Le retournement de veste, c’est maintenant !

Preuve, s’il en fallait, de la manipulation dont le peuple français a été l’objet ces dernières années, à propos du Pacs. En 1998, Elisabeth Guigou s’élevait à l’assemblée contre le mariage et l’adoption homosexuels, lors d’un discours prononcé au moment du vote du Pacs. « Une famille, ce n’est pas simplement deux individus qui contractent pour organiser leur vie commune. C’est bien plus que cela. C’est l’articulation et l’institutionnalisation de la différence des sexes. C’est la construction des rapports entre les générations, celles qui nous précèdent et celles qui vont nous suivre. La famille c’est aussi la promesse, la venue de l’enfant« , déclarait-elle.

Mais au même moment, elle votait le Pacs dont la philosophie procède déjà d’un rejet de la réalité d’une nature humaine sexuée d’une part, et d’une catégorisation de la population divisée selon l’orientation sexuelle d’autre part. Dont la philosophie conçoit la loi comme un service rendu aux intérêts consuméristes de l’individu égoïste. Bref, le schéma intellectuel est campé, les principes jetés : les catégories reconnues et la loi ordonnée à leur satisfaction, du Pacs au mariage, il n’y a plus qu’un pas qui relève du degré, pas de la nature. Le besoin humain étant croissant, ce pas allait incessamment être franchi : c’est désormais chose faite, et madame Guigou est mise devant ses contradictions…ou sa duplicité ! Regardez :

Attentat de Boston : un faux mutilé, joué par un soldat ?

[C’est la thèse que soulèvent certains sur le net, après avoir étudié une video des attentats de Boston.
Ils affirment qu’un type, amputé des jambes de longue date, fait le comédien durant les attentats de Boston en se montrant avec des moignons ensanglantés.

Il est vrai qu’il faut s’attendre à toutes les manipulations de la part de Washington, depuis longtemps, mais est-ce convainquant ?
Vous pouvez le dire en commentaire.
Contre-info]

« C’est le genre de choses qu’ils ne veulent pas que nous voyions. S’il vous plaît partagez cette information avec tous ceux que vous connaissez. (Avertissement, certaines de ces images sont repoussantes, à première vue. Je vous assure cependant que le sang et la chair sont du toc, je peux le prouver par simple observation, médicalement informée.)

J’ai étudié et obtenu un diplôme d’ambulancier avec l’état d’Oregon. Je suis parti en mission pour des saignements artériels lourds, des hémorragies internes, des morts, des morts à l’arrivée. Je parle d’une expérience directe et personnelle des traumatismes sérieux.

Voici une photographie éloquente de l’acteur amputé (prise le jour de l’attentat, ndt). J’encourage les lecteurs à comparer la photo avec mon analyse.

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Morale laïque : l’endoctrinement au programme des écoles

Vincent Peillon a défini hier les modalités d’enseignement de la morale laïque. Il précise à cette occasion que « la morale laïque est un ensemble de connaissances et de réflexions sur les valeurs, les principes et les règles qui permettent, dans la République, de vivre ensemble selon notre idéal commun de liberté, d’égalité et de fraternité ». Nous apprécierons le caractère abstrait de cette morale dont la banalité a priori laisse augurer son inconsistance. Car qui s’oppose à la liberté ? Qui dénonce l’égalité ? Dans le même genre, qui préfère la guerre à la paix, ou bien le mal au bien ?

En réalité, derrière ses bons sentiments -mais fait-on de la morale avec des lieux communs et des bons sentiments ?-, il faudra s’interroger sur le sens profond que peuvent recouvrir ces mots, qui apparaissent d’abord comme des poncifs. Car il y a différentes conception de la liberté, comme il y a plusieurs conceptions de l’égalité. Sauf à demeurer dans les banalités d’usage, il faudra donc que cet enseignement mette des réalités derrière les mots, et sous couvert d’enseignement de la morale, impose donc une structure de pensée philosophique aux élèves. L’enseignement de l’égalité pourra ainsi se décliner, à titre d’exemple, à travers la promotion du « mariage » homosexuel. Bref, « l’éducation nationale » là encore, fidèle à sa vocation, confisque aux parents l’éducation de meilleurs enfants et compte bien poursuivre son bourrage de crâne…

Et le ministre poursuit : « D’abord, certains voudraient laisser penser que la morale laïque serait antireligieuse. C’est exactement l’inverse : elle est une morale commune à tous, et c’est justement son respect qui autorise la liberté et la coexistence des croyances individuelles et privées de chacun« . Pardon monsieur le ministre, mais le décalogue n’a-t-il pas non plus une portée universelle ? La loi morale naturelle qu’il traduit n’est-elle pas commune à tous ? A moins que la morale de monsieur Peillon ne fasse l’apologie du meurtre, du mensonge ou du vol, il est à craindre qu’elle n’aura pas inventé grand chose…

