Kebab : les boulettes de viande étaient faites de patée pour chiens…

« En infraction avec la réglementation sur la vente de boissons, le restaurant avait déjà fait l’objet d’une fermeture administrative en 2012. Mais en repassant près du local récemment, les policiers se sont aperçus que la fraude avait repris. L’enquête consécutive a révélé un désastre sanitaire raconte Var Matin.

Pas moins de cinq services ont été mobilisés pour identifier toutes les infractions commises par ce « kebab ». Outre la police, les douanes, l’Urssaf, les impôts et les services sanitaires ont entrepris de se pencher sur le cas des Jardins d’Anatolie, situé dans la quartier de la Villeneuve à Fréjus.

C’est le dossier sanitaire et hygiénique qui s’annonce le plus spectaculaire. Les inspecteurs ont vite compris que les keftas – ces boulettes de viande hâchée typiques – étaient confectionnées avec de la pâtée pour chien peu onéreuse. Dans le même registre, une épaule d’agneau verdâtre a été retrouvée : assortie d’une vigoureuse marinade, les tenanciers du restaurant arrivaient à la rendre absorbable. »

Source Direct Matin

Obligés de fuir leur quartier parce que blancs : gros plan sur une famille victime d’un racisme qui n’intéresse pas les médias

20130601-101931.jpgEntretien réalisé par Atlantico :

Monsieur et Madame LETERME ont fait l’acquisition d’un appartement situé à Savigny-le-Temple, dans un quartier qu’ils savaient habité par une importante communauté maghrébine. Rapidement et régulièrement victimes d’injures à caractère discriminatoire et de menaces, ils ont dû être évacués de leur domicile avec l’aide de la police et ont porté plainte. Monsieur LETERME s’est lui aussi retrouvé sur le banc des accusés poursuivi à côté de ses agresseurs pour un coup de poing qu’il aurait donné alors qu’il se débattait contre ces derniers. Indigné par le silence des grands médias sur cette affaire, l’avocat de la famille accorde une interview exclusive à Atlantico pour révéler ces faits au grand public.

Atlantico : Vous défendez une famille obligée de quitter son quartier parce qu’elle n’appartenait pas au groupe ethnique majoritaire. Pouvez-vous nous donner plus de détails sur cette affaire ? Que s’est-il passé exactement ?

Stéphane Maitre : Ce jour-là, une dispute a éclaté entre M. LETERME et un voisin à propos d’une dispute entre deux enfants. Rapidement, un attroupement des jeunes du quartier s’est formé autour de M. LETERME, heureusement rejoint par un ami. Ces derniers ont été roués de coups de poing, de bâtons et de planches. Ils ont été sérieusement blessés : plaie béante au niveau du crâne nécessitant 6 points de suture, traumatisme crânien, main fracturée, ecchymoses et hématomes multiples (7 et 21 jours d’ITT) ; Voyant le sang couler, les agresseurs ont pris la fuite. La police et les pompiers sont arrivés, ce qui a provoqué un nouvel attroupement. La famille LETERME s’est réfugiée dans le camion mais les jeunes du quartier hurlaient des injures et des menaces, frappant même sur le camion à coups de pied. Terrorisés, ils ont décidé de tout quitter ; en une nuit, ils ont fait leurs valises et ont déménagé le lendemain sous protection de la police.

Pourquoi avoir choisi de rendre ces faits publics ? Avez-vous eu des difficultés à faire connaître cette affaire dans les grands médias ?
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La crapule Moustaki et son engagement pro-pédophile

georges-moustakiÉvidemment, les médias pleurent chaudement la mort de cet artiste (immigrant juif de Grèce), qui chantonnait « avec ma gueule de métèque ».
Il nous incombe donc de rappeler l’un des engagements de ce sinistre individu, qu’il n’a jamais renié et qui n’est pas évoqué par les journaleux.

Georges Moustaki faisait partie des 63 signataires d’un texte de soutien au pédophile Gérard R. (qui attendait depuis 18 mois son procès) paru dans Libération en mars 1979.
Y est notamment dénoncé  « l’ordre moral » qui viserait au « maintien de la soumission des enfants-mineur(e) s au pouvoir adulte » et affirmé que « l’amour des enfants est aussi l’amour de leur corps. Le désir et les jeux sexuels librement consentis ont leur place dans les rapports entre enfants et adultes. Voilà ce que pensait et vivait Gérard R. avec des fillettes de 6 à 12 ans dont l’épanouissement attestait aux yeux de tous, y compris de leurs parents, le bonheur qu’elles trouvaient avec lui ».

