« Le professeur Laurent Thines, neurochirurgien au CHU de Besançon, vient de mettre en ligne une pétition pour demander à terme l’arrêt des flash-ball, LBD, grenades lacrymogène ou de désencerclement dans les manifestations. Des armes sub-létales qui, écrit-il, sont extrêmement dangereuses.
Alors que le Système ne cesse de nous appeler à « aller débattre » , la répression contre les mal-pensants ne faiblit pas. La semaine dernière, c’était Alain Soral qui était condamné à un an de prison, cette semaine c’est Hervé Ryssen qui a été victime de la justice politique : celui-ci a été condamné à 120 jours-amende à 50 €, sans compter les dommages et intérêts dus à la Licra (7.000 € pour cette « ligue de vertu ») simplement pour avoir retweeté un photomontage qui n’était pas de lui. Voilà où en est la liberté d’expression.
J’apprends ce soir que je viens d’être condamné pour « négationnisme », moi qui n’ait jamais parlé de la Deuxième Guerre mondiale🔓J’avais simplement retwitté un montage-photo… et BOUM ! C’est cela, être dissident.https://t.co/0sJSlETQV9
Dans ces conditions, il faut vraiment être un gogo de la première heure pour participer à un débat dont même les sujets sont choisis par les autorités, celles-ci semblant craindre par dessus tout que certaines vérités soient dites. Continuer la lecture de « Hervé Ryssen condamné pour un re-tweet »
Le quotidien alsacien Dernières nouvelles d’Alsace s’est adonné à un répugnant article de délation politique.
Un lycée prétendu « catholique » a embauché un jeune professeur remplaçant qui fait bien son travail et ne laisse rien voir de ses opinions en cours.
Mais il risque de perdre son travail et de ne pas en retrouver dans son secteur. Sa faute ?
Être, à côté de son travail, engagé politiquement (et parfaitement légalement) dans le camp national (avant, les journaleux disaient « extrême-droite », maintenant que ça ne fait plus assez peur, ils disent « ultradroite », en attendant la suite).
S’il avait été militant communiste ou LGBT, il n’y aurait pas eu de problème.
Les « journalistes » Charlotte Dorn et Antoine Bonin ont fait un bien sale boulot mais doivent être fiers d’eux.
Au « pays de la liberté », les Berufsverbot pour non gauchisme sont de rigueur.
Jusqu’à quand les Français supporteront-ils ce totalitarisme des bien-pensants cosmopolites ?!
Alors qu’en règle générale, police et justice semblent se regarder en chien de faïence (la police reprochant à la justice son laxisme, du reste non sans raison quand il s’agit de lutter contre la délinquance), dès lors qu’il s’agit de procéder contre les gilets jaunes les deux semblent agir de concert, la police politique étant encouragée par une magistrature politique.
On pourra constater cela par cet exemple ahurissant tiré de ce reportage réalisé lors de l’acte IX. A la minute 19, on y voit l’interpellation d’une femme absolument sans raison.
On pourrait penser à une erreur de la police et la libération rapide de cette femme qui participait à une manifestation légalement déclarée. Eh bien, ce n’est pas ce qui s’est passé et cette dame a été trainée jusque devant le tribunal correctionnel où elle a été condamnée. On lira ici le témoignage de son mari :
Condamnée pour « participation à une manifestation dans le but de créer des violences » (sic) (et ce alors que la manif était déclarée) avec pour objet un jet de bouteille (lequel ?! car quand on voit la vidéo, nul jet de bouteille n’apparaît !) Elle est condamnée à 5 ans de mise à l’épreuve avec 1.000 € d’amende et son casier judiciaire n’est donc plus vierge ! ! ! Du reste, les conditions de la GAV ont été indignes (cf. le témoignage de son mari), et on peut penser qu’un terroriste aurait mieux été traité dans la France de Macron que cette opposante politique.
Un policier assomme d’un coup de matraque derrière la tête un manifestant déjà arrêté et n’opposant pas de résistance :
On rappellera qu’il y a quelques jours le sinistre Christophe Castaner affirmait n’avoir « jamais vu un policier ou un gendarme attaquer un manifestant (…) ou un journaliste », alors que tout le monde constate (policiers compris) que certains policiers excités par les incitations haineuses et la protection du gouvernement s’en donnent à cœur joie.
D’autres videos qui avaient déjà circulé sur internet ont été rediffusées par des internautes suite aux propos honteux de ce truand, chef de la police ; en voici certaines : Continuer la lecture de « Acte X : encore une video choquante d’agression par un policier »
Samedi, un pompier manifestant avec les Gilets jaunes à Bordeaux était poursuivi par des policiers macronistes zélés qui lui ont tiré dans la tête avec une « balle de défense » de dos (donc au mépris total de la réglementation). Ce père de trois enfants était dans le coma jusqu’à aujourd’hui.
Une video de cette grave bavure – révélatrice du climat de terreur que veut imposer le gouvernement pour briser la contestation populaire – avait déjà largement circulé.
Elle est complétée par une nouvelle video encore plus accablante.
On y entend un policier (visiblement un chef) dire à ses collègues après cette partie de chasse amusante : « Ils savent pas que c’est nous. Ramenez les douilles, faut pas qu’on voit ». Un délit de plus (dissimulation de preuve) par ceux qui sont censés faire appliquer la loi.
Sodome et Gomorrhe détruites par le feu divin. A quand l’interdiction de la Bible ?
Notre site n’était pas accessible durant la matinée de ce mercredi.
Le motif ?
