Un député socialiste se penche sur les gros problèmes de l’armée française…

Un caporal-chef de la Légion étrangère remporte un tournoi de sport de combat. En mai dernier, l’info est postée avec une photo sur le site de ce corps d’armée. Banal.
Mais le légionnaire est tatoué (banal), entre autres choses d’une croix celtique (presque banal).
Et le symbole est visible sur la photo. Horreur et émoi !

capture d’écran du site de la Légion

Jean-Jacques Urvoas, député socialiste et président de la Commission des Lois à l’Assemblée nationale, se met en branle dès qu’il apprend la chose.
Même si le budget de l’armée est taillé en pièces, que de nombreux militaires n’ont pas perçu leur solde depuis des mois, que des soldats refusent de partir sur certains théâtres d’opération car ils sont musulmans, que des militaires se font régulièrement attaquer par la racaille étrangère, il y a quand même des priorités pour M. Urvoas.

Il le fait savoir sur son compte twitter :

« En effet, le légionnaire en question arbore sur son flanc un tatouage représentant une croix celtique. Celle-ci, certes symbole du christianisme éponyme [?], est aussi et surtout le marqueur fort des mouvements de l’extrême-droite. »

Dans cet autre twitt, il semble être atteint de la même maladie que Manuel Valls :

« La présence de cette photo, sur un site officiel, prend le contre-pied du message de fermeté à l’encontre des groupuscules de l’extrême-droite, que le gouvernement a envoyé suite au décès de Clément Méric. »

Que se serait-il passé si le tatouage avait représenté la tête de Guevara ou un « A » anarchiste?

Que l’on se rassure toutefois, les ordres sont tombés rapidement et aujourd’hui la terrible photo a été remplacée :

sehi

Incroyable : les semences de variétés traditionnelles ne peuvent plus être commercialisées

Merci l’UE, merci les gros industriels, on ne peut même plus acheter les semences de notre choix sous prétexte qu’elles ne sont pas inscrites au catalogue officiel. On nous oblige ainsi à consommer les semences trafiquées de grosses sociétés ayant déposées des brevets.

La Cour de Justice de l’Union Européenne a confirmé le 12 juillet dernier l’interdiction de commercialiser les semences de variétés traditionnelles et diversifiées qui ne sont pas inscrites au catalogue officiel européen.
Des associations comme Kokopelli ou Semailles se retrouvent dans l’illégalité: elles préservent et distribuent ces semences.

Pourtant, il suffirait d’inclure ces variétés anciennes au catalogue officiel pour les commercialiser en toute légalité. Seulement voilà, elles se trouvent dans le domaine public et après 20 ans, si personne ne les a réinscrit au catalogue, elles en sortent. Il faut pour cela payer assez cher, explique Catherine Andrianne de Semailles. « A cause de cette réglementation, il y a plus de 80% de la biodiversité qui a disparu », dit-elle.

Source : RTBF

Pamphlet en rimes : Peillon en prend pour son grade

20130726-132028.jpgAprès un premier coup de canon contre Valls, Alauna récidive. La cible est le fanatique Peillon, ministre de l’Education Nationale et zélé défenseur de la République laïque.

Extrait du livre de Vincent Peillon, « La Révolution n’est pas terminée » publié au Seuil en 2008:
C’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle Eglise, avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la Loi
. (p.17)

Vincent Peillon

Oui, c’est à vous monsieur que ce discours s’adresse.

Quoi ? Voudriez-vous donc qu’on dise « votre altesse » ?

« Très saint père et pontife de la république » ?

Vous qui avez soumis le saint état laïque

A prendre pour modèle dans ses hiérarchies

L’Eglise catholique. Délicieuse ironie !

Votre saint ministère serait le saint concile,

« Mes enfants, le chrétien a fait souffrir la France,

Par son obscurantisme et par sa décadence,

Les hommes les plus saints et les plus altruistes

Furent, c’est bien connu, des athées cégétistes ».