Source NDF

Londres : deux noirs musulmans massacrent un soldat en pleine rue….

… et se laissent filmer en attendant la police ! Ca ne se passe pas au Rwanda ou au Liberia mais dans une rue de la capitale anglaise. Selon le Parisien, voila comment s’est déroulée la scène :

D’après les témoins, tout aurait commencé vers 13 h 20. Le scénario exact reste à préciser. Un accident de la circulation s’est produit dans la rue John Wilson. Une Vauxhall bleue a percuté un poteau. On ignore encore si les deux agresseurs ont foncé sur leur victime. Certains témoins disent avoir vu deux hommes noirs sortir du véhicule et trainer derrière eu leur victime qui portait un T-shirt barré du slogan «Help for Heroes» — «de l’aide pour les héros», le nom d’une campagne de charité pour venir en aide aux soldats blessés en campagne.
Ils ont tiré leur victime au milieu de la chaussée puis l’ont découpée à coups de couteau, de hachoir et ont tenté de la décapiter à la machette. D’après des témoins, les meurtriers criaient «Allah akbar» — «Dieu est grand» en Arabe — et incitaient les passants à les prendre en photo. Après avoir commis ces atrocités, ils sont restés sur place sans chercher à se sauver, semblant attendre l’arrivée de la police. Quand les agents armés sont enfin arrivés vingt minutes après le carnage, les deux assaillants ont foncé sur eux. C’est à ce moment que les policiers ont tiré et blessé les deux hommes. Ils ont été transportés par hélicoptère dans deux hôpitaux différents. Les policiers ont saisi des couteaux, une machette et une arme de poing.

Ci-dessus l’entretien réalisé par un passant avec un islamiste juste après le massacre :

«Nous jurons par Allah tout puissant que nous n’arrêterons jamais de vous combattre. Les seules raisons pour lesquelles nous avons fait ceci, c’est parce que des musulmans meurent chaque jour. Ce soldat britannique, c’est oeil pour oeil, dent pour dent. Nous nous excusons que des femmes aient vu ceci aujourd’hui mais dans nos pays nos femmes sont obligées de voir la même chose. Vous, peuple, ne serez jamais à l’abri. Changez vos gouvernants. Ils ne prennent pas soin de vous.»

Ce n’est qu’un début! La pression migratoire se fait de plus en plus forte, l’islamisation de nos sociétés, corollaire de l’immigration, avance à pas de géant. Il n’est pas difficile d’envisager la suite des évènements si le cap n’est pas prochainement changé.

Mélenchon se félicite de la disparition des Français

Ce riche héritier de bourgeois de gauche, ayant fait leur fortune au Maghreb du temps des colonies, a du mal vivre la révélation de son patrimoine (2,9 millions d’euros) par le Canard Enchaîné il y a quelques semaines. C’est peut-être pour cela qu’il se lâche dans cet entretien ?

Rappel :
Ethnomasochisme :
Ensemble d’attitudes psychologiques, ou idéologie, résultant en la tendance d’un peuple ou d’une ethnie déterminé(e) (ou de personnes appartenant à cette population), à se dénigrer, à dénigrer sa propre histoire, sa culture et ses valeurs par rapport à celles de l’étranger, éventuellement en stigmatisant ses propres fautes historiques réelles ou supposées, et en souhaitant sa propre dissolution, notamment par le biais du métissage et d’une immigration massive.

Merci à Jovan

Allocations familiales : moins pour Marc mais plus pour Mamadou!

L’État n’a plus d’argent! Qu’à cela ne tienne, Jean-Marc Ayrault cogne sur ce qui contribue à la natalité du pays avec dans l’idée qu’il serait plus simple de laisser rentrer quelques centaines de milliers d’immigrés pour palier à une éventuelle baisse de cette dernière. Le premier ministre a ainsi annoncé que la réduction des allocations familiales toucherait environ 15% des Français. Mais si la République récupère quelques deniers d’un côté, c’est immédiatement pour les redistribuer de l’autre… Coté de la méditerranée !
Voilà ou part notre argent : « En France, la nouvelle est restée confidentielle. Mais pas en Algérie (voir notamment Le Matin DZ) : désormais, tout parent algérien installé en France pourra toucher des allocations familiales au titre de ses enfants, nés en Algérie, qui décideraient de le rejoindre. Et même, précise la Cour de Cassation réunie le 7 avril dernier en assemblée plénière, si les enfants en question ont pénétré en France en dehors de toute procédure de regroupement familial. Ce qui s’applique naturellement, d’abord, aux enfants de pères polygames, puisque les autres peuvent, depuis l’institution du système, en 1976, bénéficier dudit regroupement ! Résultat : les hommes ayant « épousé » plusieurs femmes dans leurs pays vont pouvoir, sans contourner la loi française comme ils le faisaient jusqu’à maintenant (en faisant passer, par exemple, leurs compagnes pour des « mères isolées »), financer légalement le séjour en France de leur descendance.  »