Comment la préfecture a truqué les photos de la manifestation monstre du 24 mars

Cette vidéo réalisée par TProd prouve, grâce au concours de spécialistes de l’image, que la préfecture de police a bien fait retoucher les images aériennes du cortège de la Manif pour Tous du 24 mars 2013 afin de minorer son succès (alors que plus d’un million de personnes y avaient vraisemblablement participé, la préfecture s’arc-boutait sur son chiffre de 300 000 personnes, refusant de fournir les photos contrairement à ce qu’elle avait d’abord proposé).

Source : NDF

Le règne de la minorité ou l’émergence du politiquement correct

Voici un documentaire inachevé, intitulé Le règne de la minorité, réalisé par le nationaliste Byron Jost. Le film traite des causes du politiquement correct :


Le règne de la minorité, l'émergence du… par hussardelamort

Manif du 24 mars : la préfecture refuse de donner ses images

Après l’annonce ridicule de la préfecture de police de Paris, prétendant qu’il n’y avait que 300 000 manifestants dimanche 24 à Paris contre la dénaturation du mariage, l’administration avait été logiquement critiquée.

La préfecture avait fait semblant d’être offusquée de ces contestations et affirmé qu’elle tenait à disposition des journalistes tous ses enregistrements.

Un journaliste de Technikart a donc essayé de les visionner, sans jamais y parvenir, comme il le raconte ici.

La préfecture ajoute donc le mensonge au mensonge. Seuls les naïfs seront surpris.

Daube propagandiste et haineuse contre Drumont à la télévision

Ce mardi soir sur France 2, un « docu-fiction » sur Edouard Drumont. Cette propagande est bien sûr payée avec nos impôts.

Drumont est une figure de l’histoire du nationalisme français, et la critique de l’influence juive qu’il mena était à l’époque populaire, largement répandue par delà un clivage « droite-gauche » flou.

De celui qui est aujourd’hui vu avec des lunettes du 21e siècle comme un monstre, Charles Maurras disait :
« la formule nationaliste est ainsi née presque tout entière de lui ; et Daudet, Barrès, nous tous, avons commencé notre ouvrage dans sa lumière. » Plus loin dans son Dictionnaire politique et critique, Maurras ajoutait : « Chroniqueur merveilleux, historien voyant et prophète, cet esprit original et libre s’échappait aussi à lui-même. Il ne vit point tout son succès. »

Denis Podalydès, l’acteur qui incarne de façon très partiale Drumont dans cette daube de la chaîne publique, raconte dans un entretien ce qu’il pense du personnage :
« ce personnage est passionnant. Pas tellement par lui-même – c’est vraiment une crevure –, mais par son époque, le succès invraisemblable de ses écrits infâmes, l’antisémitisme français dans toute sa puissance. […] Tous les acteurs habitués à incarner des êtres sympathiques ne rêvent que d’une chose : jouer des ordures.[…] Finalement, elle [sa barbe] m’a aidé à trouver la virulence du personnage, son acrimonie, son regard torve. […] C’est un homme de lettres, mais profondément raté et profondément petit. Il avait une expression toujours faussement grandiose, un vocabulaire excessif, une rhétorique ampoulée pour dire les choses les plus basses. Il s’enivrait de ça. C’était un poète raté […] Comme il a échoué, il s’est reconverti dans la calomnie et l’antisémitisme.
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Théorie de l’évolution : l’éducation nationale en flagrant délit de propagande

Voici, ci-dessous, le sujet qu’un père de famille a découvert dans les cahiers de son fils scolarisé à Vauvert :

« Un élève de 3ème, Pablo, est persuadé que les espèces n’évoluent pas mais sont arrivées sur Terre grâce à Dieu.
Son professeur de SVT est embêté. Il aimerait convaincre Pablo que l’évolution des espèces existe car elles ont toutes une origine commune.
Vous êtes le professeur. »

En bref, l’éducation nationale impose la vulgate dominante à  nos petites têtes blondes : ce qui n’est pourtant qu’une théorie  construite abstraitement -et pour cause, personne n’a l’expérience de ce qu’aurait été une évolution sur des millions d’années- devient un dogme intangible -comprenez « idéologique »- que l’enseignement de la République tente d’inculquer aux jeunes générations.

