C’est acquis, le CETA, le traité de libre échange entre Canada et UE peut être appliqué avant d’être ratifié par les parlements de chaque Etat membre de l’UE. Une incroyable révolution du droit qui montre que les mondialistes ne reculent devant rien pour imposer leurs projets.
Le CETA (comprehensive economic and trade agreement), lancé en 2014, est le petit cousin du TAFTA (transatlantic free trade agreement), lancé en 2013 : ce sont deux accords de libre-échange passés entre l’Union européenne et, pour le premier, le Canada, pour le dernier les Etats-Unis, dans la ligne des grands machins type OMC (Ah, ces sigles !) construits par les mondialistes afin de répandre le libre-échange partout sur la planète. Chacun suit avec attention son destin politique, les difficultés qu’il rencontre et les solutions choisies pour les surmonter. De son échec ou de son succès dépend celui du TAFTA. Conçu plus tard, mais avançant plus vite, il fait aujourd’hui figure de prototype.
Le CETA, cheval de Troie miniature
Le CETA est en quelque sorte le cheval de Troie miniature des mondialistes. Il fait moins peur que le TAFTA parce que le contractant d’outre-Atlantique est le Canada, ce n’est pas la superpuissance américaine connue pour son impérialisme.
Un excellent décodage du site d’information 

Excellente analyse de Pauline Mille pour 

Les Français croient de moins en moins au conte de fées démocratique vendu depuis des décennies par les médias « mainstream » et les politiques corrompus. L’accès à internet est un facteur déterminant dans cette évolution. C’est pourquoi les gouvernants souhaitent toujours plus « encadrer » les contenus et criminaliser les propos libres.
Ce n’est une surprise pour personne, la participation à la primaire socialiste de dimanche était à la hauteur de la catastrophe annoncée… Quoi de mieux que de bidouiller les chiffres pour minimiser le naufrage du parti ? Libération revient sur les mensonges du PS au sujet des résultats et de la participation au scrutin.



