En dépit de l’émoi et de l’hostilité des médias et des autorités (le préfet de Paris, le franc-maçon espagnol Laurent Nuñez, avait interdit la manifestation mais le tribunal administratif l’a autorisée la veille), près de 1 500 jeunes de droite radicale se sont retrouvés à Paris ce samedi 10 mai pour un défilé annuel d’hommage à un militant nationaliste, Sébastien Deyzieu, mort en 1994 à l’âge de 22 ans, victime de la répression.
La préfecture elle-même parle d’environ un millier de manifestants.
Le défilé, digne et beau, s’est effectué sans incident – malgré les provocations de la vermine antifa –, se terminant par des dépôts de gerbes sur le lieu de la tragédie, le tout encadré par un service d’ordre sérieux et impassible.
#comitédu9mai
Le cortège se met en marche de façon très solennelle au rythme des tambours.Les participants sont particulièrement silencieux, organisés en colonnes.@LesCamaradesC9M pic.twitter.com/mrYDsUUxYf
— Ligne Droite • La matinale de RC (@Ligne__Droite) May 10, 2025
A noter la présence, cette année particulièrement, de plusieurs délégations européennes, indiquant que ce rassemblement annuel unitaire (regroupant des personnes de tendances relativement variées), qui prend de l’ampleur malgré un climat hostile, devient une référence pour la France militante.
Ce succès montre le développement au sein de la jeunesse française d’un engagement fort qui se fiche du qu’en-dira-t-on et des imprécations de la caste politico-médiatique.
PS : les médias évoquent toujours le motif du défilé comme la « mort accidentelle » de Sébastien Deyzieu, sans précision… C’est un mensonge par omission.
Le Figaro par exemple, qui rabâche le simple « accident ». Pourquoi un hommage annuel pour un simple accident alors?
Environ 1000 militants d’ultradroite, selon la préfecture de police de Paris, ont défilé samedi après-midi dans la capitale sans incident notable à l’appel d’un «Comité du 9 mai» pour commémorer la mort de l’un d’entre eux, Sébastien Deyzieu, décédé accidentellement en 1994.
Derrière une banderole «Sébastien Deyzieu Présent», ces militants, souvent vêtus de noir et le visage dissimulé, ont marché entre Port-Royal et la rue des Chartreux (VIe arrondissement), où le militant de L’Œuvre française avait trouvé la mort il y a 31 ans faisant une chute accidentelle lors d’une manifestation.