Canada. Lors d’un hommage rendu aux victimes d’Orlando, le premier ministre québécois se fait agresser par un militant LGBT

Nous vivons dans une société où des communautés se sentent en permanence persécutées, pourtant (ou parce que ?) surprotégées par des lois spécifiques. Cela mène parfois à des situations cocasses, telle celle qui s’est déroulée à Montréal.

Ainsi, une veillée était organisée en hommage aux victimes d’Orlando, en présence notamment du premier ministre québécois. Jusqu’ici nous n’aurions rien à dire, tant le terrorisme nous répugne et il est normal de rendre hommage à ses victimes. Mais cet acte terroriste est systématiquement présenté comme homophobe, ce qui est beaucoup plus discutable. Ainsi, selon cette logique, les attentats de Bruxelles seraient avionphobes ou métrophobes et qu’en serait-il de l’attentat, par exemple, du Bataclan ? D’autant que l’auteur des faits, Omar Matten, musulman d’origine afghane, serait lui-même homosexuel.

Quoiqu’il en soit, la communuauté LGBT fait tout pour récupérer à son profit cet événement abominable et exige d’être présente à toute commémoration. Les autorités, ne sachant rien lui refuser, obtempèrent et c’est ainsi que lors de l’hommage de Montréal, un certain Esteban Torres, 20 ans, se définissant lui même comme « trans » eut la parole et ce à la même tribune que le premier ministre. Mais, pour des raisons que nous ignorons, (a-t-il pris ombrage de devoir parler après le premier ministre et pas avant ?), il a agressé celui-ci en lui lançant un objet.

Qui est responsable des attentats ?

Après l’attentat de Charlie Hebdo, la France avait assisté à une véritable opération de sidération avec une manifestation de récupération indécente qui avait fait la promotion du « vivre ensemble », manifestation dans laquelle on taisait l’aspect religieux de l’attentat et l’origine immigrée des terroristes alors même que ceux-ci se déclaraient explicitement de l’islam. Il en a été de même pour tous les actes terroristes qui ont suivi, qu’ils aient ou non atteint leur but.

On assiste, après la tuerie d’Orlando, à la même opération de sidération : Les journalistes, le président Obama ou la candidate Clinton ne cessent d’accuser la vente facile d’armes aux Etats-Unis comme responsable de la tuerie. C’est une explication un peu rapide. Déjà, ils oublient de nous expliquer pourquoi cette recrudescence des fusillades à motivation religieuse alors même que l’accès aux armes pour les citoyens est une garantie constitutionnelle qui a près de 230 ans. (Orlando n’est que la suite des attentats de Boston commis par les frères tchétchènes Tsarnaïev, ou de la fusillade de San Bernardino commise par un couple de Pakistanais). L’accès facile aux armes n’explique donc pas tout.

D’ailleurs, nombreux sont les commentateurs à faire le parallèle entre la tuerie d’Orlando et celle du Bataclan. Et en effet, les points de ressemblance sont nombreux : Des gens désarmés font la « fête » (on ne jugera pas ici la moralité de ladite fête) et sont la proie facile d’un ou plusieurs terroristes qui arrivent surarmés et peuvent faire un carnage. Pourtant, la France est un des pays où il est extrêmement difficile d’acquérir légalement des armes, a fortiori des armes de guerre. Preuve s’il en est que ce n’est pas l’accès facile aux armes qui permet ces actes terroristes, d’autant qu’en France, une autre tentative d’attentat par fusillade avait eu lieu -heureusement échouée- dans le train Thalys. Ici aussi, le terroriste d’origine marocaine, Ayoub El Khazzani, avait pu se procurer des armes de guerre alors que, rappelons-le, c’est légalement impossible.

Ainsi pour comprendre réellement ces attentats, il faut se détourner des explications officielles du système désignant le mauvais coupable (en l’occurrence l’accès aux armes) et remarquer leurs points communs, qu’ils aient lieu en Europe ou aux Etats-Unis : Tous sont commis par des immigrés ou fils d’immigrés et tous sont revendiqués au nom de l’islam.

