Élections : le scandaleux communiqué du président de l’Université de Bourgogne aux élèves

Alain Bonnin, président de l’Université de Bourgogne et probablement membre d’une secte maçonnique, a osé envoyé un message militant (et délirant) à tous les étudiants de son établissement (comme certains d’entre eux nous l’ont confirmé). Ce communiqué politique a aussi été diffusé sur le site de l’université, où il figure toujours.

Mesdames, Messieurs, cher(e)s collègues, cher(e)s étudiant(e)s,
Après une campagne électorale inédite, l’heure est venue d’un choix qui sera déterminant pour notre pays et pour l’Europe.
Nous vivons en effet l’un de ces moments de l’histoire où l’unité de la nation est menacée par l’intolérance et la peur. Ces temps incertains sont souvent porteurs d’années sombres. Comment donc ne pas être inquiets quand l’Europe qui s’est unie dans et pour la paix est menacée par la montée des crispations identitaires ? Et quand, dans la patrie des Lumières et des Droits de l’Homme, le vent froid du populisme balaye le pays.
La France ne doit pas s’égarer sur ces chemins obscurs. Notre pays doit faire le choix des valeurs universelles et humanistes que sont la dignité de tous, la justice et la tolérance. Notre société doit être unie et réconciliée. La France doit renforcer la construction européenne. Car dans l’histoire des peuples, l’Europe est un espace unique de développement et de préservation de la paix.
Le Front National n’incarne pas ces valeurs. Aussi, je vous appelle solenne llement à voter nombreuses et nombreux contre la candidature de Madame le Pen le 7 mai prochain pour le second tour de l’élection présidentielle.
Chacune et chacun d’entre nous est responsable de l’avenir et doit s’engager.
Je vous adresse, Mesdames, Mes sieurs, cher(e)s collègues, cher(e)s étudiant(e)s, mes salutations républicaines.
Alain Bonnin
Président de l’université de Bourgogne
Evidemment ce bourrage de crâne viole le devoir de réserve qui incombe aux enseignants et plus encore aux « fonctionnaires d’autorité », en vertu de la « neutralité de l’Etat ». Mais gageons que ce militantisme déplacé jouant sur les peurs, l’ignorance et le mensonge ne sera pas sanctionné.

Repentance mémorielle : les profs en overdose

Non content d’avoir détruit toute l’instruction au point que le classement de la France dans les enquêtes PISA (enquêtes internationales qui évaluent les connaissances et savoirs des élèves dans les disciplines fondamentales) a très fortement régressé, les élèves ne sachant de nos jours plus écrire, plus compter, n’ont plus aucun attrait pour la littérature – qu’ils n’ont jamais étudiée -, François Hollande, avant de quitter ses fonctions, vient d’instaurer dans les établissements scolaires une semaine par an qui sera consacrée à « l’étude des génocides ».

Le problème c’est que cette mesure ne passe pas chez les enseignants pourtant d’ordinaire si dociles pour claironner les bonnes paroles. Ainsi, nous explique le monde, « Certains se disent « surpris ». D’autres « agacés », pour ne pas dire « consternés »… » Ce qui déplaît, c’est que les génocides sont déjà très largement enseignés. « Tout professeur d’histoire-géographie reçoit déjà régulièrement des injonctions de ce type, à un devoir de mémoire, à propos d’un événement, parfois d’un personnage », rapporte, dans un communiqué, l’association de professeurs Les Clionautes. Exemples : 27 janvier : Journée de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l’humanité ; dernier dimanche d’avril : Journée du souvenir des victimes de la déportation ; 10 mai : Journée de la mémoire de la traite négrière, de l’esclavage et de leur abolition ; 27 mai : Journée nationale de la Résistance… Michel Lassault, président du conseil supérieur des programmes, est lui aussi peu convaincu « d’en rajouter » : « Il en est aussi question en éducation morale et civique, dans le cadre de l’éducation aux médias et à l’information, mais aussi lors de projets, de concours… si bien qu’il est difficile de ne pas en avoir entendu parler au cours de la scolarité » nous explique-t-il…

Saluons, une fois n’est pas coutume, la réaction de Franck Collard, président de l’association des profs d’histoire-géo : « Un cours d’histoire n’est pas un cours de mémoire. Nous sommes tout à fait favorables à une étude rigoureuse et scientifique des phénomènes génocidaires, mais les introduire sous un angle moral, émotionnel, me semble une mauvaise idée. Ce n’est pas le rôle de l’école. »

Attaque chimique en Syrie : l’enquête préliminaire beaucoup plus nuancée

Le président de la commission d’enquête internationale sur la Syrie a rendu vendredi ses premières conclusions après l’attaque chimique de Khan Cheikhoun en Syrie.

