Préférence étrangère : 141 nouveaux métiers accessibles aux Roms depuis dimanche

C’est un arrêté du 1er octobre, publié dimanche au journal officiel, qui vient d’élargir l’accès à l’emploi des « Roumains » et des « Bulgares ».
Signé par le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, et par le ministre du Travail, Michel Sapin, cet arrêté ouvre désormais aux Roms 291 métiers, contre 150 auparavant, notamment dans les secteurs où les employeurs disent « peiner à recruter ». Il s’agit de « faciliter » leur « insertion« .

Copé attaqué par le Conseil du culte musulman…

Le Conseil français du culte musulman (CFCM) a annoncé hier avoir porté plainte pour diffamation contre Jean-François Copé. Motif ? Les propos que le président de l’UMP, et candidat à sa propre succession, a tenu lors d’un meeting à Draguignan, évoquant le cas d’un jeune garçon qui se serait fait « arracher son pain au chocolat par des voyous » au motif « qu’on ne mange pas au ramadan« . Le CFCM juge en effet que de tels propos alimentent « l’islamophobie ».

Manifestement, le système dévore ses enfants. La « droite » parlementaire, soumise à la domination culturelle de la gauche, incapable de s’émanciper de l’asservissement idéologique de ses adversaires, s’est toujours fait l’écho de l’idéologie gauchisante, en relayant, sous couverts des meilleurs sentiments et de l’universalisme républicain, les anathèmes convenus contre les patriotes attachés à leur race, à leur terre, à l’héritage qu’ils tenaient de leurs pères. Copé semble s’apercevoir néanmoins, à la faveur d’une campagne électorale tout de même, que les Français ne sont pas sensibles aux abstractions philosophiques de 1789, et que la patrie, comme le disait Charette, ils ne l’ont pas dans la tête, mais sous les pieds. Et que leur culture, hé bien ils y tiennent…

Jean de Rouen

Tout un symbole : un diocèse français s’apprête à vendre une église… à des musulmans.

De nombreuses églises restent désormais vides le dimanche, victimes de la déchristianisation à laquelle a d’ailleurs contribué une bonne partie du clergé français, avec sa nouvelle approche de la religion et ses lubies gauchisantes.

Mais ça ne suffit pas à certains évêques : il faut encore parfois qu’ils facilitent l’installation de la nouvelle religion.

Ainsi, on apprend que dans le Cher, à Vierzon, l’église Saint-Eloi a été mise en vente au prix de 170 000 €, et qu’une association marocaine a pris contact avec la paroisse. Leur objectif : transformer l’église en mosquée.
Il est vrai que le bâtiment est « situé dans un quartier qui a vécu de grands bouleversements démographiques » comme le dit pudiquement Le Berry.

L’immigration de substitution se poursuit, inéluctablement…

L’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) publie aujourd’hui une étude, « Immigrés et descendants d’immigrés en France « , qui confirme la progression de l’immigration de peuplement sur le sol français. On y apprend notamment que les descendants d’immigrés sont plus nombreux que les immigrés eux-mêmes : « plus de 5,3 millions d’immigrés vivaient en France en 2008, les deux tiers natifs de pays hors UE. Leurs descendants sont près de 6,7 millions, soit 11% de la population. Au total, plus de 7 millions de personnes nées à l’étranger résident en France« . Plus de détails ici.

Il est vrai que la France se met sous la dépendance des populations extra-européennes qu’elle attire économiquement, aussi bien pour pallier l’insuffisance de sa natalité qui peine à elle seule à assurer le renouvellement des générations, que pour pourvoir à la place des français, exploitant ainsi une main d’oeuvre bon marché, les métiers manuels financièrement  dévalorisés. Mais rien n’est fait pour endiguer cette politique de déracinement qui accroît chaque année le brassage des populations et des cultures : les français seront bientôt minoritaires sur la terre de leurs ancêtres ? Ces bâtisseurs auront-ils oeuvré en vain ? Était-il écrit que leurs fils ne seraient plus leurs débiteurs ? Peut être faudra-t-il atteindre le point de non retour pour être définitivement fixé, à moins que…

Jean de Rouen

L’ancien chef de la DST dénonce l’usage de l’argent du Qatar et de l’Arabie saoudite

L’ex-patron de la DST (Direction de la Surveillance du Territoire), Yves Bonnet, met en cause l’argent du Qatar et de l’Arabie saoudite dans le financement des réseaux islamistes radicaux, notamment dans les pays salafistes. « Il y a un vrai problème » estime-t-il, évoquant leur investissement financier dans « un certain nombre d’actions préocuppantes ». Interview à lire ici.