L’Etat veut restreindre la liberté des écoles privées

Alors que dans la devise de leur république, le mot « liberté » arrive en deuxième position, force est de constater que dans la réalité, celle-ci est au plus mal en France. La liberté d’opinion est constamment bafouée, les lois liberticides se démultiplient et les tribunaux font du zèle pour les appliquer. Maintenant c’est en matière d’éducation que le gouvernement veut agir, et on l’aura compris, pas dans le bon sens : Ainsi, après avoir constaté que de plus en plus d’élèves sont scolarisés dans des établissements privés (ou même, pour certains, à la maison), le gouvernement plutôt que de se demander le pourquoi de cette situation -et donc se remettre un minimum en cause- a décidé un contrôle renforcé de ces établissements qui ont du succès.

Ainsi, dans une interview au Monde, la sinistre ministre Najat Vallaud-Belkacem, elle qui a porté la catastrophique réforme du collège qui fait, par exemple, que le latin ne sera plus enseigné dès la prochaine rentrée en collège, annonce donc un « contrôle renforcé » des établissements privés ainsi que des 25.000 élèves instruits à domicile (+ 30 % en 4 ans dixit la ministre). Officiellement, c’est parce qu’ « on voit parfois se développer des enseignements trop lacunaires, ne garantissant aucunement un socle minimal de connaissances aux enfants » qu’il y aurait la mise en place de cette surveillance. Quand on connaît le nombre d’illettrés qui sortent chaque année du système scolaire officiel après y avoir passé au moins une décennie dans ses murs, cet argument serait à mourir de rire, s’il ne traitait pas d’un sujet aussi sérieux.

En réalité, ce que craint le gouvernement, c’est que des élèves puissent échapper à son bourrage de crâne, omniprésent au sein de l’éducation officielle. Ainsi, les ligues de vertu antiracistes ou contre-nature y ont pignon sur rue : à titre d’exemple, il faut savoir qu’il n’est pas rare que le planning familial intervienne et ce à la place d’un cours, par exemple, de mathématiques, de sciences ou de langue… Dans ce cas, on se fiche bien du niveau des élèves, ce que l’on veut c’est leur implanter la bonne parole dans la tête. D’ailleurs, dans son interview, la ministre le reconnaissait : Le but de ces contrôles n’est pas seulement le niveau, mais sont également visés « des enseignements (…) attentatoires aux valeurs républicaines. » Apparemment, la liberté ne fait pas partie de ces valeurs là.

Israël : Il escroquait l’Etat français et finançait la campagne électorale de Netanyahu

L’escroquerie à la taxe carbone, qui est en fait une arnaque à la TVA commise au préjudice des Etats européens, s’élève à plusieurs milliards d’euros. C’est du côté d’Israël qu’il faut chercher pour savoir où l’argent est parti, ce que nous savions déjà, le livre d’Hervé Ryssen les milliards d’Israël nous l’ayant appris. Ce qui est nouveau, c’est que Netanyahu lui-même a profité de l’escroquerie pour financer ses campagnes électorales.

Arnaud Mimran, jugé actuellement à Paris, a « contribué à des activités publiques de Netanyahu au début des années 2000 » dixit Le Point. Le bureau de Netanyahu fait tout pour minimiser les choses, mais est néanmoins obligé de reconnaître les faits, en précisant que l’affaire concerne des dons qu’Arnaud Mimran a faits à Benjamin Netanyahu à une époque où il n’était pas Premier ministre. Au final, le bureau de Netanyahu reconnaît la somme de 40.000 $ pour financer des « activités de Benjamin Netanyahu telles que des interventions médiatiques et des déplacements à l’étranger effectués pour le bien d’Israël » tandis qu’Arnaud Mimran parle, lui, de 1.000.000 de dollars. Notons que le bureau du Premier ministre avait auparavant publié un premier communiqué dans lequel il ne mentionnait pas de montant.

Musée d’art moderne. Un lycéen pose ses lunettes par terre, elles sont prises pour une Å“uvre d’art

Il en faut bien peu pour passer pour un artiste contemporain aux yeux du grand public. Un lycéen de 17 ans en a fait l’expérience cette semaine. Alors qu’il assistait à une exposition au musée d’art moderne de San Francisco (SFMOMA), il a décidé de jouer un tour innocent aux visiteurs. Il a posé sa paire de lunettes sur le plancher et attendu leurs réactions. Le résultat vaut le détour.

