Dans les colonnes du Parisien, des policiers, presque tous sous couvert d’anonymat, livrent des témoignages accablants : le quartier du XVIIIème arrondissement de la Goutte-d’ Or à Paris, déjà classé en Zone de Sécurité Prioritaire (ZSP), est en passe de devenir une zone de non-droit.
Des témoignages édifiants
Le récit que font les policiers de certaines scènes qui se déroulent à Barbès est édifiant. Les témoignages se passent de commentaire : « Jeudi dernier, on est arrivé à une situation extrême » confie un policier. « Un contrôle sur une bagarre au couteau s’est terminé en révolte de rue. Les policiers ont dû dégoupiller une grenade de désencerclement afin de pouvoir rejoindre entiers leur voiture qui était à 30 mètres ! » poursuit le fonctionnaire de police. Un témoignage à peine croyable. Manque de moyen, sous-effectif… le commissariat du quartier de la Goutte-d’ Or, dans le XVIIIème arrondissement, est « au bord de l’implosion » selon le quotidien, qui précise que «plusieurs fois, le commissariat de la Goutte d’Or a dû diffuser au micro son appel à toutes les unités». Un policier a précisé : «200 policiers sur tout Paris ont été appelés à la rescousse. Samedi le quartier s’est à nouveau embrasé… »
Unsa-Police déclare l’« état d’urgence »
Le syndicat de policiers, Unsa-Police, dénonce une situation qui ne peut plus durer. Il diffuse depuis vendredi un tract « Etat d’urgence ! ZSP du XVIIIème » pour dénoncer la situation. « Ce sont des voyous qui tiennent le quartier ».
Le Parisien décrit des scènes étonnantes en plein Paris, où des « supermarchés à ciel ouvert » se tiennent dans ces quartiers. On peut y acheter drogues, mais aussi « vélos fraîchement volés » ou encore des« vêtements de marque neuf à même le sol »… Le quotidien révèle aussi le contenu des procès-verbaux des derniers jours. Le constat est sans appel : « ils attestant de ce trafic et de la montée en violence du quartier ».
La fin de l’article, là encore, se passe de commentaires. Un fonctionnaire de police témoigne que « jeudi dernier, certains policiers ont reçu la consigne de laisser tomber les contrôles des marchés à la sauvette ».
Lu sur Valeurs Actuelles







De nombreuses rues et places de France avaient jeudi soir un aspect révolutionnaire… Que se passait-il ? Simplement un match nul de l’équipe d’Algérie face à la Russie… Ce qui déclencha la « liesse » de nombreuses racailles algériennes, qui ont exprimé à nouveau leur mépris du pays qu’elles occupent.
Hakim Benladghem était un djihadiste avec des papiers français qui a été abattu il y a un an sur une autoroute belge. La police belge avait découvert chez lui :
Ce n’est plus un fossé qui sépare médias et Français, c’est un monde. Celui de la réalité.
Lundi, Jérémy Mortreux, ancien militaire de 30 ans, a été poignardé à mort en pleine rue, dans le centre-ville de Digne-les-Bains (la préfecture des Alpes de Haute-Provence).
A Angoulême, un « artiste » a voulu faire une expérience : il a dressé dans la rue une table chargée d’œufs frais, et s’est posté à quelques mètres face à elle, sans bouger ni piper mot.
La chaîne de gauche France 3 était en direct avec une de ses journalistes pour la « nuit des musées ».
« Séducteur ou assassin ? Lundi s’ouvre à Évry le procès de Jamel Leulmi, défendu par pas moins de quatre avocats dont l’un des ténors du barreau, Me Éric Dupond-Moretti. Ex-professeur de génie civil reconverti en chef d’entreprise, ce Franco-Algérien de 36 ans est accusé d’assassinat, de tentative d’assassinat et d’escroquerie aux assurances.