Apprenez mon ami, mon très cher myrmidon,

Que l’état-religion fait de vous un bouffon :

Trop envieux des honneurs qu’au clergé on adresse,

Vous vous faites ministre de votre déesse

REPUBLIQUE ! Et prenez comme pieux acolytes

Judaïsme, shoah et saints israélites…

Votre pensée unique est seule religion ?

Je serais donc athée, mon cher monsieur Peillon !

Mais qu’attendre de plus qu’un dictat lobbyiste :

Petit fils de rabbin et fils de communiste !

Votre oncle nous légua l’invention mortifère,

Tueur de nouveaux nés et destructeur de mère…

Il ne l’a toutefois découvert que trop tard

Et vous permet ainsi d’être un chien du Tartare…

Alauna pour Contre-Info

Sous Sarközy, le (mauvais) site internet de Carla Bruni avait coûté 410 000 euros au contribuable !

La cour des compte a révélé combien les Français ont donné, sans le savoir, au site internet que la présidence a payé à l’ancienne « Première dame » de France : carlabrunisarkozy.org, a englouti 80 000 euros en 2012. Et même 330 000 euros en 2011 soit un total de 410 000 euros au total !

« À 410 000 euros et 25 714 euros de prestations web mensuelles [pour l’actualisation des contenus], on s’attend naturellement à une véritable merveille, d’une qualité de code irréprochable, d’un design somptueux, d’une horde de hackers chinois qui met à jour le site toutes les heures… bref quelque chose de bling bling et bien vivant » écrit un blogueur.

Or c’est bien le contraire.
Et le site a été construit à partir d’un modèle gratuit (wordpress) !
Il aurait mérité un budget au moins 100 fois moins coûteux…

En pleine crise économique, une véritable escroquerie, pour le contribuable !

4/20 suffit pour être admissible au concours de professeurs des écoles

Le niveau de l’enseignement s’effondre et par conséquent celui des concours de l’Éducation nationale suit le mouvement. A mettre en parallèle avec les résultats des écoles libres de garçons de la FSSPX (voir ici)

Lu sur l’Express :

En début de semaine,Vincent Peillon, le ministre de l’Education nationale, se fendait d’un communiqué pour se féliciter de « la capacité retrouvée de l’Education nationale à attirer les étudiants ». Sur le terrain, la réalité est moins enthousiasmante.

Quel sera en effet le niveau des enseignants recrutés durant le quinquennat? La question se pose au vu des barres d’admissibilité retenues aux concours enseignants cette année. Obligées de recruter d’importants volumes d’enseignants, sans toujours disposer d’un vivier suffisant, les académies ont été contraintes de baisser de 2 à 3 points la barre d’admissibilité aux concours, notamment pour le premier degré.

Pour les concours de professeurs des écoles (PE), pour la session extraordinaire de 2014, la barre d’admissibilité est ainsi, selon nos informations, fixée à 4/20 à Créteil, 5/20 à Paris, 4,5/20 à Versailles, et 7/20 à Strasbourg.

Pamphlet en rimes : Valls ouvre le bal

Alauna, contributrice de Contre-Info, propose une série de pamphlets rimés sur les membres du gouvernement. Elle réserve la place d’honneur au sinistre de l’intérieur.