Des lunettes posées au sol dans

En quelques secondes à peine, les gens intrigués par l’«œuvre d’art» improvisée se sont mis à s’attrouper autour d’elle et la prendre en photo. Un, puis deux, puis une dizaine… Ils ont été nombreux à se succéder autour du curieux objet, restant parfois plusieurs minutes pour contempler et commenter sa dimension métaphysique.

Cet épisode comique rappelle irrésistiblement une scène de Yasmina Reza dans sa pièce Art. Le rationnel Marc est atterré que son ami Serge, qui ne connaît goutte à l’art, ait mis 200.000 francs dans une toile blanche qu’on lui a certifié être une Å“uvre d’art, et s’exclame: « Moi, je suis perturbé mon vieux, je suis perturbé et je suis même blessé, si, si, de voir Serge, que j’aime, se laisser plumer par snobisme et ne plus avoir un gramme de discernement. » Source

Campagne de calomnies contre le ministre de la culture croate

L’Union européenne est, paraît-il, une démocratie et les dirigeants des pays qui la composent ne pourraient être choisis autrement que par les urnes. Ça, c’est pour la version officielle car si le résultat de ces dernières ne sied pas aux apparatchiks européens, l’Union européenne sait s’affranchir de ces « règles démocratiques » pour imposer malgré tout ses choix. Nous l’avions vu en France lors du référendum rejeté de 2005 à près de 55 % des voix, mais malgré tout imposé par le traité de Lisbonne adopté uniquement par le parlement et qui est un copié-collé de ce qui avait été repoussé.

En novembre 2015, les Croates ont voté et la « coalition patriotique » l’a emporté, c’est donc naturellement des ministres issus de cette coalition qui sont actuellement au gouvernement. Or, tous ne respectent pas les tabous de la commission européenne, tel le ministre de la culture M. Zlatko Hasanbegovic, d’où une campagne ignominieuse lancée à son encontre dans le but de le déstabiliser. La France a déjà eu plusieurs fois des ministres de la culture pédophiles, ce qui n’a jamais posé de problèmes pour les eurocrates, mais là, M. Zlatko Hasanbegovic (qui, du reste, est musulman) semble dépasser les bornes : Pensez donc, il est contre l’avortement, contre l’immigration, veut rendre inconstitutionnel le mariage des invertis, et crime parmi les crimes, il a une vision révisionniste de l’histoire. C’est ce dernier point qui lui a valu une tribune particulièrement fielleuse publiée dans Libération, signée par toute la bien-pensance mondialiste, avec entre autres, Alain Finkielkraut, Annette Wieviorka, les inénarrables époux Klarsfeld, Judith Butler (l’inventeur de la théorie du genre), Kim Campbell (Ancienne Première ministre du Canada), etc, etc. A tous ces gens, qui pourtant se prétendent démocrates, peu leur importe que M. Zlatko Hasanbegovic ait la légitimité des suffrages croates, leurs tabous sont plus forts et ils l’accusent de créer une « idéologie » destinée à « mettre en cause les vérités historiques et les valeurs fondamentales » de l’Union européenne et voudraient qu’il soit destitué…

A Hénin-Beaumont (62), le maire FN donne son feu vert pour la construction de la mosquée Ennasr

Le néo-FN n’en finit plus de renier les valeurs qu’on lui prête. Et pour cause, si l’on en croit le site musulman très bien informé « D et M » (pour des dômes et des minarets), site qui se veut « le journal des mosquées de France », la municipalité FN d’Hénin-Beaumont, dirigée par Steeve Briois et fief de Marine Le Pen en personne (c’est dans cette circonscription qu’elle s’est présentée en 2012 à la députation), a donné son feu vert pour la construction de la mosquée Ennsar le 7 mars dernier. Le site musulman n’hésite pas à se poser la question de savoir si Briois ne serait pas « islamophile », avant d’ajouter, toujours bien informé : « Une nouvelle qui surprend mais pas tellement si l’on suit de très près les rapports entre la municipalité FN et les représentants musulmans héninois. »

Ainsi donc, ceux qui croient que le néo-FN lutterait contre l’islamisation de notre pays se trompent lourdement. Du reste, on comprend mieux pourquoi Marine Le Pen s’était elle-même montrée menaçante, il y a un 18 mois, envers les militants FN qui participaient aux manifestations organisées contre l’édification de la mosquée de Quimper : la lutte contre l’islamisation de la France ne fait pas partie des objectifs du néo-FN.

