Récemment, une étude anglaise révélait que 65% des personnes ayant eu recours à la de chirurgie esthétique le regrettaient. Du tatouage décidé un peu vite aux seins refaits pour tenter d’obtenir une plastique « parfaite », le remords prime quelques années plus tard… La star hollywoodienne Courtney Love avait même déclaré : « je voudrais juste retrouver la bouche que Dieu m’a donnée ». Mais rien de grave, les chirurgiens gagnant autant d’argent à faire qu’à défaire, les solutions existent donc et sont listées publiquement sur la toile…
Si deux tiers des personnes ayant eu recours à la chirurgie esthétique regrettent, la proportion doit être au moins aussi élevée pour les personnes ayant eu recours à un « changement de sexe », opération infiniment plus profonde… Mais sur le sujet, silence radio.
Rien, pas un mot ni dans les journaux, ni sur internet. L’omerta imposée par les activistes est plus fort que la souffrance pourtant réelle des personnes concernées. « Chacun fait comme il veut » certes, mais à condition que le lobby homosexualiste approuve. D’ailleurs ce dernier l’affirme : les regrets sont très rares et ne concerneraient que 5% des personnes qui ont eu recours à cette opération. Nous sommes tous priés de le croire puisqu’aucun d’eux n’a la parole.
Pourtant les témoignages existent, et les histoires tragiques de nombre d’entre eux devraient au minimum exiger une immense prudence.



Deux lecteurs de Contre-info ont assisté à la première conférence organisée par la secte du Grand Orient sur « l’anti-maçonnisme », à Lille, samedi dernier. Félicitations à eux. Voici leur témoignage.



Dans la nuit de dimanche à lundi, un « temple » des francs-maçons du Grand Orient de France installé dans l’ouest de l’Eure, à Bernay, a été ravagé par les flammes.
« Les massacres en Irak provoquent la mort de cinq cents Yézidis ». « Des femmes et des enfants ont été enterrés vivants », « 300 femmes réduites en esclavage sexuel par le calife », « Des dizaines de milliers de Yézidis et de chrétiens un exode », « Les braves peshmerga (tant aimés par Israël) ont ouvert un corridor humanitaire », etc. Les titres de la presse sont composés sur ce même moule. Et, une fois de plus, les envoyés spéciaux nous assurent que ces mensonges sont « aussi vrais que terribles ». Toutes ces tragédies ont au moins un avantage : elles font oublier les atrocités de Gaza, les images de morts et de destructions de la nation sioniste.
Les évêques français sont généralement, de fait, des militants de gauche, mondialistes et invasionnistes, etc.
Malheureusement ça n’a rien d’étonnant… Leur cynisme n’a pas de limite. Même l’histoire de la cellule autonome du Hamas ne semble pas tenir la route compte tenu que les seuls à avoir revendiqué le meurtre des trois jeunes juifs ne sont ni plus ni moins qu’un groupe de djihadistes liés … à l’Etat Islamique… (voir
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Texte de don Curzio Nitogilia (Il Gran Kahal, un terribile segreto, Chiesa Viva, novembre 2013)