Alors que les officines mondialistes ont décrété une « grève mondiale » (sic) pour le climat, le gouvernement organise des séances de bourrage de crâne puisque vendredi 15 mars dans les lycées, de 16 à 18h, des « débats » auront lieu à la place des cours ordinaires.
Ainsi, des cours nobles, tels que ceux de mathématiques, de science ou de littérature passeront à la trappe et les élèves se verront offrir 2 heures de bourrage de crâne en échange.
Car, posons tout de suite les choses : il ne s’agit pas d’un débat contradictoire pour savoir s’il y a réchauffement climatique ou non, et si oui, si celui-ci est anthropique (d’origine humaine) ou non.
Non, comme en matière d’histoire holocaustique, tout le monde sait que « Il ne faut pas se demander comment, techniquement, [cela] a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu. Tel est le point de départ obligé de toute enquête historique sur ce sujet. » Eh bien là, c’est pareil :
On connaissait l’

Emmanuel Macron s’en est pris aux médias qu’il a appelés à « se ressaisir » et à attaquer la Russie qu’il accuse d’être derrière les gilets jaunes. Ainsi, 
La criminalisation par la justice des Gilets jaunes continue et cette fois c’est un manifestant de Toulouse, au casier judiciaire vierge, qui en a fait les frais. Celui-ci a été condamné à 30 mois de prison, dont douze ferme avec mandat de dépôt (ce qui exclut tout aménagement de peine comme le port d’un bracelet) pour avoir utilisé un pointeur laser afin d’aveugler le pilote d’hélicoptère de la gendarmerie. (

L’occident n’en finit pas dans les reptations vis à vis de l’entité sioniste, y compris les plus symboliques. La dernière en date : Le tour d’Italie (le fameux giro) partira de Jérusalem ! On ne voit pas bien le lien entre l’Italie et Jérusalem, mais quand il s’agit de donner des gages et faire preuve de servilité vis à vis de cet Etat, pas besoin de lien, tout est bon !
Un des trois chefs de division de la prison de Fresnes et un surveillant « sont soupçonnés d’avoir touché de l’argent en échange d’un traitement de faveurs accordé à des détenus majoritairement membres de la communauté juive », indiquent des sources proches de l’enquête.