Comme d’autres organisations, Paulo Pinheiro estime que des agents chimiques ont bien été ultilisés le 4 avril dans la province d’Idleb. Mais selon lui les victimes seraient surtout mortes après des blessures causées par des armes conventionnelles.

Quant à la responsabilité du régime de Bachar Al-Assad, le président de la commission d’enquête affirme ne pas pouvoir tirer de conclusion à ce stade.

Source : Euronews

Syrie : prudence sur « l’attaque chimique » de Khan Cheikhoun

A l’heure ou Trump envisage sérieusement une intervention militaire en Syrie, il convient de revenir sur le déroulé des évènements afin de se forger une opinion avec prudence et réalisme.

Les faits : le mardi 4 avril, l’aviation syrienne bombarde Khan Cheikhoun, une ville d’environ 50 000 habitants dans la province d’Idleb.
Cette zone est tenue par différents groupes salafistes (Ahrar al-Cham) et jihadistes (Hayat Tahrir al-Cham ex Front al-Nosra).
Suite à cette attaque, des émanations de gaz ont tué près d’une centaine de personnes et blessé près de 200 autres (dont femmes et enfants).

Des images très dures, avec des cadavres d’enfants mis en scènes, alignés les uns à côté des autres, circulent sur les réseaux sociaux.
Sans attendre les conclusions d’une enquête et sans même attendre la version syrienne, les grandes chancelleries occidentales, l’ONU, Israël
et la Turquie accusent Bachar d’avoir volontairement gazé des civils.

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Clip de campagne : le CSA interdit les drapeaux et la Marseillaise par crainte du nationalisme

L’étau se resserre chaque jour un peu plus autour de la liberté de parole et de communication dans l’espace public. Le CSA, organe de maintien de la propagande en France, en arrive même à interdire le drapeau tricolore et la Marseillaise dans un clip pour une élection nationale ! Situation inédite ! Un organisme d’Etat prohibe les emblèmes du régime qu’il est censé défendre. Les mondialistes, qui nous gouvernent, craignent plus que jamais une révolte des Français.

Le CSA a fixé des règles très strictes pour les clips de campagne des candidats à l’élection présidentielle…

Des règles toujours plus contraignantes. Le CSA a communiqué hier aux 11 candidats à l’élection présidentielle les nouvelles règles qui devront s’appliquer pour leurs clips de campagne qui seront diffusés à la télévision à partir du 10 avril prochain, début de la campagne “officielle”.

D’après des informations de nos confrères de l’Opinion, les règles drastiques comprendraient l’interdiction “de faire apparaître tout emblème national ou européenainsi que la Marseillaise, qui n’aura pas le droit d’être diffusée dans les clips de campagne.

Crainte du nationalisme

Le CSA justifie ces interdictions par la peur que les candidats ne misent sur un nationalisme délirant, selon une source citée par le quotidien.

Source

Le Grand-Maître du GODF agressé avec un marteau par une Maghrébine

Juste retour de bâton, diront certains. Toujours est-il que le patron de Jean-Luc Mélenchon (voir ici), Christophe Habbas, a été agressé par une « chance pour la France ». On ne va pas pleurer.

« C. Habbas se dirigeait vers sa station de métro a été agressé par une femme d’origine maghrébine, à coups de marteau, lui criant plusieurs fois « JUIF, JUIF, JUIF ! ». La victime a reculé en essayant de se protéger pendant que la terroriste l’aspergeait d’essence. Dans la rue Cadet, se trouve la Yeshiva du regretté Rav Elie Munk mitoyenne du Grand Orient .La victime a été secourue par des tiers. Une plainte a été déposée. Notons que Monsieur Habbas revenait d’un voyage de 3 jours en Israël (NDCI : il revenait de prendre ses ordres ?), qui a été très médiatisé »

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L’article publié sur l’Express ne parle pas d’essence et d’un seul coup de marteau, mais le journaliste arrive à parler de l’extrême droite sans mentionner l’origine de l’agresseur :

Le 22 mars en soirée, la Grand Maître du GODF, Christophe HABAS a été agressé en sortant du siège national du GODF, Rue Cadet à Paris. Une femme a tenté de lui assener un coup de marteau sur la tête, mais c’est le bras, qu’il avait levé pour se protéger, qui a reçu le coup. Cette personne a aussi proféré des insultes antisémites de type «Marre des Juifs».

