La négation du réel est poussée de plus en plus loin par les remplacistes et cosmopolites…

Invité lors du « Grand Jury RTL, Le Figaro, LCI » dimanche 3 novembre, le secrétaire d’Etat en charge des Transports Jean-Baptiste Djebbari dépeint la France de Marine Le Pen : une « France gauloise, blanche, hétérosexuelle si possible comme le disait Eric Zemmour. C’est une France qui n’a jamais existé dans l’histoire et elle construit cette utopie et elle dresse les gens les uns contre les autres, ça me paraît être totalement l’inverse de notre projet ».
Trois remarques :
► Ce Djebbari soit ne connait strictement rien à l’histoire de France (ce qui est plausible pour un ministre républicain), soit nie le réel en mentant effrontément.
Rarement un peuple (le peuple français, presque entièrement gaulois jusqu’à présent) a fait l’objet d’un tel mépris, d’une telle négation de son identité, de son existence.
► Djebbari avoue explicitement que le « projet » de son parti cosmopolite est « l’inverse » d’une « France gauloise, blanche, hétérosexuelle ».
► Djebbari se trompe quant à la vision de la France qu’a Marine Le Pen. Contrairement au Front national d’avant, la présidente du Rassemblement national ne cesse de dire qu’elle a une vision non ethnique (donc multiraciale) de la nation française.



Si la « Convention de la droite » organisée par des proches de Marion Maréchal n’a débouché sur aucun événement majeur (cette dernière ayant annoncé dans la foulée ne pas être candidate à la présidentielle 2022), elle aura permis de clarifier les positions, entre les personnalités politiques qui saisissent l’enjeu du XXIe siècle pour les peuples blancs, et celles comme Marine Le Pen, qui ne comprennent pas leur responsabilité devant l’histoire. 




Bernard Lugan remet les pendules à l’heure au moment ou des dizaines de milliers d’Algériens s’apprêtent à descendre une nouvelle fois dans la rue pour casser, brûler, piller tout ce qu’ils trouvent en prétextant la colonisation passée.