Le député socialiste Galut nous prend pour des cons

Yann Galut, « Socialiste républicain et citoyen », député PS du Cher, signe sur twitter une grosse blague même pas drôle : « Les casseurs du Trocadéro sont les anciens ultras du PSG qui sont liés aux nationalistes et aux extrémistes de Droite… » Pour vous, lecteurs de Contre-Info, et en exclusivité, nous avons retrouvé l’étendard des nationalistes français, brandi au Trocadéro :

Monsieur Galut, les personnes qui brandissent ainsi leur drapeau sont sans doute nationalistes, mais ce ne sont sûrement pas des nationalistes français…

PSG : la racaille se mêle à certains supporters pour vandaliser

Les joueurs parisiens, sacrés champions de France dimanche soir à Lyon, devaient être fêtés hier par leurs supporters et recevoir leur trophée de champion de France. Mais la grande fête programmée sur le parvis du Trocadéro a tourné court lundi après-midi.

Une soirée d’émeutes où des supporters malveillants rejoints par des casseurs de banlieues ont bisé les vitrines des commerçants, incendié et vandalisé les voitures, affronté les CRS, lancé des fumigènes parmi les manifestants pacifiques, etc… Un groupe aurait même pillé un autobus de touristes. Bilan humain : 30 blessés, dont 3 chez les forces de l’ordre. Et 21 interpellations. «Il n’y aura plus de manifestation festive sur la voie publique pour le PSG», a indiqué Bernard Boucault, le préfet de police de Paris.  Face à l’ampleur des incidents, le club a finalement annulé la mini-croisière que devaient faire les joueurs sur la Seine pour saluer leurs supporteurs et exhiber leur trophée .

Réaction de Manuel Valls : il déplore les « bousculades ». Pathétique. Il est intéressant de mettre en regard l’émeute d’hier soir et les manifestations contre le « mariage » homosexuel. Celles-ci ont réunis plus d’un million de personnes dans les rues : mais aucun casseurs ; pas une vitrine vandalisée, pas une voiture brûlée, aucune violence aux personnes, en tout cas de la part des manifestants. Ce qui n’a pas empêché le ministre de l’Intérieur de stigmatiser -puisque le mot est à la mode- les manifestants et de dénoncer leur violence, soulignant notamment la présence de militants nationalistes comme ceux du Renouveau français.

Hier, lors d’une manifestation qui n’a pourtant réuni que quelques milliers de personnes, le vandalisme l’a emporté, les atteintes aux biens et aux personnes ont été nombreuses. Mais curieusement, Monsieur Valls n’a pas souligné la présence, parmi les acteurs, des « jeunes » de banlieues, remplis de gratitude pour l’hospitalité que la France a offerte à leurs familles, et venus manifester leur amour de la patrie avec enthousiasme… Vous avez dit « surprenant » ?

Isère : il entre dans une gendarmerie et essaye de poignarder un militaire aux cris d’Allah Akbar

Voici comment France 3 présente ce « fait divers régional » :
« Un gendarme de 44 ans a reçu trois coups de couteau au cou, au bras et à hauteur des jambes donnés par un déséquilibré qui a fait irruption mardi dans la matinée, dans la gendarmerie de Roussillon.
« L’agresseur a ensuite reçu une balle dans la cuisse tirée par un autre militaire. Ce dernier, âgé de 37 ans, a aussi été touché par un éclat de balle au tibia.
Tous les intervenants dans cette affaire ont été hospitalisés à Lyon et Roussillon. Aucun n’est dans un état grave.

« La famille de l’agresseur a confirmé qu’elle avait des doutes depuis quelques mois sur son état psychologique. Il se présentait de plus en plus souvent comme « guerrier de l’Islam ». Son épouse avait d’ailleurs quitté le domicile familiale alors qu’il était en pèlerinage à La Mecque. Lors de son entrée dans la brigade de gendarmerie, l’homme a crié « Allah est grand ». De nombreux livres et revues religieuses ont été retrouvés dans son logement. »
Le procureur insiste aussi dans la video ci-dessous, sur la folie de l’agresseur.
Bref, c’est une histoire de folie pure et simple, l’islam n’a en fin de compte rien à voir là-dedans, bien sûr !
Pourquoi tant de déséquilibrés cherchant à assassiner autour d’eux sont-ils musulmans ? Le hasard évidemment !