Manuel Valls à propos des nouveaux terroristes : « Il ne s’agit pas d’étrangers, il s’agit de français musulmans »

[Tribune libre] Manuel Valls s’inquiète. Après le démantèlement, samedi, d’une cellule islamiste radicale, le ministre de l’intérieur a reconnu qu’en France, le premier risque terroriste était représenté par des jeunes qui y avaient grandi, moins que par des étrangers. Comment peut-il feindre cependant d’ignorer les implications d’un tel constat ? Car ces Français ne le sont pas devenus par voie de filiation, pas davantage qu’ils n’ont  recherché à être adoptés par une nation dont ils refusent obstinément l’héritage historique et culturel. Ces gens ne sont fils de France ni par le sang reçu, ni même par l’assimilation; ils ne s’inscrivent assurément pas dans la lignée de nos pères, ces héros qui ont façonné la France en faisant de leurs enfants des dépositaires. La France n’est pourtant pas un terrain vague où toutes les communautés peuvent venir planter leur tente, elle n’est pas une simple addition de catégories : elle est une terre chargée d’histoire qui fait de nous des héritiers; elle est une communauté de destin qui s’enracine dans un passé commun. Or ces terroristes, devenus français par voie migratoire puis administrative, ne sont pas issus de ce passé français, ni ne se le sont appropriés pour faire leur le destin commun que nous construisons sur le socle de notre histoire séculaire. Français de papier, ils ne le sont pas devenus de coeur.
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En passant par le boulevard Voltaire…

Prêt à porter, rayon fillettes...

« Boulevard Voltaire », c’est le nom du site d’info lancé par le journaliste Robert Ménard avec une certaine médiatisation (et dont le choix de patronage avait été critiqué en nos colonnes).

Mais ces mots désignent aussi une grande artère parisienne.

On y trouve une boutique, au 167. Il ne s’agit pas d’un magasin de déguisements ou de farces et attrapes, non, c’est une boutique de « prêt à porter féminin » musulman.
Il y a même un très glauque rayon fillettes comme on le voit sur son site internet (image ci-contre), avec cette ahurissante phrase de présentation : « La rubrique « Nos petites princesses » reflète la joie de vivre de l’enfance. »

Un tel lieu dans une telle rue, c’est « cocasse » ; mais telle est la France de 2012 et n’oublions pas que par-delà l’opposition apparente entre les idées de Voltaire et les joies de l’islamisation, il existe un vrai lien de cause à effet, qui passe entre autre par la déchristianisation.

Scène surréaliste à Toulouse, où des musulmans font quasiment une émeute contre un « blasphème »

Des musulmans protestent à Toulouse contre la projection

Les organisateurs du Printemps de septembre, « festival de création contemporaine » de Toulouse, et « l’artiste » marocain Mounir Fatmi ont annoncé, mercredi 3 octobre, l’arrêt de la présentation d’une des « œuvres » de celui-ci en raison de protestations de musulmans indignés : ces derniers s’offusquaient d’une démarche artistique consistant à projeter au sol (sur le Pont Neuf), une video contenant des versets du Coran, avec effets lumineux etc.

Des dizaines de personnes (soixante à quatre-vingts selon la police) se sont rassemblées spontanément pour empêcher les piétons, nombreux sur ce pont, de fouler les projections de lumière.
Selon la police, une jeune femme aurait été giflée pour avoir malencontreusement mis le pied sur les versets.
Mounir Fatmi explique que lorsqu’il a présenté son travail au Qatar, même là-bas il n’avait pas eu de réactions hostiles…

Dans cette confrontation entre le ridicule de l’art contemporain et la conquête arabo-islamique du pays, on se demande où sont passés la France et la civilisation véritables…

Le Pen poursuivi par le lobby juif

L’Union des étudiants juifs de France (UEJF) a annoncé hier avoir porté plainte contre Jean-Marie le Pen, auprès du tribunal correctionnel de Saint Nazaire, pour « provocation à la haine raciale » et « diffamation raciale ». Le 22 septembre dernier, le président d’honneur du Front National avait en effet attribué aux Roms, lors de l’université d’été du mouvement qui se déroulait à la Baule, cette phrase : « Nous, nous sommes comme les oiseaux, nous volons naturellement ». L’affaire sera examinée le 5 février à 14h00.

Est-ce le déracinement des Roms en terre étrangère qui leur attire les faveurs du lobby juif ? Pour quelle motif en effet, et à quel titre,  l’UEJF s’intéresse-t-elle, au point de convoquer la justice, à des propos concernant une autre communauté que celle qu’elle est censée représenter ? Faut-il y voir  le signe d’une communion de sentiments, voire d’une convergence d’intérêts, entre les apatrides vivant sur le sol français ? Étrange en tout cas…

Voir la vidéo :

Seuls les Européens sont-ils racistes ?

Quel scandale ! Que font les professionnels de l’indignation ??
Cela s’est déroulé le 1er octobre dernier, lors de l’émission « C dans l’air » (France 5). Une émission consacrée à l’évacuation d’un campement de Roms à Marseille par des riverains. Ecoutez les propos du journaliste José D’Arrigo, professeur à l’Université de Provence (on imagine comment sont formés ses successeurs) :

Cette évacuation de Roms n’a donc aucun caractère raciste puisque, nous explique-t-il, « ce ne sont pas des Européens qui ont fait ça ». Ou comment suggérer que seuls les Européens peuvent faire preuve de racisme… Imagine-t-on un instant un intervenant tenir les propos inverses sur le même plateau ? Ce même journaliste aurait-il pu affirmer qu’un geste d’hostilité à l’adresse d’un étranger ne pouvait recouvrir une dimension raciste dans la mesure où il était accompli par des Européens ? Quelles cascades de réactions cela aurait-il suscité auprès des associations dites anti-racistes…

