Retour sur un traitement politico-médiatique ignoble : remarques sur le 2 poids 2 mesures républicain

• Les gros médias ont parlé toute la journée d’une agression meurtrière de l’extrême-droite (voir ici notre analyse). Maintenant qu’il apparaît de plus en plus clairement que les agresseurs sont 5 extrémistes de gauche qui ont provoqué, attendu et attaqué 4 jeunes patriotes dont une fille (comme le précise Serge Ayoub dans son témoignage sur Itélé, ci-contre). Les médias se font plus discrets. Jamais ils ne feront une campagne de rétablissement de la vérité, comme ils ont fait une campagne hystérique ce jeudi, toute la journée. Le Figaro et autres titraient « Paris sous le choc », alors que les gens ne sont émus que dans la mesure où les journalistes leur ont bourré le crâne toute la journée.

Attention, ce ne sont pas des extrémistes de gauche, ce sont des militants.

• Quand les journalistes désignent un jeune nationaliste, ils ne parlent que d’« extrémiste » ou à la limite de skinhead.
Quand ils parlent d’un activiste de la gauche la plus extrême (CNT, Action antifasciste etc.), ils parlent d’un « militant ». Quelqu’un de leur camp, quoi.

• Les politiciens qui n’ont de cesse, quand un étranger ou un islamiste commet un crime, de crier qu’il ne faut pas faire d’amalgame, pas de généralisation, s’en donnent à coeur joie contre les mouvements nationaux, alors même que les mis en cause ne semblent être militants dans aucune structure.
Les politicards, toujours sans scrupule, se servent cyniquement de la dépouille d’un jeune manipulé, pour des objectifs minables avec une malhonnêteté intellectuelle totale. Que n’ont-ils demandé la dissolution des « Verts » et de la « Ligue des droits de l’homme » dont un membre très actif, Richard Durn, a assassiné 8 personnes à Nanterre ?

• Comparer le traitement médiatique de cette affaire avec d’autres est très parlant : quand régulièrement de jeunes Français sont assassinés pour rien, ou, pour prendre un cas plus similaire, quand les amis de Clément Méric ont tué un patriote, Yann Lorence, près du parc des Princes en 2010. Yann a été frappé à mort par les « antifas », tabassé au sol, le crâne piétiné : ici, ce n’était pas de la légitime défense, ni un accident, et il y avait une volonté de tuer. Pourtant, on n’a pas connu l’odieuse hystérie politico-médiatique qu’on a vu hier, et la police n’a pas retrouvé (cherché) les coupables…
Comparez dans google, les résultats pour Yann Lorence et pour Clément Méric