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Soldats français accusés de viols en Centrafrique : le parquet demande un non-lieu

Le parquet de Paris a requis un non-lieu dans l’enquête sur les accusations de viols portées par des enfants contre des soldats français de l’opération Sangaris en Centrafrique, en 2013-2014, selon des sources judiciaire et proches du dossier.

Il appartient aux juges d’instruction d’ordonner un procès ou de confirmer ce non-lieu, l’hypothèse la plus probable puisqu’aucune mise en examen n’a été prononcée. Les accusations avaient ébranlé l’armée française, présente en Centrafrique pour restaurer la sécurité après des mois de violences entre rebelles et milices. Mais l’enquête n’a pas permis d’imputer ces abus à des militaires.

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Theo Luhaka reconnaît devant un juge qu’il a menti

La matraque du « crime »

C’est officiel, il vient de l’avouer devant un juge, Théo Luhaka a menti lors du premier interrogatoire pour charger les flics.
Comme pour la grotesque affaire Léonarda, les Français peuvent remercier leur président de s’être aplati devant cette racaille notoire. Merci président !

Lors de sa première audition, Théo avait expliqué s’être fait « enfoncé » un « baton dans les fesses » par des policiers à Aulnay-sous-bois (Seine-Saint-Denis) en février dernier suite à un contrôle d’identité qui avait mal tourné. L’un d’eux aurait ainsi « écarté (son) caleçon sur le côté », pendant que le deuxième lui « tenait les jambes » et que le dernier le maintenait « légèrement incliné debout ». Mais comme le révèle Le Parisien dans son édition du 21 mars, le jeune homme a été mis face à ses contradictions lors d’une nouvelle audition.

La juge qui l’interrogeait a notamment mis en doute ses propos en s’appuyant sur les images de vidéosurveillance et sur les constatations faites sur le caleçon du garçon, retrouvé troué. « Comme je vous l’ai dit, la première audition, je n’étais pas en état », lui a répondu Théo, reconnaissant ne pas se souvenir des mots qu’il avait prononcés ce jour-là.

Un pantalon taille basse, qui « descend tout seul »

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France : Google veut orienter la campagne électorale en « formant » les journalistes

C’est le Réseau Voltaire qui diffuse en premier la nouvelle en publiant un billet intitulé « Google oriente la campagne électorale française ». En cherchant sur internet, on apprend que Google News Lab s’est associé avec un organisme à but « non lucratif », l’European Journalism Centre (voir ici). Ce lobby, financé en partie par Bill Gates, ne cesse d’influencer les journalistes et les rédactions, en finançant par exemple, des projets qui visent à donner une image positive des migrants auprès des populations européennes (ex : ici).

Le projet commun de Google et de l’ECJ s’appelle « News Impact Summit ». On apprend sur leur site internet, qu’un colloque a été organisé à Paris le 6 février pour les journalistes, rédacteurs en chef, technologistes et étudiants en journalisme , sur le thème de « Couvrir les élections – Une approche globale ».

En détails, le programme abordera les sujets suivants : « le storytelling immersif, la visualisation de données comme les résultats des élections, les bonnes pratiques pour s’adresser à la génération Y et aux communautés minoritaires mais aussi le recours au fact-checking contre le populisme. La conférence reviendra aussi sur les élections américaines et examinera les règles de conduite concernant la couverture des élections en France et dans d’autres pays européens en 2017. »

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Espagne : en arborant un slogan contre la théorie du genre, un bus provoque un tollé

« Les garçons ont un pénis, les filles ont un vagin. Ne te fais pas avoir. Si tu es né homme, tu es un homme. Si tu es une femme, tu le seras toujours », pouvait-on lire sur le grand bus orange qui a sillonné les rues de la capitale.

Affrété par l’association Hazte Oir (« Fais-toi entendre »), le bus était l’un des instruments d’une campagne de l’association pour lutter contre la théorie du genre. Le véhicule devait poursuivre sa route vers d’autres villes, mais les autorités de la capitale l’ont saisi et ont protesté.

