Obligés de fuir leur quartier parce que blancs : gros plan sur une famille victime d’un racisme qui n’intéresse pas les médias

20130601-101931.jpgEntretien réalisé par Atlantico :

Monsieur et Madame LETERME ont fait l’acquisition d’un appartement situé à Savigny-le-Temple, dans un quartier qu’ils savaient habité par une importante communauté maghrébine. Rapidement et régulièrement victimes d’injures à caractère discriminatoire et de menaces, ils ont dû être évacués de leur domicile avec l’aide de la police et ont porté plainte. Monsieur LETERME s’est lui aussi retrouvé sur le banc des accusés poursuivi à côté de ses agresseurs pour un coup de poing qu’il aurait donné alors qu’il se débattait contre ces derniers. Indigné par le silence des grands médias sur cette affaire, l’avocat de la famille accorde une interview exclusive à Atlantico pour révéler ces faits au grand public.

Atlantico : Vous défendez une famille obligée de quitter son quartier parce qu’elle n’appartenait pas au groupe ethnique majoritaire. Pouvez-vous nous donner plus de détails sur cette affaire ? Que s’est-il passé exactement ?

Stéphane Maitre : Ce jour-là, une dispute a éclaté entre M. LETERME et un voisin à propos d’une dispute entre deux enfants. Rapidement, un attroupement des jeunes du quartier s’est formé autour de M. LETERME, heureusement rejoint par un ami. Ces derniers ont été roués de coups de poing, de bâtons et de planches. Ils ont été sérieusement blessés : plaie béante au niveau du crâne nécessitant 6 points de suture, traumatisme crânien, main fracturée, ecchymoses et hématomes multiples (7 et 21 jours d’ITT) ; Voyant le sang couler, les agresseurs ont pris la fuite. La police et les pompiers sont arrivés, ce qui a provoqué un nouvel attroupement. La famille LETERME s’est réfugiée dans le camion mais les jeunes du quartier hurlaient des injures et des menaces, frappant même sur le camion à coups de pied. Terrorisés, ils ont décidé de tout quitter ; en une nuit, ils ont fait leurs valises et ont déménagé le lendemain sous protection de la police.

Pourquoi avoir choisi de rendre ces faits publics ? Avez-vous eu des difficultés à faire connaître cette affaire dans les grands médias ?
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Encore 500 millions d’euros d’aides directes à la presse en 2013

Alors que l’on nous rebat les oreilles avec la crise, la cure d’austérité, la baisse des dépenses publiques, les niches fiscales, les efforts que devraient consentir les Français pour renflouer les banques, les journalistes eux, ne semblent pas devoir se serrer la ceinture. Les médias aux ordres sont maintenus une année de plus sous perfusion pour continuer à nous servir des mensonges quotidiennement.

Excellent article du cri du contribuable :

« En 2013, les seules aides directes à la presse prévues au titre de la loi de finances représentent 516 millions d’euros. Au final, aides directes plus aides indirectes dépassent le milliard d’euros.

Alors que beaucoup de médias se félicitent de la disparition des niches fiscales, il en est une sur laquelle la corporation a tiré le rideau.

Celle permettant aux journalistes de déduire de leurs revenus imposables une allocation pour frais d’emploi de 7 650 euros. Grâce à cet avantage, un journaliste gagnant 3 000 euros par mois peut réduire le montant de son impôts sur le revenu de 50%.

Des aides largement dilapidées

Fin octobre, Michel Françaix, député socialiste de l’Oise et membre de la commission des affaires culturelles et de l’éducation de l ‘Assemblée, a présenté les conclusions d’un audit sur  la presse tricolore dont le site Owni a tiré les infos clés.

Le chiffre d’affaires du secteur est évalué à 10 milliards d’euros, dont environ 1,1 milliard d’aide.

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Comment les médias poussent à la guerre

Documentaire intéressant sur le rôle et les techniques subversives employées par les médias pour pousser les populations à accepter les différentes guerres « démocratiques ».