Ah, les policiers maghrébins…

quel beau modèle d’intégration ! Surtout s’ils rentrent dans la Brigade anti-criminalité, ce « corps d’élite » !
Voilà qui fait chaud au coeur de nos assimilationistes.

Sauf quand on retrouve les immigrés en question dans les rangs islamistes au Mali, en train de combattre les militaires français, comme dans le cas de Djamel, rapporté par le Parisien.

Grave agression d’un nationaliste

Jeudi 25 août, à Grenoble, Alexandre Gabriac a été lâchement attaqué par une ou plusieurs petites frappes cagoulées, certainement d’extrême-gauche. Frappé au niveau de la nuque, on ne peut exclure l’intention de tuer chez ses agresseurs.
Resté inconscient plusieurs heures, il est à présent hors de danger et récupère.
En revanche, il souffre d’amnésie concernant les trois dernières années.
Alexandre Gabriac, exclu récemment du FN par Marine Le Pen, est toujours le plus jeune conseiller régional de France.
Il avait été l’objet de différentes menaces au cours des derniers mois.

Incroyable : à Grenoble, les policiers doivent s’exiler

Une information à peine croyable mais pourtant bien peu relayée : suite aux graves événements de Grenoble, les effectifs de la Brigade anti-criminalité (BAC) de cette ville ont été mis au repos de force par le préfet.
Ils ont même été contraints de quitter la région avec femmes et enfants !

En effet, la BAC ayant été impliquée dans la mort du braqueur immigré, des bruits courent comme quoi ses amis veulent venger sa mort par celle d’un membre de la BAC, au lance-roquette si nécessaire…

L’Etat français n’étant plus capable d’assurer correctement  la sécurité de ses fonctionnaires, il organise leur fuite et leur conseille même de poser des demandes de mutations !

Et les citoyens français lambda, qui va les défendre le jour où… ?

Informations recueillies par Contre-Info ; source policière.

Agression à Grenoble: manifestation de soutien annulée sur conseil de la police

Martin, jeune Français de souche âgé de 24 ans, a été sauvagement agressé et poignardé à Grenoble le 9 avril dernier par une horde d’une quinzaine de « jeunes », sans raison. En réponse, une marche contre la violence fut organisée par des Grenoblois excédés, puis annulée suite à « des conseils » de la police et du préfet, mettant en garde les organisateurs contre une « récupération par l’extrême droite » qui pourrait profiter de l’occasion pour « exprimer ses idées ».

Alexandre Gabriac, conseiller régional du Front National mis en cause par la presse locale, précise dans un communiqué que jamais le Front National n’a appelé à se rendre à cette manifestation. Si d’éventuels membres s’y étaient rendus, ils l’auraient fait de leur initiative personnelle.

Le jeune élu dénonce une manipulation de la classe politique grenobloise qui souhaitait éviter de faire des vagues.

Nos politiques veulent bien que nous crevions, mais en silence, s’il vous plaît.

Source

François Bon