Car la science moderne, dite expérimentale, procède par expériences provoquées et construites, lesquelles doivent infirmer -dans l’autre cas, elles la confirme- une théorie émise par les scientifiques afin de rendre compte d’un phénomène naturel. Il reste, tant que l’expérience n’infirme pas la théorie, que celle -ci demeure une explication à laquelle la science restera attachée jusqu’à ce qu’elle soit remise en cause par une nouvelle expérience. En un mot, il ne s’agit que d’une théorie possible, le but du scientifique étant moins de connaître la vérité que de pouvoir rendre compte d’un phénomène à travers un paradigme, c’est-à-dire une grille de lecture plausible.

Quoiqu’il en soit par ailleurs de l’évolution physique des êtres naturels, il subsiste une chose que le scientifique ne trouvera jamais derrière son instrument de mesure car elle n’est pas quantifiable : c’est la dimension spirituelle qui habite tout homme et dont la cause matérielle à elle seule est incapable de rendre compte.
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Terrorisme intellectuel : La République ne recevra pas la Manif pour tous qu’elle taxe d’homophobe !

Le premier vice-président de la commission des lois du Sénat a donc refusé de recevoir la Manif pour tous. Et les raisons qu’il invoque sont stupéfiantes ! « Vous représentez la pire des homophobies, qui est « Je n’ai rien contre les homosexuels, j’ai plein d’amis homosexuels, mais je refuse l’égalité qui leur est due » « , explique le vice-président de la commission dans sa lettre…

Il manque cependant un maillon dans son argumentation : il postule qu’une « égalité leur est due« . Sans étayer. Ce que cet homme refuse obstinément de comprendre, et c’est là une preuve manifeste de son manque d’ouverture intellectuelle, c’est que ses détracteurs ne partent pourtant pas des mêmes principes que lui, et singulièrement qu’ils n’épousent pas la même vision de l’homme que les socialistes. Car en effet, la personne humaine ne se réduit pas à son orientation sexuelle, donnée subjective : elle se reconnaît cependant comme être sexué, donnée objective. Là où le vice président de la commission des lois du Sénat, en enfermant l’individu dans une catégorie, divise l’humanité en homosexuels et en hétérosexuels, nous observons quant à nous que l’humanité se divise en hommes et en femmes, et même qu’elle n’existe pas en dehors de la masculinité et de la féminité. Partant de cette donnée anthropologique, les homosexuels comme les hétérosexuels ont chacun les mêmes droits : celui de se marier avec une personne de sexe opposé.

Ce monsieur pourrait donc avoir l’honnêteté intellectuelle de discerner dans l’argumentation de ses opposants des principes divergents des siens, et de juger ainsi leurs conclusion à partir de leurs principes, et non des siens. On pourra ensuite discuter les principes. En attendant, cette once d’honnêteté lui aurait interdit d’accuser ses opposants d’homophobes : car l’homophobe est celui qui considère que l’humanité se divise en homos et en hétéros et qui, dans le même temps, refuse à chacun les mêmes droits. Si donc la Manif pour tous avait adopté un tel principe, alors oui, son refus du « mariage » homo aurait pu se fonder sur l' »homophobie ». Mais tel n’est pas le cas…

En bref, le politiquement correct juge les opinions à l’aune d’une doxa dominante qui ne se discute pas, d’une grille de lecture dont personne ne doit jamais interroger l’assise ni la légitimité. On appelle ça le terrorisme intellectuel.

JdR

En France, il vaut mieux occuper une cathédrale qu’une mosquée…la république s’en porte mieux !

Après le dernier scandale provoqué par les extrémistes du mouvement Femen à Notre-Dame de Paris, le monde politique a réagi pour condamner cette provocation. Et l’on reste sur sa faim…

La condamnation de Manuel Valls, ministre des cultes, s’est faite longuement attendre, moins enthousiaste, semble-t-il, à condamner une provocation menée contre l’Église que contre l’islam. Quant au ministre du Droit des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, elle a constaté « une provocation qui peut paraître assez inutile« , soulignant que la France n’est pas un pays où les libertés publiques sont en danger, au point que de telles actions seraient nécessaires. Hallucinant ! Le ministre suggère par là que cette provocation aurait pu être utile : même s’il s’avère qu’elle peut paraître inutile ! Aucune condamnation de principe donc.

Pour information, lorsque une mosquée, seulement en construction et donc déserte en l’état, est symboliquement et ponctuellement occupée par un mouvement dans le but de faire passer un message politique, la condamnation de principe ne se fait pas attendre et l’on déclare sur tous les tons la République en danger, réclamant la dissolution du mouvement à l’initiative de l’action.
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Mensonge d’Etat : en image !

