L’éducation nationale, normalement laïque et indifférente aux religions se plie en réalité en 4 pour les étudiants musulmans. Pour preuve, ce courrier reçu par une mère d’élève dont le fils, pensionnaire, a demandé de pratiquer le jeûne du ramadan.

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L’éducation nationale, normalement laïque et indifférente aux religions se plie en réalité en 4 pour les étudiants musulmans. Pour preuve, ce courrier reçu par une mère d’élève dont le fils, pensionnaire, a demandé de pratiquer le jeûne du ramadan.

Deo gratias ! Les deux condamnations sont relativement légères… La collection Lambert réclamait 400 000€ de dommages et intérêts (pour une photographie !). Heureusement pour ces courageux catholiques, la demande a été rejetée par le tribunal… A priori, la partie adverse ne fera pas appel.
Deux hommes étaient jugés en correctionnelle à Avignon pour avoir dégradé une œuvre d’Andres Serrano qu’ils estimaient blasphématoire. Ils écopent de jours-amendes, et d’un euro de dommages et intérêts à verser à l’artiste. La Collection Lambert est déboutée, elle réclamait 40000 euros.
Le tribunal correctionnel d’Avignon a rendu ce lundi 15 mai son délibéré dans l’affaire de la dégradation de l’œuvre « Piss Christ ». Deux hommes ont été condamnés, respectivement pour dégradation et complicité de dégradation.
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Alors que 7 « doyens » (responsables régionaux) français de la Fraternité Sacerdotale saint Pie X – c’est-à-dire une grande majorité d’entre eux – viennent d’être démis de leur fonction immédiatement après publié une lettre (concernant les mariages dans la Tradition et le danger d’un rapprochement avec Rome tel qu’il se fait actuellement), l’église parisienne Saint Nicolas du Chardonnet – le « phare de la Tradition » depuis quarante ans – est le théâtre de remous.
En effet, son « curé », l’abbé Patrick de La Rocque, fait partie des sanctionnés et il a du quitter les lieux en quelques jours.
Le départ brutal de ce prêtre ayant mené quelques années d’apostolat dynamique a bien sûr choqué les fidèles de la paroisse, et beaucoup d’entre eux sont même visiblement scandalisés de la sanction dont il fut frappé.
Ce dimanche, le supérieur de la FSSPX pour la France, l’abbé Christian Bouchacourt (à l’origine des sanctions) est venu à saint Nicolas du Chardonnet pour lire, avant l’homélie, un communiqué relatant sa vision des évènements et expliquant pourquoi il fallait accepter ces sanctions, « avec un esprit surnaturel » :

Un nouvel évènement grave vient ébranler la Fraternité St Pie X (principale organisation catholique traditionaliste, avec 600 prêtres dans le monde).
Depuis quelques années, Mgr Fellay veut – contre l’avis d’une majorité de prêtres (spécialement en France) et d’évêques de la FSSPX – se réconcilier avec Rome, sans que les profonds désaccords doctrinaux ne soient d’abord levés, et se placer, de fait, sous l’autorité de la « Rome moderniste ». Il en a résulté une crise au sein de la FSSPX, avec l’expulsion ou le départ volontaire de dizaines de prêtres et la rupture avec les Dominicains traditionalistes d’Avrillé.
Il y a quelques semaines, le pape François a posé un nouveau geste concernant les mariages célébrés par des prêtres de la FSSPX, considérés par Rome jusqu’à présent comme invalides (ce que nie la FSSPX évidemment), en proposant qu’ils soient célébrés en union avec les évêques locaux.
Et, il y a quelques jours, plusieurs responsables importants de la FSSPX en France, dont le « curé » de l’église parisienne emblématique St Nicolas du Chardonnet, ont publié une lettre rappelant la position traditionnelle de la FSSPX sur cette question, et mettant finalement en garde contre un accord pratique.
La réaction de la hiérarchie a été, comme souvent, radicale, voire brutale.
L’abbé de la Rocque et les autres responsables signataires (hormis bien sûr ceux représentant les « communautés amies », indépendantes) sont démis de leurs fonctions.
Voici le communiqué de l’abbé Bouchacourt, supérieur de la FSSPX pour la France, suivi de la lettre qu’il a adressée à tous les prêtres de France de la FSSPX :
Suite au document romain concernant les mariages dans la FSSPX, une lettre signée de sept doyens du district de France de la FSSPX (principale organisation catholique traditionaliste, en dissidence d’avec le pape) ainsi que par l’ensemble des supérieurs des « communautés masculines amies » de la FSSPX a été publiée ; ceux-ci expliquent ce qu’est le droit des fidèles en ce domaine et la véritable nature de l’état de nécessité qui existe toujours selon eux aujourd’hui. Ainsi, la « juridiction de suppléance » est rappelé avec force. Ce texte a été publié dans le Chardonnet de ce mois et lu dans un grand nombre des chapelles de la FSSPX en France.