Rennes : l’église Saint-Marc occupée par la force

L’ancienne église Saint-Marc, dans le quartier de Villejean, à Rennes, est occupée depuis jeudi soir par une quarantaine de migrants. Aidés par des militants du collectif Un Toit un Droit, ce sont des demandeurs d’asile caucasiens, mongols et africains, qui ont pris possession des lieux.

L’église Saint-Marc, propriété du diocèse de Rennes, n’est plus vouée au culte depuis longtemps. « Pas question d’expulser les migrants. L’église doit remplir ses missions de solidarité habituelle », a déclaré l’archevêché, réagissant à l’occupation de l’église.

La première mission d’une église cependant, c’est d’être consacrée au culte. Déjà. Ensuite, ces clandestins n’ont pas sollicité l’asile de l’église : ils se sont imposés par la force. Le diocèse regrette d’ailleurs les « méthodes employées » par le collectif : « Forcer les lieux pour entrer, c’est dommage. On est aussi vigilant sur l’utilisation politique des migrants par l’association, alors que c’est un combat qui les dépasse », souligne Jelle Lemaître, délégué épiscopal à l’information auprès de l’archevêché.

Du reste, Jelle Lemaître est lucide : « Mais il faudra quand même formaliser les choses avec la préfecture. Les migrants ne pourront pas rester éternellement. Il faudra trouver d’autres solutions. »

En effet, mais cette solution autre est du ressort du pouvoir politique, pas du pouvoir spirituel. L’Église de France serait plus crédible lorsqu’elle invoque le droit d’exercer la solidarité avec les plus démunis, ce que personne ne lui conteste, si par ailleurs elle n’étendait pas indistinctement sa mission à toutes les autorités légitimes. Le rôle de l’État, quant à lui, est en effet de garantir le bien commun, à l’aune duquel il doit régler sa politique migratoire. S’il l’avait fait convenablement, le diocèse de Rennes n’aurait pas été confronté à cette difficulté…

 

Seine Saint-Denis : deux agressions de journalistes dans la journée d’hier

Hier, mercredi 17 avril, en Seine Saint-Denis, trois journalistes ont été attaqués par ceux que la presse appelle avec pudeur des « jeunes ». Ce sont en fait deux agressions distinctes, en deux points différents de la Seine-Saint Denis, qui se sont déroulées durant la même journée.

La première agression a eu lieu peu avant midi, à Sevran. Un journaliste de la chaîne d’information en continu BFM TV tournait un reportage devant l’école primaire Emile Zola où des enfants s’étaient piqués en jouant avec une seringue la veille : « il a été molesté par un groupe de cinq jeunes« , « a été blessé au visage« , et « sa caméra a été jetée à terre » a précisé la préfecture du département. Le journaliste a été conduit à l’hôpital.

Quant à la deuxième agression, elle eu lieu vers 17 heures, à Pierrefitte-sur-Seine. Ce sont cette fois deux journalistes de M6 qui ont été pris à partie alors qu’ils tournaient un reportage. Ils interviewaient le gérant d’un magasin d’alimentation de la ville, situé proche d’une cité sensible et victime de plusieurs braquages ces derniers mois. L’un des journalistes a reçu des coups sur le visage et souffre d’un hématome à l’oeil gauche.

Deux possibilités : ou bien la violence des banlieues se banalise, et la capacité d’indignation de la population s’estompe avec le temps qui passe. Ou bien s’opère une prise de conscience au sein de la population, et celle-ci prendra les moyens de reconquérir les territoires perdus de la nation. Ou bien on subit et on meurt, on bien on réagit.

Il reste que la deuxième solution suppose que les causes de la violence dans les banlieues ne soient plus ignorées ni occultées. Quand des territoires entiers sont dépourvus d’autochtones et que des bandes ethniques issues de l’immigration y règnent en maître, on ne nous fera pas croire que l’immigration de peuplement et de substitution est un mythe. Et on ne nous fera pas croire qu’elle n’est pas génératrice de violence. Et ce n’est pas en voilant la réalité par des éléments de langage -du type « des jeunes » pour désigner les immigrés- que la réalité elle-même cessera d’exister…

Des préfets obligés par l’Europe de reloger les Roms qu’ils venaient d’expulser !