La surveillance de masse d’internet pousse les internautes à s’autocensurer

De plus en plus les gouvernements mettent en place une surveillance généralisée d’internet et des réseaux sociaux, surveillance qui vise tout le monde sans distinction, pour officiellement lutter contre la criminalité. Cet argument ne tient pas car on sait que les terroristes ou autres grands criminels savent contourner cette surveillance, ce qui leur permet -hélas- de continuer leurs méfaits comme le prouvent les attentats dont nous sommes témoins, sachant du reste que le gouvernement lui-même nous avertit que d’autres attentats auront lieu. Dès lors se pose la question de savoir pourquoi maintient-on et même renforce-t-on cette surveillance inefficace ? Une étude réalisée aux Etats Unis et dont s’est fait écho le Monde nous donne une explication, beaucoup plus vraisemblable : La surveillance de masse conduit les internautes à s’auto-censurer, ce qui permet aux gouvernements de limiter l’expression d’opinions politiquement incorrectes. Ainsi, la surveillance généralisée, loin de lutter contre le terrorisme, permet un contrôle de l’opinion et de limiter le développement d’idées dissidentes.

Pour étudier ce phénomène, la chercheuse Elizabeth Stoycheff, de l’université de Wayne State (Michigan), a mené une expérience sur 255 personnes, à qui elle a fait remplir un questionnaire. Pour la moitié des participants, ce questionnaire était accompagné d’un message rappelant que « même si nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour que vos opinions restent confidentielles, il est important de garder à l’esprit que la National Security Agency surveille les activités en ligne des citoyens, ce qui est hors de notre contrôle ». Tous les participants devaient répondre à des questions sur leur personnalité, puis étaient confrontés à un article de presse sur la poursuite des frappes américaines contre l’organisation Etat islamique en Irak. Ils devaient ensuite donner leur opinion sur le sujet, dire ce qu’ils pensaient être l’opinion majoritaire parmi les Américains, et s’ils comptaient partager leur propre point de vue sur la question.

Résultat : les personnes à qui l’on a rappelé la surveillance d’Etat étaient moins enclines à parler de leurs idées, si elles les jugeaient non conformes à l’opinion majoritaire. Même parmi les participants qui, selon leur profil psychologique, étaient les moins sujets à l’autocensure.

Plus étonnant, les personnes les plus à même de s’autocensurer sont celles qui, dans l’absolu, soutiennent les programmes de surveillance : « Ces individus ont indiqué que la surveillance était nécessaire pour la sécurité publique et qu’ils n’avaient rien à cacher. Pourtant, quand ces individus perçoivent qu’ils sont surveillés, ils modifient leur comportement en conséquence : ils expriment leur opinion quand elle est majoritaire et la taisent quand elle ne l’est pas. »

Ces conclusions sont cohérentes avec la théorie de la « spirale du silence », mise en avant dès les années 1970, qui démontre que les individus ont tendance à taire leur point de vue s’ils sentent que celui-ci n’est pas partagé par leurs pairs, par peur de l’isolement. Mais cette dernière étude apporte un nouvel élément, en s’intéressant notamment à l’expression sur Internet et à la surveillance gouvernementale : « C’est la première étude à apporter la preuve que les programmes de surveillance gouvernementaux en ligne peuvent menacer l’expression d’idées minoritaires, et contribuer au renforcement de l’opinion majoritaire. »

La Tunique d’Argenteuil, restaurée, sera exposée pour Pâques

tunique-argenteuilLa Sainte Tunique fait partie des cinq grandes Reliques que Notre Seigneur nous a laissées sur terre, avec le Linceul de Turin (Italie), le Suaire d’Oviedo (Espagne), la Couronne d’Epines de N.D. de Paris (France) et la Sainte Robe de Trèves (Allemagne). La Sainte Tunique a la particularité qu’elle est trempée de sang qui est selon les dernières recherches très probablement le Sang de Jésus Christ Lui-même.

