Avenir de l’église Saint-Eloi de Vierzon : entre centre d’avortements et siège du parti communiste…

A Vierzon, l’église Saint-Eloi continue à faire parler d’elle : le député-maire Front de gauche, Nicolas Sansu, s’oppose au rachat de l’église Saint-Éloi par la confrérie Saint-Eloi, qu’il juge en effet tenir un discours discriminatoire envers les musulmans dans son appel aux dons. « Je dis à tous ceux qui leur donnent de l’argent qu’ils vont le perdre ! Car je ne laisserai pas la confrérie racheter l’église« , s’exclame-t-il avant de poursuivre : « Je n’accepte pas que l’on mette en péril le vivre-ensemble dans la ville (…).Nous ferons jouer notre droit de préemption urbain« .

Mais monsieur le maire est généreux et pense à l’avenir de l’église : tout en affirmant vouloir aider les musulmans à trouver un autre local, il envisage de racheter l’église…pour y installer la section locale du parti communiste, ou bien pour en faire un centre IVG !

Manifestement, le maire n’a pas la même bienveillance envers les musulmans et envers les catholiques : il s’inquiète de reloger les premiers afin de mettre à leur disposition un nouveau lieu de prière, et s’empresse de vouloir faire du lieu de culte des autres une antichambre de l’enfer !

L’église saint Eloi a été vendue

Finalement, l’église saint Eloi, dans le Berry, a été vendue : non pas à des musulmans -leur dossier n’a manifestement pas abouti-, mais à une association non confessionnelle, la confrérie des Charitables de Saint-Eloi. Parmi les trois ou quatre propositions, le diocèse a donc retenu cette association pour acheter l’église Saint-Eloi de Vierzon.

Née au XIIème siècle, la confrérie des Charitables de Saint-Eloi souhaitait précisément s’installer dans la région. C’est désormais chose faite. Cette association loi 1901 a pour objet l’assistance aux obsèques de toute personne, en aidant gratuitement les familles sans distinction de religion, d’opinion ni de fortune. A partir de juin 2013, l’église Saint-Eloi devrait donc accueillir des obsèques civiles et d’autres activités sociales et culturelles.

Le diocèse de Bourges souligne en outre, dans un communiqué, que « la confrérie St Eloi envisage également de préserver le caractère social de l’édifice et les valeurs qui s’y rattachent en y associant les habitants du quartier« .

Les catholiques défendent l’église saint Eloi du Berry

Les catholiques du Berry ont monté un comité pour préserver l’église saint Eloi, menacée d’être transformée en mosquée.
Le comité lance une « pétition contre la transformation de l’église St Eloi de Vierzon en mosquée« .

Voici par ailleurs les coordonnées de l’archevêché de Bourges:
4 Avenue du 95e de Ligne
18000 Bourges
tél. : 02 48 23 12 90

Tout un symbole : un diocèse français s’apprête à vendre une église… à des musulmans.

De nombreuses églises restent désormais vides le dimanche, victimes de la déchristianisation à laquelle a d’ailleurs contribué une bonne partie du clergé français, avec sa nouvelle approche de la religion et ses lubies gauchisantes.

Mais ça ne suffit pas à certains évêques : il faut encore parfois qu’ils facilitent l’installation de la nouvelle religion.

Ainsi, on apprend que dans le Cher, à Vierzon, l’église Saint-Eloi a été mise en vente au prix de 170 000 €, et qu’une association marocaine a pris contact avec la paroisse. Leur objectif : transformer l’église en mosquée.
Il est vrai que le bâtiment est « situé dans un quartier qui a vécu de grands bouleversements démographiques » comme le dit pudiquement Le Berry.

Infiltrés : le torchon Sud-Ouest condamné

Le 14 août 2010, le journal Sud Ouest publiait, sous le titre « Nouveau culte à saint Eloi », son quarante-septième article sur l’affaire « des infiltrés » mettant en cause l’école Saint Projet. Le journal y prétendait que l’émission démontrait qu’avaient été enregistrés « des propos racistes enseignés par les professeurs et répétés par les élèves scolarisés au collège« . Le simple visionnage du montage réalisé par France 2 aurait suffit au quotidien pour se rendre compte qu’il s’agissait d’une calomnie comme vient de le juger le Tribunal correctionnel de Bordeaux.

En effet, à la suite de cet article, l’Association d’Education Populaire Saint Projet, ainsi que huit professeurs, assignait, par l’intermédiaire de son avocat, Maître David Dassa Le-Deist du barreau de Paris, le journal en diffamation.

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Affaire de Bordeaux, la grosse presse sent-elle le vent tourner ?

A en croire cet article de « 20 Minutes », incroyablement objectif pour un organe du système médiatique, on est en droit de se demander si les journaleux ne sont pas en train de se rendre compte que CAPA et France 2 ont joué avec le feu dans cette affaire.
D’après nos informations, de plus en plus d’observateurs avertis ne sont pas convaincus que le fameux Mathieu Maye soit réellement un journaliste « infiltré » comme le prétend CAPA. Les différentes déclarations inexactes et contradictoires qu’a fourni Laurent Richard, directeur de la rédaction CAPA, ainsi que les déclarations de Mathieu Maye faites au journaliste de Minute, semblent accréditer la thèse que ce monsieur Maye était en réalité un flic infiltré, un « barbouze » et que l’agence CAPA n’a fait que récupérer son « travail » pour ensuite le vendre à France 2.
Les services de l’Etat ripoublicain ont toujours introduits des agents provocateurs dans les mouvements politiques qu’ils voulaient décrédibiliser. Dans le cas de Bordeaux, il semblerait que CAPA ait fait un « deal » avec la police politique de ce régime.
Si cette thèse se confirme, la crédibilité de CAPA, Pujadas et France2 risque d’en prendre un sacré coup : une agence de presse soit-disant indépendante travaillant en collaboration étroite avec des barbouzes, ça fait désordre…

C’est avec attention que nous suivrons les suites judiciaires de cette affaire qui permettront peut-être de mettre en lumière certaines pratiques peu reluisantes de notre régime pseudo démocratique.