Après Lyon, début avril, Ris-Orangis, en banlieue parisienne : les préfets se trouvent assignés par les familles de ressortissants roumains qu’ils venaient de faire expulser. Car les préfets n’appliqueraient pas le droit européen, ni la circulaire Valls du 26 août 2012 qui impose, en cas de démantèlement de camp, de trouver des alternatives d’hébergements pour les populations concernées.

Quant à l’obligation faite aux communes d’aménager des terrains pour accueillir la communauté roumaine nomade, elle suscite d’importantes difficultés. Joël Wilmotte, maire UMP d’Hautmont dans le Nord, menace ainsi de présenter la démission de son conseil municipal si l’État lui impose l’accueil d’un camp de Roms qui serait aménagé dans sa ville, sur un terrain propriété du conseil général.

Le préfet de Lyon constatait lui-même, au lendemain de la décision qui le frappait: «Il n’est pas raisonnable de penser qu’à Lyon, on peut loger tout le monde.»

Il semble que, face aux difficultés que provoque l’immigration de masse, les maires et les préfets commencent à réagir, comprenant en particulier que la crise du logement qui affecte les Français n’est pas compatible avec les exigences de l’intégration de nouveaux arrivants. Mais ces maires et ces préfets, aujourd’hui commandés par la loi européenne qui prime la loi française, se sont-ils tous opposés à la construction d’une union européenne qui confisquait aux nations l’exercice de leur souveraineté, celui de leurs prérogatives régaliennes et de la maîtrise de leur territoire ? Se sont-ils opposés aux accords de Schengen qui permettent la libre circulation des personnes présentes sur le territoire de l’Union, libres de passer ainsi d’un pays à l’autre ?

« Dieu rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes » s’amusait Bossuet…

 

Quand la République pactise avec l’islam radical

Le journal Sud-Ouest nous informe que Vincent Feltesse, le chef du PS girondin, va financer une partie de la mosquée islamiste de l’imâm Oubrou (UOIF) : « le député, président de la CUB et archi-probable candidat du PS aux futures municipales, va en effet verser une partie de sa réserve parlementaire à l’association qui porte le projet, la Fédération des musulmans de Gironde. Cette réserve, une somme que chaque député est libre d’attribuer à des associations de sa circonscription, s’élève, pour l’année, à 130 000 euros : 50 000 euros issus de cette enveloppe iront au projet de centre cultuel et culturel musulman. »

Vincent Feltesse explique en effet qu’ « il y a un gros travail, autour de l’imam Oubrou, sur l’articulation de l’islam et des valeurs républicaines, c’est une démarche à laquelle je suis sensible« .

Or, une enquête intitulée Ces maires qui courtisent l’islamisme, aux éditions Tatamis,  a révélée en 2010 que l’imam Oubrou enseigne à ses fidèles de lire le coran « comme des salafistes« , de rétablir le Califat transfrontalier et de faire de l’islam un parti politique car « L’islam comme le veut le Coran touche à tous les domaines de la vie. C’est un État, c’est un pays (…) La politique est une donnée, est une partie, est un élément de l’islam. Le Prophète était un chef d’Etat.(…) La politique des musulmans ce n’est pas la politique des autres, la politique des autres est construite sur le mensonge« . Des citations immédiatement issues de ses conférences, en ligne sur internet !

Il n’y a cependant pas à s’étonner. Car l’imam ne fait qu’enseigner à ses fidèles la foi musulmane qui ne reconnaît en effet aucune frontières entre le public et le privé, entre le temporel et le spirituel. C’est l’oumma. Le double discours de l’imam n’est pas davantage surprenant, car le coran enseigne lui-même la duplicité : ‘ »Baise la main que tu ne peux pas couper« …

Le métissage détruit la diversité

Petit moment de vérité, suffisamment rare pour être souligné, sur Arte, où le paléo-anthropologue F. Schrenk explique que le métissage dilue et détruit la diversité génétique qui a différencié les races depuis l’origine de l’humanité (extrait de l’émission du 18 octobre 2011: « Pour en finir avec le Racisme »)

F. Schrenk nous semble toutefois très optimiste.
Compte tenu de l’état démographique de l’Europe de l’Ouest, en particulier de la France, de la mode du métissage et du caractère récessif des gènes « blancs », notre peuple aura pratiquement disparu dans quelques générations si la tendance ne s’inverse pas radicalement.

Un bon autocollant sur thème :