La Tunique du Christ a recueilli le sang de ses blessures au cours de son chemin de croix. C’est pourquoi les premières communautés chrétiennes de Jérusalem l’ont immédiatement considérée comme une relique de très grande valeur, et l’ont conservée.

La Tunique quitte Jérusalem et traverse les siècles pour se trouver en possession de l’impératrice Irène de Constantinople au début du IXe siècle, sans que l’on sache par quel itinéraire précis ni à quelles dates. A cette époque, l’impératrice prévoit pour consolider son empire sous le feu de multiples menaces, d’épouser Charlemagne, empereur d’Occident, veuf. En signe de bonne volonté, elle lui aurait offert l’une des Reliques les plus précieuses en sa possession, la Tunique du Christ.

Charlemagne confie la Sainte Tunique au monastère d’Argenteuil, dont sa fille Théodrade est prieure. La Relique n’en bougera pas durant douze siècles. Dissimulée dans un mur du monastère pour la protéger des invasions vikings, longtemps oubliée, redécouverte à l’occasion de travaux au Moyen-Âge, elle devient objet de vénération : les hommes d’église, les rois de France et le peuple des croyants viennent s’agenouiller devant Elle.

Sous la Révolution, le prieuré bénédictin est supprimé, et la Relique remise le 7 juin 1791 à l’église paroissiale qui date du XVe siècle. Le 18 novembre 1793, face à la menace de la confiscation des biens de l’Église, le curé d’Argenteuil Ozet (1749-1816) la découpe en plusieurs morceaux et en confie certains à des paroissiens. Il enterre quatre morceaux dans son jardin avant d’être emprisonné durant deux ans. En 1795, il ressort la Tunique et fait recoudre de son mieux vingt pièces différentes sur une étoffe de satin écru afin de reproduire approximativement la Tunique. Quant aux morceaux confiés aux fidèles, ils se perdent dans la tourmente révolutionnaire et manquent toujours à l’appel aujourd’hui. Les pèlerinages et les ostensions solennelles reprennent au XIXe siècle, en principe tous les cinquante ans.

La Basilique Saint Denys d’Argenteuil a décidé une exposition exceptionnelle de cette Sainte Relique pendant 17 jours, du Vendredi Saint jusqu’au 10 avril de 10H à 22H, après sa restauration.

Pour s’y rendre depuis Paris, on trouvera des informations ici. On peut s’y rendre seul ou en groupe (inscription préalable recommandée).

Salah Abdeslam : qui est Sven Mary, « l’avocat des crapules » prêt à défendre toutes les causes, sauf l’extrême-droite ?

Sven Mary, l’avocat de Salah Abdelslam – le principal inculpé dans les horribles attentats du 13 novembre 2015 – est un parangon des tabous des sociétés actuelles. En effet, celui qui, d’après Le Point, est « l’avocat des crapules » (sic) tant il s’est spécialisé dans la défense des pires personnes qu’il puisse exister, dit qu’il est prêt à défendre tout le monde, sauf « l’extrême droite » (sic).

Ainsi, cet individu, qui paraît-il est un excellent pénaliste, connu aussi bien en Flandre qu’en Wallonie, a défendu un complice du pédophile assassin Marc Dutroux, de multiples truands célèbres telle la famille Aquino – une fratrie du Limbourg belge qui a importé trois tonnes de cocaïne -, et donc, maintenant un terroriste avéré.
Eh bien ce type ne défendra jamais une personne d’ « extrême droite ». Il faut dire que lesdites personnes, quand elles ont affaire à la justice, c’est la plupart du temps simplement pour avoir émis des avis divergents par rapport à la doxa officielle concernant l’histoire, avoir un attachement à la France éternelle, celle pour laquelle nos ancêtres se sont battus pour la construire.
Et cela semble insupportable à cet homme, hélas bien représentatif d’une part importante de nos concitoyens et de leur conditionnement. D’ailleurs, lui donc qui n’aidera jamais un mal-pensant qui aura exprimé des idées politiquement incorrectes nous dit : « j’ai choisi mon métier et ma spécialité et j’assume. Les attentats parisiens m’ont révulsé et j’ai des idées personnelles au sujet du djihadisme qu’on ne m’enlèvera pas de la tête » laissant sous-entendre qu’il le désapprouve, bien qu’il prenne la défense de ceux qui ont tué en son nom. Ainsi, à ses yeux des idées non conventionnelles sont pires que les crimes les plus abominables que l’on puisse commettre. Bref, on peut penser qu’en janvier 2015, il était pleinement Charlie.