Trahi par son propre hébergeur, Contre-info été censuré par celui-ci, qui n’est autre qu’OVH, le 1er fournisseur européen d’hébergements de sites internet.
Le tribunal a donc suivi les réquisitions du parquet. Ce jeudi 17 janvier, Alain Soral a été condamné à un an de prison ferme par le tribunal correctionnel de Bobigny pour « injure raciale, provocation et incitation à la haine raciale. »
Conscient de la puissance des symboles, la République sait se montrer intraitable avec les représentations « séditieuses ». Au plus fort de la Manif pour tous, le simple port d’un pull-over pouvait conduire au poste de police. 6 ans plus tard, un simple gilet jaune « made in China » suffit pour écoper de 135€ d’amende. Qu’est-ce que les « forces de l’ordre » ne feraient pas pour permettre à la propagande présidentielle de faire des images sans jaune…
Contrôle d’identité aux abords de #Bourgthroulde : les gendarmes ne font pas que vérifier les pièces d’identité, ils les prennent en photo. « C’est du fichage » dit un manifestant. Les #giletsjaunes reçoivent l’ordre de retirer leur gilet « sous peine de 135 euros d’amende ». pic.twitter.com/MKBgAMf2Wx
Trouvé sur France Soir : La visite du président de la République ce mardi 15 à Grand Bourgtheroulde était annoncée sous haute tension, avec des restrictions de circulation importantes (voir ici) pour cette petite commune de 3.700 habitants où Emmanuel Macron a choisi de lancer symboliquement le Grand débat. Mais le dispositif sur place est aussi restrictif avec une consigne clair: hors de question de voir un gilet jaune perturber la visite.
Sur son compte Twitter, une journaliste du Monde explique (photo à l’appui) que les gendarmes effectuant des contrôles d’identité aux abords de Grand Bourgtheroulde prennent en photo les pièces d’identité. Quand aux conducteurs qui portent un gilet jaune, ils reçoivent l’ordre de le retirer. Ceux qui refusent d’obtempérer risquent 135 euros d’amende.
Les témoignages de violences à l’encontre des Gilets jaunes de la part des forces de l’ordre se multiplient. Cette férocité débridée, sans réprimande de la hiérarchie policière et du gouvernement, pourtant prompt à se prononcer dans les affaires qui touchent les allogènes, est un encouragement pour la fraction de policiers qui rêvent de se défouler sur la population civile.
Nous vous partageons ici les renseignements communiqués par ses proches afin qu’ils obtiennent des témoignages.
« Il s’appelle Benjamin, 23 ans, de passage à la manif, n’a pas participé ni au défilé, ni à aucun face à face avec les forces de l’ordre. Se trouvait juste là au mauvais moment. Il a passé 6 heures au bloc, les chirurgiens lui ont indiqué qu’il restait des possibilités que son œil ne soit pas totalement mort, mais qu’il fallait entre 4 et 6 mois avant de faire un diagnostic définitif sur sa vision. Il était fraichement arrivé sur Bordeaux pour suivre sa compagne qui poursuit des études de droit, lui est, plutôt était (…) un ouvrier qualifié en soudure avec plusieurs années d’expériences malgré son jeune âge. Il a commencé à travailler en alternance à 15 ans (alors pour le côté « faites des efforts »…) et maintenant sa vie professionnelle est terminée, sa vie ne sera plus jamais la même, son handicap le poursuivra toute sa vie. »
Vous avez peut-être vu la vidéo (ci-dessous) d’un Gilet jaune bordelais atteint en pleine tête par la munition d’un LBD (« lanceur de balle de défense » [sic]).
Poursuivi et tiré dans le dos sans motif légal par un fonctionnaire de police appliquant les consignes de terreur de Macron et Castaner, ce pompier père de 3 enfants est aujourd’hui dans le coma, son pronostic vital est engagé…
allo @Place_Beauvau
– c’est pour un signalement – 260 (précisions 2)
Des nouvelles par DM de l’homme resté à terre.
Il a été opéré hier soir d’une hémorragie cérébrale. Opération que se serait bien déroulée. On ignore encore si séquelles il y aura.#ActeIX Bordeaux #flashballpic.twitter.com/jbpgWx4mEm
Rappelons que l’usage de ces armes non létales, dites « de force intermédiaire », dans les opérations de maintien de l’ordre est très strictement encadré par la loi : le principe défini par le code de la sécurité intérieure est celui d’un usage « en cas d’absolue nécessité et de manière strictement proportionnée ». On ne voit guère où est la légitime défense ici.
Cinq employés du site d’Amazon de Montélimar (Drôme) ont reçu au mois de décembre une convocation pour un entretien préalable à une éventuelle sanction disciplinaire. Leur point commun : ils ont tous posté des messages de soutien aux gilets jaunes sur leur page Facebook. Les syndicats craignent des procédures disciplinaires lourdes car déjà, fin décembre, un employé de l’entreprise a été licencié pour faute grave dans le Nord suite à des faits similaires.
À Montélimar pour le moment, pas de sanctions, mais déjà deux entretiens disciplinaires ont eu lieu et à chaque fois on a reproché aux employés « des messages postés sur les réseaux sociaux », selon le délégué CFDT de l’entreprise, Julien Vincent. Les syndicats promettent des actions fortes si des licenciements sont prononcés. L’entreprise elle, indique simplement que « chacun de nos salariés est libre d’y participer ou d’exprimer son soutien, dans le respect de ses obligations contractuelles ».Continuer la lecture de « Montélimar : 5 salariés d’Amazon soutenant les gilets jaunes convoqués pour des entretiens disciplinaires »