Joies de l’islam au Koweit et en France

Au Koweit – sauvé du méchant Irak laïc par les Etats-Unis – les débats politiques vont bon train. Ainsi, une femme politique a estimé que les hommes devraient pouvoir utiliser légalement des prisonnières de guerre non-musulmanes.
Selon Salwa al Mutairi, acheter des esclaves sexuelles permettrait aux hommes koweitiens « décents », « dévoués » et « virils » de résister au démon de l’adultère (sic).
La politicienne, qui anime également une émission de télévision, propose qu’elles soient importées de pays en guerre. « Par exemple, il y a sûrement eu des prisonnières russes lors de la guerre de Tchétchénie », explique-t-elle. « Alors allons les acheter pour les importer. C’est mieux que de voir nos hommes avoir des relations sexuelles interdites. »
Troisième millénaire oblige, la mesure ne s’étendrait pas aux mineures de moins de 15 ans…  (source)

En France, enfin, à Mantes-la-« Jolie », c’est un meurtre sordide qui a eu lieu il y a 3 jours.
Un étranger musulman a sauvagement tué sa femme en lui fracassant le crâne devant ses 4 enfants âgés de 1 à 5 ans (qui seront perturbés à vie).
Motif : son épouse lui avait confié avoir été victime d’un viol.

(source)

Un espace de 4 000 m² dédié aux arts de l’islam va être inauguré au Louvre

En septembre, à Paris au musée du Louvre, sera officiellement dévoilé le nouveau département des arts de l’islam. Un espace de 4 000 m² pour exposer une collection de 18 000 pièces. Coût de l’opération : 100 millions d’euros, dont 32,5 millions financés par l’État. 30 millions d’euros proviennent de généreux donateurs, au premier rang desquels, avec 17 millions d’euros, le prince saoudien Al-Waleed Bin Talal, grand amateur d’art, propriétaire de l’hôtel George-V et actionnaire de Disneyland Paris. Dans son sillage, on trouve de grosses entreprises françaises comme Total, Lafarge, Bouygues et Orange. Le reste du financement est apporté par des pays islamiques – le Koweït, le sultanat d’Oman, le Maroc, la République d’Azerbaïdjan…

Merci à Phalangorexiste