Les chiffres de la préfecture de Paris concernant le nombre de participants aux deux manifestations du 13 (opposition au « mariage » homosexuel) et du 27 (promotion du « mariage » homosexuel) janvier sont évidemment tronqués. La preuve ?

Twitter : retour aux z’heures-les-plus-sombres-de notre-histoire…

Après diffusion, en octobre, de tweets jugés antisémites, le réseau social Twitter avait été assigné en référé par l’Union des étudiants juifs de France et plusieurs autres associations. Hé bien, le Tribunal de grande instance de Paris vient d’ordonner hier à Twitter de communiquer les données permettant d’identifier les auteurs de messages racistes ou antisémites !

En un mot, la justice française incite à la délation, mieux, elle l’ordonne ! Le bien commun est-il en cause ? Non, évidemment. Cette mesure est donc frappée d’un caractère exclusivement idéologique qui la discrédite totalement : la loi est détournée, confisquée à des fins politiques !

Car tout le monde sait parfaitement que l’accusation de racisme est un élément de langage qui vise aujourd’hui à disqualifier un adversaire politique. Ni plus, ni moins. A telle enseigne que ce mot ne recouvre plus aucune réalité sérieuse, tant il a été galvaudé : sont ainsi racistes, par exemple, ceux qui s’opposent à l’islam et à la structure philosophico-politique qu’il incarne. Sauf que l’islam n’est pas une race, précisément. Ceux qui s’opposent au Christianisme et à son enseignement sont-il également racistes ? Porter un jugement de valeur sur la portée d’une religion, d’une philosophie ou d’une politique sociétale n’a évidemment aucune mesure avec un comportement raciste.

Disons-le, le racisme est sans doute aujourd’hui, dans le vocabulaire français, le concept le plus confus qui soit : il n’est donc pas étonnant qu’il soit l’instrument de toutes les manipulations intellectuelles et partisanes. Pour noyer son chien, ne faut-il pas d’abord l’accuser de la rage ?

Car le racisme, s’il doit être défini sérieusement, est une doctrine qui introduit une hiérarchie entre les races : certaines seraient alors – ontologiquement ?- supérieures à d’autres. Position qui n’est tenu par aucun courant de nos jours.

Nous revoilà donc revenus aux heures les plus sombres des procès staliniens : car c’est seulement à l’aune de la vulgate médiatico-politique que seront déterminés les comportements racistes. Qui donc ne consent pas à épouser les vues dictées par la doxa sera systématiquement soupçonné de dérapage. Odieuse arrogance d’un milieu qui, quoique concentrant tous les pouvoirs, ne représente pourtant guère plus que lui-même !

JdR

 

Expulsion de clandestins : l’enfumage du gouvernement !

D’après l’entourage de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, qui confirme une information du quotidien Libération, la France aurait expulsé, en 2012, 36.822 étrangers en situation irrégulière. Un record, selon cette source qui déclare que « 36.822 sans-papiers ont été expulsés en 2012 contre 32.912 en 2011, soit une hausse de 11,9% », avant d’expliquer que les deux premiers mois de l’année « furent sans précédent ».

S’agit-il d’une manœuvre pour rassurer les français ? Qu’importe d’ailleurs le détail des chiffres, que l’on manipule somme toute sans trop de difficultés en jouant sur différents paramètres. Car l’immigration de masse et de substitution est bien le fait de ces gens là qui nous assurent aujourd’hui lutter contre la clandestinité.

Comment peuvent-ils prétendre réguler l’immigration, quand les accords de Schengen accordent à tous les étrangers présents sur le sol européen le droit de circuler dans n’importe quel pays de l’Union européenne ? Les socialistes ont-ils oublié qu’ils ont fait voter le dernier traité européen qui affirme la suprématie du droit européen sur le droit national, ôtant à la France la maîtrise de son propre territoire ? Comment seraient-ils crédibles dans leur lutte contre l’immigration clandestine lorsqu’ils ont contribué à l’effacement des frontières, voyant dans l’émancipation à toute sorte d’attache un facteur du Progrès ? Lorsqu’ils promeuvent sous couvert de cette même idéologie le dépassement de toutes les structures d’appartenance et d’enracinement ? Lorsqu’ils chantent sur tous les tons les louanges de la « diversité« , criant que l’immigration est une chance pour la France ?

Ils peuvent bien tordre les chiffres dans tous les sens qu’ils veulent : leur double discours les discrédite complètement. Le fait est que dans la réalité, le français qui prend le métro ne s’y est pas senti pas davantage chez lui en 2012 qu’en 2011…

JdR