Monsieur Valls

Puisqu’aujourd’hui vos soins ont fait de simples mots
Une tranchante épée sortie de son fourreau,
Puisque c’est un complot que d’oser à voix haute
Evoquer le mépris de vos lois : je complote !
Au nom de qui, de quoi, donnez-vous à la France
Vos lois, vos garde-à-vue et votre incompétence ?
Vous avez vu le jour sur les terres du Cid
Vous n’êtes donc ici qu’un tartuffe apatride,
Aboyant d’ordres vains aux miliciens grégaires,
Misérable Dingo qui se croit un Cerbère !
Naguère, mon ami, vous fûtes l’un des pions
De ces très saints, très chers, très aimés franc-maçon.
« Mais je les ai quittés » prétendez-vous gaiement
Après avoir appris à poser leur ciment
Comme fondation, comme toit, comme brique
Du sinistre palais de votre république !
Un sourire narquois de satisfaction
Vient néanmoins orner ce pamphlet trublion :
Ne suivant pas les lois du très saint Ramadan
Votre cher pamphlétaire se trouve fort content
De ne pas se gonfler du plaisir béotien
De votre « affection » offerte aux sarrasins !
Assez de politesse, je vous quitte ainsi,
Mes hommages ! Cher pantin de la démocratie !

Affaire Trierweiler : la plainte sera examinée

20130720-140936.jpgEn 2008, après 4 (longs ?!) mois de divorce, Nicolas Sarkozy se remariait avec miss botox, qui devenait ainsi première dame de France. Quitte à faire éclater un scandale, son successeur ne prend même pas cette peine ! Le mariage pour tous, oui, mais pas pour lui !

L’affaire commence le 14 mars quand Xavier Kemlin dépose une plainte relativement improbable en s’attaquant en ces termes à la pseudo première dame de France : «Je trouve scandaleux que nos impôts servent à loger, nourrir, entretenir, payer le personnel et les déplacements d’une dame avec qui nous n’avons aucun lien juridique.»

La plainte n’est peut être pas si improbable que cela puisque le juge d’instruction vient d’accepter de l’examiner. Afin qu’elle puisse l’être, Xavier Kemlin a été obligé d’effectuer un dépôt de 2000 euros.

Bien qu’Hollande n’en soit plus à un scandale près sur l’ardoise de son mandat, cette affaire lui offira difficilement une heureuse issue:

Soit Trierweiler n’est pas sa concubine, auquel cas la note de remboursement s’annonce sallée, tout comme la peine pour détournements de fonds publics à des fins personnelles !

Si au contraire elle affirme bel et bien être sa concubine, la déclaration de patrimoine de François Hollande est une belle arnaque ! Alors, dans l’hypothèse ou le candidat est condamné, cela revient légalement à l’annulation de la présidentielle et l’inéligibilité de François.
Valérie Trierweiler sera donc convoquée chez le juge d’instruction à la rentrée. Il décidera alors ou non sa mise en examen pour détournements de fonds publics.
Continuer la lecture de « Affaire Trierweiler : la plainte sera examinée »

Une voie ferrée a été sabotée ailleurs le même jour que le catastrophe de Brétigny

Nous apprenons que « le 12 juillet, le jour même de la tragédie de Brétigny-sur-Orge, une locomotive a déraillé à Fromental (Haute-Vienne), non loin du site d’Areva de Bessines-sur-Gartempe. Le déraillement n’a pas fait de victime. En revanche, c’est un acte de sabotage qui en serait la cause. Une enquête de gendarmerie est en cours. »

Mais, bien sûr, la SNCF « refuse de faire le lien » avec la catastrophe de Brétigny, où là, évidemment, c’est un accident, « une défaillance matérielle ».
Et où il n’y a jamais eu de pillage de cadavres, ni de caillassage de policiers, paraît-il (même si les CRS viennent de dire le contraire).

On peut préciser que c’est la même SNCF qui parle régulièrement de Shoah, fait repentance et distribue des millions à ce sujet…

Etiquetage de la viande en fonction du type d’abattage : réactions hystériques des sionistes

Sachez braves goys que si vous êtes favorables à la proposition de mentionner systématiquement le type d’abattage sur l’étiquette des produits carnés, vous êtes antisémites !