Comment la Commission européenne étouffe Ariane et Airbus dans le but de favoriser leurs concurrents américains

L’Union européenne nous est officiellement présentée comme la nécessité pour des Etats européens de se regrouper pour être forts dans un monde globalisé afin de faire face à d’autres entités, tels les Etats-Unis, la Chine, etc.
« Sans l’Europe, chaque Etat qui la constitue ne serait rien et vulnérable, alors que grâce à l’Europe, nous sommes regroupés et pouvons résister aux autres ». Combien de fois cette antienne a-t-elle été répétée ? Pourtant, la façon dont la Commission européenne vient de réagir au sujet du rapprochement Airbus-Ariane nous prouve que rien n’est plus faux et que les commissaires et technocrates bruxellois poursuivent d’autres desseins que de protéger notre continent, ses industries, ses populations.

En effet, Airbus et Ariane voulaient « se marier » ce qui aurait créé le n°1 mondial dans les domaines de l’aéronautique et l’aérospatial. Ce groupe aurait été très concurrentiel, puisque de cette union, des économies auraient pu être faites, au grand dam de leurs concurrents, tels Boeing ou le producteur de fusées américain SpaceX. Mais ce mariage n’aura pas lieu. La raison ? C’est la commission européenne elle-même qui s’y oppose !
Dans une excellente tribune de Damien Lempereur et Brice Wartel parue dans le Figaro, les raisons évoquées par les technocrates bruxellois nous sont données : cela créerait une « position dominante » qui serait contraire à une concurrence libre et non faussée !
Bref, Bruxelles dit non à la fusion des deux groupes européens dans le but de protéger leurs concurrents américains, chinois, russes ou autres ! Cela est d’autant plus un scandale que ces concurrents sont pour la plupart subventionnés par leurs Etats.
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Cologne. Une journaliste belge victime d’attouchements en plein direct alors qu’elle expliquait que le carnaval « se passait relativement bien »

Il y a des situations cocasses qui pourraient nous faire croire en l’adage, « journaliste qui parle, bouche qui ment. » C’est en tout cas, si l’on en croit un article de MetroNews, ce qu’ont dû penser les téléspectateurs belges de la RTBF. En effet, son envoyée spéciale à Cologne, une certaine Esmeralda Labye, qui avait pour but de couvrir le carnaval de la ville expliquait en direct que tout se passait bien, qu’il n’y avait pas de quoi s’inquiéter, dans le but évident de faire oublier les débordements de la Saint Sylvestre. Alors qu’elle était en train de nous dire ça, elle fut victime de « chuchotements à l’oreille » et de « gestes obscènes » de la part de jeunes qui se trouvaient autour d’elle, l’un d’entre eux ayant même mimé un mouvement du bassin derrière elle, avant de lui toucher les seins.

Le tout étant en direct, la chaîne n’a pu cacher cela au téléspectateur et a dû condamner de façon ferme ces comportements, tout en portant plainte. Plus tard, dans un autre direct, la journaliste a elle-même reconnu que « ce direct était effectivement chaotique avec des doigts d’honneur, un homme qui s’amusait à mimer derrière moi une scène sexuelle qui n’avait pas lieu d’être et puis, surtout, une main qui s’est posée sur ma poitrine au terme de ce direct. Cette scène m’a choquée. » Cependant que l’on ne s’attende pas à connaître exactement la vérité dans cette affaire, car la chaîne a décidé « de limiter la diffusion des images de ces comportements dégradants vis-à-vis de notre collègue. » On sait juste que la mairie de la ville allemande a présenté ses excuses à la chaîne. D’après l’AFP, le cas de la journaliste est, pour l’instant, le seul témoignage de personne ayant été victime d’un comportement agressif à caractère sexuel pour ce carnaval à Cologne. Quoiqu’il en soit, les internautes n’ont pas tardé à réagir, comme le montre -par exemple- ce tweet.

