Condamné à 22 ans de prison, l’assassin d’un gamin sort se promener au bout de 10 ans et essaie de tuer quelqu’un

Roubaix: il s'introduit dans la chambre d'une femme, l'attaque au cutter et  la viole | Le Nouveau Journal

« Maxime Roussel avait 14 ans. Il vivait à Etouvans (Doubs français) près de Montbéliard avec sa famille. Il aimait le moto-cross. C’est sans doute ce qui lui a valu son agression mortelle: la seule explication «plausible» qui était ressortie aux assises deux ans plus tard. Le 10 janvier 2012, l’adolescent était précisément parti s’adonner à son sport favori. Il n’est jamais réapparu. Il avait été retrouvé poignardé dans une forêt de plusieurs coups de couteau dont un dans la carotide. Son corps était partiellement calciné.  Son assassin, 17 ans à l’époque, était un de ses copains qui a toujours nié être l’auteur de ce crime. Il avait admis en revanche avoir été présent au moment des faits et avoir volé l’engin de son ami.

Condamné à 22 ans de réclusion criminelle, le meurtrier bénéficiait la semaine dernière de sa première sortie depuis son procès. Dans la nuit de mardi à mercredi, le jeune homme aurait pris un taxi à la gare de Lyon à Paris et asséné plusieurs coups de cutter au niveau du cou du conducteur avant de lui voler son véhicule. Le chauffeur de 33 ans en a réchappé miraculeusement. Cette récidive est rapportée par nos confrères de France Info. Tout comme sa nouvelle arrestation. L’agression a eu lieu en fait à Saint-Forget dans les Yvelines. En cavale durant deux jours, il a été interpellé dans l’Eure (Normandie) grâce au bornage de son téléphone. » (source)

Vous avez bien lu, et c’est chose habituelle : l’auteur de cet horrible crime a été condamné à effectuer 22 ans de prison.
Mais il a le droit de se promener en extérieur, au bout de 10… On voit le résultat.

Il est anormal que les juges d’application des peines, qui autorisent les sorties de ce genre de psychopathes, n’aient aucun compte à rendre.
Il est anormal que les avocats de celui qui a planté vingt fois sa lame dans un enfant de 14 ans puissent en toute impunité dire que « c’était un mineur qui n’était pas connu pour être violent » et que cette nouvelle agression est « quelque chose qui reste un mystère ».
La justice est pourrie et il est grand temps qu’enfin elle soit tournée vers les victimes et pas vers les auteurs. Mais il faudra pour cela une révolution nationale.