Selon le Monde : Sylvie Goy-Chavent, la sénatrice (UDI) de l’Ain nommée rapporteuse de la mission commune d’information sur la filière viande, a été en effet l’objet d’insultes à la suite de la publication, mercredi 17 juillet, de son rapport.[…]
Samedi 13 juillet, quelques jours avant la diffusion officielle du rapport, un article intitulé « Abattage rituel : interdit en Pologne, une sénatrice antisémite (?) tente de l’interdire en France« , était publié par le webzine d’opinion israélien JSSNews.com (NDLR : site ultra-sioniste)

En conclusion de l’article de JSSNews on peut lire :

« Sylvie Goy-Chavent est aussi celle qui veut forcer la France à étiqueter les produits fabriqués par des juifs israéliens qui vivent en Judée et en Samarie. Mais non, elle n’est pas concentrée sur Israël. Et non, elle n’est pas antisémite. »

En résumé : si on n’obéit pas aux moindres claquement de doigts du lobby juif, on est antisémite.

Exemple de mots doux trouvés dans les commentaires de l’article :

« Moi je propose que l’on égorge Sylvie Goy-Chavent pour voir combien de temps elle va rester consciente… », « que la pétasse Sylvie Goy-Chavent, une blonde (pas de sa faute) sache qu’il existe un point au niveau de la carotide où l’animal est insensible… »

Mais le meilleur est pour la fin. Joël Mergui, président du Consistoire central israélite de France, déclare à propos de ce débat :

Je peux vous garantir que depuis quelques années, en raison de ce débat, il y a des Juifs qui quittent la France. … La laïcité devient de plus en plus rigide et ceux qui sont les plus pratiquants et détiennent une identité s’en vont…

Bienvenue en République, Mergui

Merci à Miserecord

La pression monte…

… Et on ne va pas s’en plaindre !

Le Figaro : Un engin explosif a provoqué hier dans la nuit d’importants dégâts au siège du parti socialiste de Carcassonne, rapporte Midi Libre. Le sigle du comité d’action viticole (CAV) ainsi que le nom du ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll, ont été taggués sur la façade.
Les murs et le plafond de l’entrée se sont effondrés sous le souffle de l’explosion qui a eu lieu vers minuit. Preuve de son intensité, des vitres de l’école Jean-Jaurès, située face au siège du PS, ont également été soufflées.

La France refuse l’asile politique à Snowden, mais accueille à bras ouverts une pétasse antichrétienne Femen !

C’est emblématique.
Après avoir refusé l’asile politique à l’américain Snowden qui a révélé le scandale de l’espionnage massif des USA envers leurs alliés, Hollande et sa clique ont annoncé l’avoir accordé à l’Ukrainienne qui mène (visiblement, car on ne parle pas des milliardaires masculins qui emploient ces « féministes ») les Femen.

Le groupe extrémiste l’annonce fièrement sur son compte facebook en ces termes :

« L’idéologue et la coupeuse de croix Inna Shevchenko, poursuivie par les autorités ukrainiennes et russe, a reçu des documents qui lui accordent l’asile politique de la République française.
Le 17 août 2012, le jour du procès de Pussy Riot, Inna Shevchenko a tronçonné une croix commémorative sur la Place de l’Indépendance en signe de solidarité avec les accusés et contre les prétentions théocratiques du ROC [acronyme désignant l’Eglise orthodoxe russe, NDCI] . L’action a déclenché un certain nombre d’actes similaires à travers toute la Russie, et est entrée dans l’histoire de l’athéisme féministe et militant. »

Inna Schevchenko en action

Il est vraisemblable que nos gouvernants, animés par la haine de l’ordre naturel et de la religion catholique, agissent par sympathie pour le combat infernal des Femen, en particulier sous son aspect antichrétien.
Les Femen jouissent déjà d’une étonnante impunité en France, étant protégées par la police durant leurs actions illégales et n’étant jamais poursuivies en dépit de leurs multiples violations de la loi. Alors que, parallèlement, une répression policière et judiciaire sans précédent s’est abattue sur les gens normaux.