Alors que le slogan n’est qu’un simple rappel de la réalité, le parquet a demandé à un juge d’immobiliser le véhicule et a ouvert une enquête pour déterminer si le slogan constituait un « délit de haine« .

Dans un communiqué, les magistrats ont affirmé que laisser circuler le bus risquait de créer un « trouble à l’ordre public [et] un sentiment d’insécurité ou de peur parmi les gens, en raison de leur identité ou orientation sexuelle, notamment parmi les mineurs pouvant être touchés par le message. »
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Avocat de Théo : « une manœuvre de basse police »

Eric Dupond-Moretti, l’avocat de Théo, semble très irrité par la médiatisation de l’enquête financière qui vise son client et sa famille pour « suspicion d’abus de confiance et escroquerie ».
Pour ce pénaliste, c’est une vengeance : « La révélation de cette enquête préliminaire dans la presse est une manœuvre de basse police dans le but de discréditer la famille de Théo et Théo. C’est vulgaire, grossier, pathétique. »

« Qu’est-ce que cela change ? Quand on est visé par une enquête préliminaire, cela justifie-il un viol ? Si Théo avait été violé par un boulanger et trois mitrons, aurait-on parlé de cette enquête financière ? »

La diffusion de cette information vient pourtant nuancer le portrait de Théo, présenté par la caste médiatique, comme un jeune modèle et sans histoire.

Source

IVG.net dénonce les 8 mensonges de Laurence Rossignol

Sur leur site :

Capture d’écran 2017-02-21 à 19.33.40« Pour monter combien la désinformation est en fait du coté du gouvernement, nous avons relevés Les 8 mensonges sur l’IVG dans le site « officiel »  www.ivg.gouv.fr :

1/ Il n’y a pas de conséquences psychologiques après une IVG. 

Réponse du gynécologue Philippe Faucher sur le site du gouvernement : « La majorité des études scientifiques sérieuses qui ont été publiées sur le sujet montrent qu’il n’y a pas de séquelle à long terme psychologique de l’avortement. Il n’y a pas de syndrome post-traumatique qui persisterait à distance, plusieurs années après un avortement. » 

Faux !  Des centaines de d’études scientifiques qui ont été publiées dans les revues internationales depuis plus de 30 ans attestent l’existence de ces souffrances à court et long terme. Le Professeur René Ecochard du CHU de Lyon vient de compiler une partie de ces études dont la méta-analyse réalisée par Priscilla K. Coleman publiée en 2011 dans le British Journal of Psychiatry  qui de son coté fait une synthèse  portant sur 22 études, 36 critères et 877.181 femmes (dont 163.831 ayant fait une IVG). Des études controversées existent certes bien dans un sens ou un autre mais ne peuvent pas changer serieusement  le large consesus sur cette question.

2/ Nos témoignages seraient « trompeurs », « faux » « culpabilisants », etc… 

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Comment les meetings de Macron sont des mises en scène pour manipuler

Une vidéo qui montre les techniques d’animation et de présentation des meetings d’Emmanuel Macron :

« Macron utilise des techniques qui devraient presque être interdites car elles relèvent, au-delà de la mise en scène, d’une immense organisation de manipulation des masses destinée à faire croire au succès de cet homme et des idées qu’il porte.
Idées qui, je le rappelle, sont très difficiles à cerner vu qu’il n’a toujours pas de programme !

Alors pour le moment, on fait des immenses spectacles, édifiants.
Ces spectacles sont relayés de façon dithyrambique par des médias, propriétés généralement de soutiens officiels au candidat Macron qui est monté de toutes pièces. Au cric.
Macron est un pur produit marketing à l’ascension fulgurante et donc forcément suspecte.
[…]
Manipuler les cœurs.
Manipuler les hommes et les femmes.
Manipuler les âmes, cela porte un nom.
C’est la définition même du totalitarisme.
Ce nom doit être posé.

Macron est un totalitaire. Sous ses airs doucereux et cucul-gnangnan, si parisiens, si bobos, si dégoulinants de « modernitude » et de politiquement correct, Macron est un totalitaire envoyé sur scène pour incarner les intérêts des mondialistes, des europathes, et donc… du totalitarisme marchand.  »

Charles Sannat