Que ce journaliste ne craigne cependant rien. Il est convenu de nos jours de distiller la haine de l’Occidental, ce « salaud » de Blanc si cher à l’imagerie post-coloniale…

Joies de la France multiculturelle : Alexandre Junca, 14 ans, vraisemblablement victime d’un sacrifice vaudou

L’enquête sur la disparition et le meurtre d’Alexandre Junca, 14 ans, à Pau (Pyrénées – Atlantiques) en juin 2011, s’oriente vers la piste d’un sacrifice vaudou. La police judiciaire de Bordeaux a demandé, fin septembre, l’aide de la mission interministérielle de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) sur cette question précise.

Contactée, la Miviludes confirme qu’elle a bien aiguillé la PJ vers un spécialiste reconnu des rites sataniques et vaudous. De plus, la découpe des os de la victime et leur nettoyage presque parfait semble confirmer les doutes de la PJ.

vaudou-haitiAlexandre Junca a disparu dans la nuit du 4 au 5 juin 2011 à Pau alors qu’il rentrait chez son père après un tour de vélo. Un fémur de l’adolescent avait été retrouvé le 26 juin sur les berges du Gave de Pau et le reste de ses membres tronçonnés en octobre 2011 au milieu d’une digue provisoire construite dans le torrent avec des gravats.

Pour l’heure, les enquêteurs n’ont toujours pas de scène du crime, ignorant où la victime a été tuée.

Source, via.

« Casse-toi de là sale français ! T’es pas chez toi ici, casse-toi ! »

« Comment décrire l’état d’esprit qui est celui, actuel, de Michel del Burgo ? Colère ? Dégoût ? Incompréhension ? C’est un peu tout à la fois. Mardi soir, vers 18 h 30, le grand chef cuisinier qui s’apprête à ouvrir un restaurant de grand prestige à Carcassonne a été victime d’une agression qu’il ne s’explique pas. Et qui le rend malade. Il raconte.

«Je sortais de mon établissement et me rendais en centre-ville en voiture en passant par le quartier la Conte. Je me suis arrêté à hauteur du bureau de tabac, de l’autre côté de la chaussée, pour répondre à un appel téléphonique… Tandis que je discutais, j’ai entendu des cris : «casse-toi de là, sale Français. T’es pas chez toi ici, casse toi !», raconte-t-il. «Sur le moment, ajoute-t-il, je n’ai pas pris ces invectives pour moi». Et de poursuivre sa conversation… «Tout d’un coup, une pierre est venue briser la vitre latérale du véhicule utilitaire, un petit camion frigo. Et puis une seconde a fait exploser le pare-brise», raconte Michel Del Burgo qui n’a eu d’autre choix que de démarrer et partir.

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La charcuterie n’est plus la bienvenue à Nimes…

Hugues Bousiges, préfet du Gard, a réuni en urgence, jeudi 27 septembre dernier, les élus et les représentants d’un quartier de Nimes. Motif ? Les pressions exercées par des musulmans, sur le marché du quartier du « Chemin-bas d’Avignon », pour que soit retirés de la vente l’alcool, la charcuterie et les vêtements féminins… Quant au représentant régional du Conseil français du culte musulman, convié à la réunion, il affirme, désolé, que « c’est la première fois qu'[il] entend parler d’une telle histoire« .

Evidemment, les revendications catégorielles de minorités issues de l’immigration sont absolument inexistantes sur notre sol. Bien sûr… Le malheur, c’est que nos dirigeants feignent de découvrir les désastreuses conséquences des causes qu’ils ne se lassent pourtant pas de promouvoir. Que l’immigration de masse puisse avoir une incidence sur la stabilité et l’équilibre culturel et démographique de nos sociétés, voilà qui semble avoir échappé à nos politiques. Que les faits viennent le leur rappeler et le vérifier, voilà qui paraît les déranger. Ces gens là n’ont eu de cesse, en effet, d’utiliser le ressort affectif et de susciter la compassion envers les populations immigrées extra-européennes, interdisant ainsi toute maîtrise de l’immigration. Ce faisant, ces démagogues ont agi sans considération du bien commun, lequel reste pourtant, en politique, le critère ultime de discernement.

Vont-ils aujourd’hui s’attaquer aux effets pervers de leur politique, et faire taire les revendications communautaires toujours plus nombreuses sur notre territoire ? Vont-ils rappeler à nos hôtes que, les ayant accepté sur son sol, la France a le droit d’exiger d’eux le respect de ses codes, de ses coutumes et de ses traditions ? Ou vont-ils céder devant ces groupes politico-religieux, sous le prétexte fallacieux d’une diversité qui brise aujourd’hui le ciment social et communautarise le pays ? Ils semblent manifestement embêtés à Nimes. « Dieu rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes« , s’amusait pourtant Bossuet. Mais il est vrai que l’illustre évêque de Meaux a disparu des manuels d’Histoire avec Louis XIV…

Jean de Rouen