Daniel Mermet, un communiste aux méthodes capitalistes

Daniel Mermet est le producteur de l’émission (ouvertement d’extrême gauche) « Là-bas si j’y suis » diffusée sur la radio publique France Inter. Le site gauchiste Article11 sort un article au vitriol sur les pratiques managériales peu orthodoxes de celui qui ne cesse de vociférer sur les patrons. Il est à noter que la direction de France Inter couvre les agissements de ce monsieur depuis de nombreuses années.

Après Jacques Chancel l’année dernière, c’est Daniel Mermet qui vient de recevoir le Grand Prix de la SCAM (Société civile des auteurs multimédias) pour « l’ensemble de son œuvre ». Décernée le 21 juin dernier, cette gratification récompense un journaliste hétérodoxe de 71 ans qui a hissé le reportage radiophonique au rang d’art sonore et battu le pavé des luttes sociales en France et à l’étranger depuis un quart de siècle. Elle distingue aussi l’émission qu’il produit et anime chaque jour sur France Inter, « Là-bas si j’y suis », l’un des rares espaces dans l’empire audiovisuel français à faire écho aux luttes sociales et aux pensées dissidentes. Pour tout ce que la « gauche de gauche » compte en éditeurs, auteurs, artistes ou chercheurs ignorés par les grands médias, « Là-bas si j’y suis » (LBSJS pour les intimes) représente un refuge intellectuel en même temps qu’une fantastique aubaine promotionnelle : il n’y a guère que « chez Mermet » qu’ils peuvent accéder à un public de 610 000 auditeurs en moyenne (chiffres Médiamétrie 2012), réputés fidèles et réceptifs. Mais la remise du hochet de la SCAM – lesté tout de même d’un chèque de 7 000 euros – au baryton de la résistance FM fournit aussi l’occasion d’éclairer une facette plus méconnue du personnage : les pratiques managériales pas toujours très scrupuleuses dont il use avec les plus précaires de ses collaborateurs. L’heure étant venue d’honorer « toute son œuvre », arrêtons-nous un instant sur cette œuvre-là.

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Chimiothérapie : traitement ou business ?

[Les commentaires sont ouverts]

chimioA chacun de se faire une opinion.

Trouvé sur alterinfo.net : Cela fait des années que la chimiothérapie est dénigrée par de très nombreux cancérologues, français et américains et non des moindres, ont osé exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par les voies classiques. Hardin B Jones, alors professeur de Physique médicale et de Physiologie à Berkeley, avait déjà communiqué en 1956 à la presse les résultats alarmants d’une étude sur le cancer qu’il venait de mener durant vingt-trois ans auprès de cancéreux et qui l’avait conduit à conclure que les patients non traités ne mourraient guère plus vite que ceux qui recevaient la chimiothérapie, bien au contraire. « Les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi. Ceux qui se sont soumis à l’intervention chirurgicale et aux autres traitements traditionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement[[1]]url:#_ftn1 . » Et le Dr Jones soulevait aussi la question des sommes fabuleuses engendrées par le « Cancer business ». Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n’ont jamais été réfutées. (Walter Last, The Ecologist, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)Le 4 octobre 1985, le Pr. G.eorges Mathé confirmait à L’Express : « Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu’on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires [ce qu’il  appelait la « cancer-connection], et pour cause : ils en vivent. Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anticancéreux » (cf. Le Monde, 4 mai 1988). à son tour, le Dr Martin Shapiro écrivait dans un article « Chimiothérapie : Huile de perlimpinpin ? », : « Certains cancérologues informent leurs patients du manque d’évidence que ce traitement soit utile, d’autres sont sans doute égarés par l’optimisme des parutions scientifiques sur la chimiothérapie. D’autres encore répondent à une stimulation économique. Les praticiens peuvent gagner davantage en pratiquant la chimiothérapie qu’en prodiguant consolation et apaisement aux patients mourants et à leurs familles. » (cf. Los Angeles Times, 1er septembre 1987).

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