Rebondissement dans l’affaire des animateurs suspendus de Gennevilliers. Les médias ayant correctement monté en épingle un fait divers (sans gravité et sans importance), le maire PCF de la commune se couche….
En effet selon Le Monde : « Pour apaiser le débat », la mairie a décidé mardi « de ne pas imposer l’application de l’article incriminé du contrat de travail sur le mois d’août », explique-t-elle dans un communiqué. « Pour conserver ses exigences en termes de sécurité physiques des enfants », la mairie renforcera les contrôles dans ses centres de vacances.
« L’article a été mal interprété, a expliqué le maire communiste de Gennevilliers, Jacques Bourgoin. Tout est parti d’un accident qu’il y a eu il y a deux ans, où deux enfants avaient été blessés parce que la conductrice du mini-bus, qui jeûnait, avait fait un malaise ». « C’est pour cela qu’on a ajouté cet article au contrat de travail mais comme l’article apparaît pour certains discriminatoire, on souhaite que le débat soit posé de manière sereine », a poursuivi l’édile.
Merci à Oremus
L’inénarrable
u Koweit – sauvé du méchant Irak laïc par les Etats-Unis – les débats politiques vont bon train. Ainsi, une femme politique a estimé que les hommes devraient pouvoir utiliser légalement des prisonnières de guerre non-musulmanes.
… selon l’ambassadeur de France à Alger, André Parant. «Le nombre de visas délivrés par nos consulats généraux en Algérie, qui était d’environ 100.000 en 2007, devrait atteindre 200.000 en 2012» a déclaré André Parant lors d’un discours prononcé dans la soirée d’avant-hier, à l’occasion de la fête de son pays coïncidant avec le 14 Juillet.
par la racaille exportée de France…
Lu sur
Le suspect interpellé ce dimanche soir pour le meurtre des deux gendarmes de Collobrières serait Abdallah Boumezaar.
Il n’est plus possible de placer en garde à vue un étranger pour la seule raison qu’il est sans papiers : mardi 5 juin, la Cour de cassation a mis un terme au flou qui entourait jusqu’ici la loi. La France incarcère en effet les sans-papiers depuis 1938, et la loi prévoit un an de prison et 3 750 euros d’amende pour séjour irrégulier.