Lynchage médiatique : un site juif accuse Dies Irae de « nazisme » et de « pédophilie »

Suite à l’annonce d’une émission  des «Infiltrés » sur France 2, mettant en cause les catholiques traditionalistes de Bordeaux, le site israélien en langue française « JSS.com » met gravement en cause le mouvement Dies Irae:

Pour cette enquête qui se veut “tranchante”, des journalistes de l’agence CAPA ont infiltrés pendant un an un groupe dit “traditionaliste”, les Dies Irae. Comprendre intégriste. Ce genre de groupe qui forme de petits nazillons et qui apprennent aux mômes le salut nazi pendant que tonton vérifie ce qu’il se passe sous le pantalon.

On reconnait bien là, la haine des fanatiques juifs.

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France 2 s’en prend aux catholiques bordelais de l’IBP et de Dies Irae

Un reportage consacré aux catholiques proches de l’Institut du Bon Pasteur à Bordeaux sera diffusé mardi 27 avril à 22h55 sur France 2.
Ce magazine a pour titre « Les Infiltrés ». Il s’agit en fait d’un magazine produit par Capa Télévision pour le compte de France 2 et animé par David Pujadas.

Daniel Hamiche était invité au pseudo débat, mais vrai lynchage,  qui fera suite à la diffusion de ce reportage malveillant:

Les axiomes de base du reportage sont les suivants : traditionalistes = nazis ; écoles hors contrat = couveuses de fascistes ; prêtres en soutane = aumôniers de la L.V.F. La “reductio ad hitlerum” en quelque sorte…

Ce groupe Dies Irae, tel qu’on s’en fait une idée en visionnant le reportage – mais ce n’est qu’une idée, et c’est celle qu’on veut évidemment mettre dans la tête des téléspectateurs –, est composé d’extrémistes racistes formatés pour tuer les « Arabes » et les « Juifs » au nom de Dieu dans une improbable « croisade » et parce qu’ils sont « traditionalistes ». L’école hors contrat rattachée à la paroisse Saint-Éloi de Bordeaux est une fabrique de jeunes fascistes puisqu’on y entend des jeunes enfants chanter des chants ou proférer des propos antisémites. Cela, je dois l’avouer, m’a mis plutôt mal à l’aise. Quant aux prêtres desservant la paroisse ou attachés à cette école hors contrat, ce sont des “complices” avérés – au pis – ou inconscients – au mieux – de ces “racistes-fascistes-antisémites”.

Lire l’entretien complet de Daniel Hamiche sur Riposte Catholique
Lire l’article des Intransigeants sur cette affaire

Paroxysme du politiquement correct

Un technicien médical s’est suicidé en Angleterre après avoir proféré une blague « raciste ».

Ayant conseillé sur un ton badin à  un collègue noir de se cacher après avoir aperçu la police anti-immigration depuis leur clinique, cet homme de 61 ans, Roy Amor, s’est vu menacé d’être licencié par son entreprise, après une dénonciation de la part d’un témoin de la scène.

Recevant, après 5 jours de suspension par mesure disciplinaire, un email de sa hiérarchie lui demandant des explications, le sexagénaire, craignant pour son emploi, s’est donné la mort près de son domicile, à Bolton.

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Le CSA aux ordres du CRIF

Le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) a demandé, le 8 avril 2010, à la société Eutelsat de cesser la diffusion de la chaîne égyptienne Al Rahma.
Des propos à caractère « antisémite » auraient été tenus sur cette chaîne, le 31 octobre 2009, à propos du conflit israélo-palestinien, décrivant le peuple juif de façon non positive.
Pour le Conseil représentatif des Institutons Juives de France (CRIF) de tels propos seraient contraires à l’article 15 de la loi du 30 septembre 1986 qui interdit la diffusion de tout programme incitant à la haine ou à la violence pour des raisons de religion ou de nationalité.

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Bourrage de crâne en Alsace – 3ème épisode

« Il nous faut occuper le terrain. Sur Internet, on trouve du grand n’importe quoi sur cette période tragique de l’histoire », explique Valérie Drechsler, la directrice du Centre européen du résistant déporté (Cerd).

Le bourrage de crâne des jeunes Alsaciens et plus généralement des jeunes Français continue. Cette fois-ci, c’est par le biais d’un site Internet sur le camp d’internement du STRUTHOF destiné en particulier aux « élèves et à leurs enseignants ». La panoplie du catéchisme shoastique semblait pourtant déjà bien fournie, mais il faut croire que le message doit toujours être davantage martelé. C’est ce que souligne Claire Lovisi, rectrice de l’académie de Strasbourg  : « Ce site nous rappelle surtout au devoir de vigilance ».

Par ailleurs, le négationisme ne semble pas déranger les auteurs du site, puisqu’il n’y figure aucune mention de l’utilisation du Struthof comme camp d’internement après la guerre où ont été détenus dans des conditions particulièrement ignobles de nombreux Français patriotes, à l’image de Pierre SIDOS.

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