Un otage de l’Hyper Cacher a essayé d’escroquer des éditeurs parisiens et fuir en Israel

« J’ai vraiment été très con et je me suis fait chopé (sic), j’ai vraiment honte… » C’est ainsi, selon Le Point, qu’a réagi Patrick T, ami de « Jo » -ce dernier étant ex-otage de l’hyper Cacher de Vincennes-, après l’échec de sa tentative d’escroquerie d’éditeurs.

Tout a commencé quelques semaines après les attentats de janvier 2015. Patrick T., qui se fait passer pour un communicant, démarche les éditeurs avec son ami Jo qui aimerait faire publier son témoignage de la journée du 9 janvier. L’accueil est chaleureux et les directeurs de collection sont touchés par le récit de l’ex-otage. Les propositions d’à-valoir affluent : 20 000 euros ici, 30 000 là, 15 000 encore, mais avec un pourcentage plus important sur les ventes. L’intermédiaire, quinquagénaire verbeux, qui pose en lunettes de soleil sur son CV en ligne, insiste pour faire monter les enchères…

Du reste, on notera que les transactions entre BFM et le fonds social juif unifié font accélérer les choses. Il est vrai que ce fonds social a facilement obtenu 60.000 € de la chaîne car, paraît il, celle ci aurait mis en danger les otages… Cependant, officiellement, ce n’est pas l’argent qui motive nos 2 acolytes, et voici ce qu’ils diront, (C’est Jo, l’ex-otage qui parle, bien que le message aurait été écrit par Patrick) : « Je n’en fais pas une question d’argent. J’ai l’intention de redistribuer tous mes droits d’auteur financiers à l’association des victimes de l’Hyper Cacher et à ma synagogue… Pour moi, la meilleure offre financière sera celle qui fera le plus pour la synagogue et l’association des victimes. » Dans le même temps, notre homme, pour faire monter les offres, va jusqu’à falsifier la proposition financière de l’une des maisons avant de la faire suivre à une concurrente, et deux éditeurs ont mordu à l’hameçon.

Hélas, tout a capoté : Ces deux maisons d’édition appartiennent au même groupe, qui a pu se rendre compte de la supercherie. « Quand on a découvert le pot aux roses, explique un directeur de collection, Patrick T. nous a confié qu’il voulait faire signer un maximum de contrats à son auteur, il voulait d’ailleurs qu’on paie les deux tiers à la signature. Leur plan était d’empocher les virements et de fuir en Israël parce que, disait-il, il n’y a pas d’accord d’extradition. »

In fine, le témoignage de Jo sera quand même publié par un petit éditeur. Chutzpah oblige, il ne faut pas croire que notre aigrefin démasqué joue profile bas : Ainsi, nous dit le Point, lors de sa promotion, Jo n’a pas hésité à fustiger les gens malhonnêtes qui tentent de profiter du tragique attentat de l’Hyper Cacher…

Un conseil plein de bon sens des Polonais aux Allemands

Alors que la Pologne est accusée d’avoir élu des mal-pensants lors des dernières législatives, ce qui lui vaut des remarques de la part des autres pays européens, voici une banderole déployée par les supporters polonais lors d’un match de volley lors d’une rencontre avec une équipe allemande. « Protégez vos femmes, pas notre démocratie » En effet, on ne saurait mieux dire…

Source

Décadence occidentale : Une église « reconvertie » en « paradis » du skate en Espagne

L’occident est en déclin accéléré. Outre le remplacement de population, toutes les valeurs et croyances qui avaient fait sa grandeur sont aujourd’hui dénigrées et remplacées. En atteste cette église située dans la municipalité de Llanera, dans laquelle rampes de skate et couleurs arc-en-ciel remplacent l’autel et les bancs. Cela a été permis grâce à une campagne de « crowdfunding » autrement dit un financement collectif fait par des volontaires…

D’autres photos (et même deux vidéos) sur le site du Figaro