Alors que le chef de la FSSPX, Mgr Fellay, veut signer un accord avec Rome sans que les divergences doctrinales aient été levées, ce texte apparait comme un nouveau signe de réticence envers ce projet, de la part de nombreux prêtres de la FSSPX (pour la France, une grande majorité, vraisemblablement).
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Bien chers fidèles,
L’abbé Laguérie, supérieur de l’Institut du Bon Pasteur, adresse un message moins timide et beaucoup plus clair que celui de l’Église de France concernant le second tour de l’élection présidentielle :
Il y a belle lurette que les consignes de vote des évêques de France n’ont plus aucune valeur morale ni simplement… humaine. Ils n’ont jamais été infaillibles en ce domaine (ça se saurait) et ont égaré les fidèles presque à tous les coups. En 1968, ils laissent passer la contraception sans broncher et même, au lieu de soutenir le pape Paul VI (Humanae Vitae), ils le critiquent ouvertement. En 1975, ils ne bougent pas le petit doigt contre la légalisation de l’avortement au point que Simone Veil avouera elle-même que sa loi criminelle ne serait pas passée s’ils avaient simplement osé parler clair. Une petite dizaine d’entre eux descendra dans la rue au moment de la loi Taubira sur le mariage homosexuel (les autres approuvent ?) mais toujours au nom des droits de l’homme et jamais au nom de l’Évangile, du droit naturel, de la politique (Gestion de la Cité).
Maria Elvira Roca Barea a beau être issue d’une famille républicaine et franc-maçonne et s’affirmer non croyante, elle n’en est pas moins fortement engagée dans la dénonciation de la « Légende noire » de l’Empire d’Espagne. Cette universitaire a travaillé depuis de longues années sur toutes les accusations lancées contre l’Eglise catholique, sur son rôle en Espagne, et sur l’Inquisition. S’il y a une accusation qui lui paraît juste, c’est celle que l’on devrait faire à l’Eglise elle-même qui n’a pas pris la peine de se défendre face à des mensonges qui relèvent essentiellement de la propagande religieuse et politique.
Elle vient de publier un livre sous le titre Imperiofobia y leyenda negra, « Empirophobie et légende noire ».
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Un nouvel événement frappe ce lundi la catholicité et va scandaliser les fidèles attachés à la doctrine catholique de toujours : des Anglicans (schismatiques et hérétiques) vont célébrer des « vêpres » cet après-midi, à l’autel de la Chaire de Pierre de la basilique Saint-Pierre.
Une première, mais qui s’inscrit dans la lignée des dérives liées à l’« œcuménisme » issu du concile Vatican II, en rupture avec la doctrine catholique. Il est clair que « François » a donné son accord.
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Cette médiocrité a conduit des millions de fidèles à se détourner de la sainte messe et de la religion catholique. Mais loin de vouloir remettre à l’honneur la « messe de toujours », le pape François préconise un « renouvellement qualitatif » du chant liturgique, dans un « dialogue avec les courants musicaux de notre temps »… Bientôt du « rap catho » à la messe ?
Le pape François a regretté samedi devant les participants à un congrès sur la musique sacrée que la volonté de modernité et l’abandon du latin aient parfois conduit à « une certaine médiocrité » dans la liturgie.
« La rencontre avec la modernité et l’introduction des langues parlées (dans chaque pays, au lieu du latin) dans la liturgie ont suscité tant de problèmes », a estimé le pontife argentin.
« Par moments, une certaine médiocrité, superficialité et banalité a prévalu, au détriment de la beauté et de l’intensité des célébrations liturgiques », a-t-il fait valoir.
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Il y a quelques mois, un fidèle se confesse auprès d’un abbé. Il lui avoue qu’il a cambriolé l’église toulousaine des Jacobins en 1967 et remet à l’ecclésiastique son butin : une croix en bois sculptée de 90 cm sur 70 cm.
Embêté, le récipiendaire ne sait que faire de l’objet et le confie à un de ses collègues, prêtre à Montpellier. C’est ce dernier qui a contacté la mairie de Toulouse, propriétaire du couvent des Jacobins, pour lui rendre son bien.
