéens, commandés par Charette, face à l’armée dite « de Mayence », des soldats républicains commandés par Kleber.

► pour des livres, bandes dessinées et DVD sur la chouannerie et les guerres de Vendée, voir ici.

1812 : mort à Francfort, de Meyer Amschel Rothschild, le fondateur de la puissance financière de la famille.
Destiné à devenir rabbin, il entra chez un banquier de Hanovre où il se constitua un petit capital qui lui permit de s’installer comme prêteur et changeur à Francfort.
Il gagna la confiance du Landgrave de Hesse et devait rendre des services à l’Angleterre en lutte contre la France.
Il laissa cinq fils, anoblis par l’empereur Habsbourg d’Autriche en 1815 et faits barons en 1822. Son fils Nathan se constitua une énorme fortune en manipulant les cours de la bourse à l’occasion de la bataille de Waterloo.

1826 : disparition de William Morgan, ancien franc-maçon qui menaçait de dévoiler les secrets de la maçonnerie américaine. Le 10 septembre précédent, l’imprimerie qui devait publier son ouvrage fut incendiée. Le lendemain, Morgan fut arrêté sous un prétexte fallacieux. Rapidement disculpé, il fut à nouveau arrêté pour une dette de 2,68 dollars remontant à plus de cinq mois. Un inconnu régla sa dette le 12 septembre et emmena Morgan.
Il disparut finalement le 19 et ne fut jamais retrouvé vivant, ayant été très certainement tué par des « frères ». En octobre 1827, son corps fut repêché dans le lac Ontario. Le scandale fut énorme.
Dès 1828 fut fondé le « Parti anti-maçonnique ». Son candidat obtint, aux élections de 1832, plus de 1 300 000 suffrages et le parti compta jusqu’à 25 représentants à la Chambre, l’année suivante.
Entre 1827 et 1830, le nombre de loges de New York passa de 480 à 30 et celui de leurs membres de 20 000 à 3 000. Les loges ne reprirent leur essor qu’à partir de 1840.

1846 : apparition de la Sainte Vierge à la Salette (Isère), devant Maximin Giraud (11 ans) et Mélanie Calvat (14 ans).

« On ne respecte plus le dimanche, jour du Seigneur, on jure sans cesse en ne respectant pas le nom de mon Fils. Si mon peuple ne se convertit pas, il lui arrivera de grands malheurs. Je ne peux plus retenir le bras de mon Fils »

► pour des livres sur la Salette, voir ici.

1870 : début du siège de Paris par l’armée prussienne.

1914 : bombardement de la cathédrale de Reims par l’artillerie allemande.
Le toit, la charpente et le clocher de l’ange sont détruits. Le retentissement est mondial et Reims, déjà bombardée plusieurs fois, acquiert le statut de ville martyre.

la cathédrale de Reims en feu après le bombardement.

1946 : appel de Churchill, à Zurich, pour une union européenne. Ce jour peut être considéré comme la date de lancement de l’UE.

Source : Ephémérides nationalistes

18 septembre 1981 : abolition de la peine de mort en France

Le projet de loi abolissant la peine capitale, présenté par Robert Badinter, fut adopté par l’Assemblée nationale le 18 septembre 1981 (par la majorité de gauche mais aussi certaines voix de droite dont celles de Jacques Chirac et de Philippe Séguin), puis par le Sénat le 30 septembre 1981.
Badinter, avocat cosmopolite né en 1928, fut l’artisan majeur de cette petite révolution judiciaire (avec François Mitterrand, dont ce fut l’une des premières mesures), qu’il avait entamée en défendant et  sauvant de la guillotine Patrick Henry.
Ce dernier avait assassiné un enfant de 8 ans, qu’il avait kidnappé en demandant une rançon. Son procès s’ouvrit en 1977 et le tueur fut condamné à la prison à vie au lieu de la peine capitale.
Bien sûr, sa « perpétuité » n’atteint pas son terme et pris fin en 2001 alors que le détenu avait 48 ans.

La traditionnelle pyramide des peines lourdes fut décapitée avec l’abolition de la peine de mort, qui fut prise contre l’avis majoritaire des Français à l’époque !
En effet d’après des sondages d’octobre 1981, 62% des Français voulaient le maintien. Telle est la démocratie…
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C’était un… 17 septembre :

1394 : cent ans après l’Espagne, le roi de France Charles VI signe un décret bannissant perpétuellement les Juifs, aussi bien « de Languedoc comme de Languedoïl ». Tous comptes faits et toutes dettes réglées, ils doivent avoir « widié » le royaume avant le 3 décembre.
Un chroniqueur contemporaine relate : « Les usures des Juifs, qui devenaient de jour en jour plus odieuses et qui s’étendaient sur tout le royaume, avaient réduit plusieurs familles à la plus affreuse misère. Aussi ces ennemis de Jésus-Christ s’étaient-ils attiré la haine de tous les Français. […] Comme les Juifs tournaient en dérision le culte des chrétiens, la plupart de ceux qui vivaient continuellement avec eux perdaient toute l’ardeur de leur foi. C’était une honte pour le royaume de France, et il s’ensuivait de graves inconvénients. » (Chronique du religieux de Saint-Denys)

1665 : mort à Madrid, de Philippe IV, souverain espagnol. Ce décès déclenche la « guerre de dévolution » (qui durera jusqu’en 1668). Louis XIV réclame pour sa femme Marie-Thérèse, fille aînée du défunt, les provinces flamandes et la Franche-Comté.

1759 : chute de Québec, prise par les Anglais qui l’assiégeaient depuis trois mois.

• 1793 : petit rappel démocratique.
Ce jour, à la veille d’instaurer la Grande Terreur, la Convention vote la « loi des suspects ».
Elle permet l’arrestation de ceux qui « n’ayant rien fait contre la Liberté, n’ont rien fait pour elle ».
Tout le monde est menacé et les massacres vont prendre de l’ampleur. En un an, 500 000 « suspects » ont été arrêtés, et 300 000 placés en résidence surveillée. Notez que les manuels scolaires préfèrent évoquer avec effroi les minces « lettres de cachet » royales.

1863 : mort, à Paris, de l’écrivain royaliste Alfred de Vigny. Son livre Cinq-Mars (1826) fut le premier roman historique français.

1921 : dernier général des armées blanches, le baron Roman von Ungern-Sternberg – dit « le baron fou » – est fusillé par les Rouges à Novossibirsk.
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C’était un… 16 septembre

1380 : mort, à Nogent-sur-Marne, du roi de France Charles V « le Sage ». Il avait débarrassé le royaume des Grandes Compagnies et reprit aux Anglais presque toutes les régions qu’ils aaient occupées. Il créa la Bibliothèque nationale.

1943 : ainsi que le 23 septembre, les Alliés ravagent la ville de Nantes.
Leurs bombardements massifs font 1463 morts et 2500 blessés civils.
700 maisons et immeubles sont détruits et près de 3 000 rendus inhabitables, sans que l’on voit bien l’intérêt militaire de raids aussi meurtriers.
De Gaulle ne s’offusquera naturellement pas.

► Sur ce thème, on pourra lire Quand les Alliés bombardaient la France, d’Eddy Florentin.

1940 : la Roumanie est proclamée « Etat national légionnaire ». Le général Antonescu endosse à son tour la chemise verte des partisans de Codréanu.

1946 : mort du célèbre dessinateur montmartrois Francisque Poulbot, qui a donné son nom aux enfants pauvres de la butte Montmartre, qu’il a souvent illustrés. Patriote, très philantrope, il avait dessiné des cartes postales pour la Légion française des combattants.

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