Sous le sceau de la confession
« Nous ne pouvions pas accepter de suite, il fallait vérifier d’abord que cette croix provenait bien des Jacobins. Ce que nous avons fait en consultant les archives municipales. Nous avons trouvé un rapport de police datant de 1967 où il est fait état d’un cambriolage durant des travaux », raconte Pierre Espluglas-Labatut, adjoint au maire en charge des Musées.
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Alors que Mgr Fellay a annoncé sur TV Liberté qu’il ne manque plus qu’un tampon du pape pour que la Fraternité Saint-Pie X ne rallie Rome (voir ici), le Supérieur général de la Compagnie de Jésus, vient de déclarer vouloir réinterpréter les paroles du Christ concernant le mariage. Voici la traduction de l’entretien accordé par le vénézuélien Arturo Sosa Abascal au vaticaniste suisse Giuseppe Rusconi pour le blog Rossoporporadu :
QUESTION – « Le Cardinal Gerhard L. Müller, Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, a déclaré au sujet du mariage que les paroles de Jésus étaient très claires et que « aucun pouvoir au ciel et sur la terre, ni un ange ni le pape ni un concile ni une loi des évêques ne pouvaient les changer. » «
C’est un soulagement pour tous les Français attachés à la liberté de ne pas bourrer le crâne des enfants avec le programme de L’Education nationale. Beaucoup de catholiques avaient prié pour que la loi n’entre pas en vigueur, Deo gratias !
Dans sa décision n° 2016-745 DC du 26 janvier 2017 sur la Loi relative à l’égalité et à la citoyenneté, le Conseil constitutionnel – saisi par plus de soixante sénateurs et plus de soixante députés – s’est prononcé sur l’article 39, qui habilitait le Gouvernement à prendre par ordonnance les mesures nécessaires pour remplacer, dans le code de l’éducation, le régime de déclaration d’ouverture préalable des établissements privés d’enseignement scolaire par un régime d’autorisation.
« Le Conseil constitutionnel a jugé que, eu égard à l’atteinte susceptible d’être portée à la liberté de l’enseignement par la mise en place d’un régime d’autorisation administrative, le législateur, en confiant au Gouvernement sans autre indication le soin de préciser « les motifs pour lesquels les autorités compétentes peuvent refuser d’autoriser l’ouverture » de tels établissements, a insuffisamment précisé les finalités des mesures susceptibles d’être prises par voie d’ordonnance. » (extrait du communiqué du Conseil constitutionnel du 26/01/2017)
Alors que les églises se vident, les prêtres collaborationnistes vont de plus en plus loin dans la trahison de la foi et de la doctrine catholique… Intérrogé par Radio Notre-Dame, le Vicaire du Diocèse rappelle que c’est dans le cadre du dialogue inter-religieux commencé par Jean-Paul II et poursuivi par successeurs, que des musulmans ont été invités à prendre la parole devant les fidèles dans la cathédrale Notre-Dame-des-Pommiers de Sisteron. A la lecture des évènements, de plus en plus graves, qui se déroulent au sein de l’Église, tous les catholiques devront un jour se poser la question de la « tradition ».
« C’est un sujet qui fait beaucoup parler dans le secteur de Sisteron. La messe du 24 décembre dernier n’arrive toujours pas à passer pour certains catholiques. Le soir de Noël, des musulmans auraient, selon des personnes présentes sur place, « récités des sourates coraniques devant l’autel en compagnie du curé ». Le Diocèse de Digne a été alerté par de nombreuses personnes. Les lettres anonymes sont aussi arrivées en mairie. L’affaire fait beaucoup de bruit, jusque sur Radio Notre-Dame à Paris. Le Prêtre de Sisteron, « est connu pour son attachement au dialogue entre toutes les cultures », précise le Vicaire du Diocèse. Ce qui ne semble pas plaire à tout le monde pour le soir de Noël. Source: Dici.fr
Les célébrations des 500 ans de la Réforme instituée par Martin Luther continuent au sein de l’Eglise catholique, avec des initiatives multiples qui montrent que le rapprochement entre le pape François et les luthériens n’aura pas été un événement isolé. Le bureau philatélique et numismatique du Vatican a confirmé mardi à LifeSiteNews qu’un timbre à l’effigie de l’hérétique Luther, initiateur il y a 500 ans d’un schisme et d’une rupture aux conséquences désastreuses pour l’unité de l’Eglise et pour le salut des chrétiens, sortira en 2017.
Source : Reinformation.tv
Les émissions catholiques étant rares, nous signalons la diffusion d’une émission qui paraîtra tous les dimanches à 12h sur TV Libertés. La première émission a eu lieu hier.