SOS Racisme, Licra et Cie demandent que l’épuration du Net se durcisse

En tribune libre, ce texte de Marcus Graven, que nous reprenons :

« Sous le titre Haine sur Internet : le plaidoyer d’associations pour muscler la loi française, sous-titré Cinq associations antiracistes interpellent le gouvernement pour modifier la loi punissant les contenus illégaux sur Internet, le site du quotidien Le Monde publie un article de Martin Untersinger qui a eu droit de la part de ses petits copains de consulter 14 propositions de modifications législatives pour que la France s’enfonce encore un peu plus dans le flicage de la pensée.

Elles émanent d’associations pour qui les lois liberticides (Pleven, Gayssot, Taubira) ne permettent pas d’emmener assez de monde devant les deux tribunaux du régime (la 17e Chambre et les médias). Pour elles, il y a encore trop de Français qui pensent mal, qui écrivent mal, qui publient mal, qui analysent mal.

La France déjà championne du monde de la censure sur Internet, la France qui occupe une peu glorieuse 39e place en matière de liberté de la presse et est une “démocratie imparfaite” dans le classement “Indice de démocratie” de The Ecomist Group derrière le Botswana, le Cap vert ou l’Uruguay, peut mieux faire dans le bâillonnement, l’étouffement, l’aveuglement, l’assourdissement.

Ces associations sont les habituelles associations soutenant l’universalisme totalitaire, le vivre-ensemble obligatoire: SOS Racisme, la Licra, l’UEJF (Union des Etudiants Juifs de France) […]. Pour elles, le cadre législatif actuel « n’est plus adapté pour lutter efficacement contre les contenus à caractère raciste, antisémite, négationniste et discriminatoire ».

« Il y a un besoin de muscler le dispositif pour faire face à l’impact que peuvent avoir les contenus haineux » dit Sacha Ghozlan, le président de l’UEJF.

Muscler la loi ou museler la parole ?

Les fils de putes idéologiques de ceux qui en 1968 criaient qu’il était interdit d’interdire détestent la parole libre, la pensée libre, l’analyse libre. Ce sont des censeurs qui ne dépareilleraient pas en Chine.

Ces associations voudraient que la loi oblige les hébergeurs de sites à recueillir davantage « d’éléments d’identification » de leurs utilisateurs à la création de leurs comptes (adresses courriel, noms, téléphone) afin qu’il n’y ait plus d’anonymat et qu’ainsi des poursuites soient très vite engagées.

Elles souhaitent également, si les éléments permettant d’identifier leur auteur sont insuffisants, qu’un juge ferme les profils Facebook et les comptes YouTube dès qu’il y a – sans doute selon leurs propres critères – un contenu illégal.

Elles veulent aussi qu’un simple courriel suffise à signaler un contenu illégal et non plus comme aujourd’hui, une lettre recommandée.

Elles réclament un dispositif obligatoire d’accès aisé à tous les internautes sur les plateformes pour qu’ils signalent les contenus diffamatoires, injurieux et négationnistes.

Elles ont l’oreille de Mounir Mahjoubi, le secrétaire d’Etat chargé du numérique au sein du régime Macron-Philippe. Pour lui, la loi française « ne fonctionne pas bien sur les paroles de haine ».

Evidemment la Commission européenne est sur la même longueur d’onde. Depuis des mois, elle enjoint les grands réseaux sociaux de faire la chasse aux contenus illégaux (comprendre les contenus critiques envers l’immigration, l’islam…)

Le racisme anti-blanc ne sera pas concerné… puisqu’il n’existe pas.

Ces associations sont des milices qui affichent ouvertement leur amour de la dictature, de l’information passées sous silence.

A ce rythme-là, elles ne vont pas tarder à demander le nettoyage de nos bibliothèques: Houellebecq, Zemmour, Rioufol, Raspail, Sansal…

A propos, combien de morts à mettre à l’actif de ceux qui écrivent sur les réseaux sociaux ?

Et combien de morts de la part de Momo et des siens à Paris, Londres, Nice, Madrid, Bruxelles, Stockholm, Manchester, Barcelone… ?

Je propose à Sopo (SOS Racisme), à Ghozlan (UEJF), à Stasi (le bien nommé patron de la Licra) qu’ils méditent ces paroles du Général de Gaulle rapportées par son fils dans De Gaulle mon père (Plon 2003) : « Si une communauté n’est pas acceptée, c’est parce qu’elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problème. Si elle se plaint de racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre. Quant elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous pour imposer ses mœurs ».

Marcus Graven sur Riposte laïque

5 commentaires concernant l'article “SOS Racisme, Licra et Cie demandent que l’épuration du Net se durcisse”

  1. « Liberté , Egalité,Fraternité , Tolérance, Vivre-ensemble »

    = obligation laïque et républicaine de chanter les louanges de la Licra et du Crif (= Bien, Amour) à toutes les heures.

    ceux qui ne pratiquent pas sont désignés comme démons de haine vomis par l’ enfer pour nuire aux bons citoyens.

    les bûchers de la 17° chambre les attendent.

  2. SOS Racisme, Licra et Cie , ces machins n’ont aucune existence reconnue par les Français, de quel droit viennent-ils sans fin emmerder le monde, et pourquoi la petite frappe au sommet se met de leur côté, Ah oui il est de chez rôte chiite

  3. Il faut tout d’abord éliminer ces associations qui représentent un énorme danger contre la liberté d’expression !!! Décapiter les têtes et elles s’effondreront.

  4. braves dudules vous avez la liberté de dire écouter écrire uniquement ce que les Charlie vous diront et rien d’autre.Rappelez vous les milliers de gogos lesquels défilaient au nom de « leur liberté » chacun tenant un crayon à la main pour donner de l’importance à leur pensée , celle de « critiquer certains mais surtout pas les autres ».Et il est particulièrement surprenant autant qu’inquiétant de constater de quelle manière ces gens là manipulent les « foules de moutons crédules naifs » mais aussi remplis de hèèène et de « liberté à géométrie variable » puisque la pensée est de plus en plus criminalisée .

  5. Si on fait une rapide recherche des lois contre les fake news qui sont mises en place un peu partout, il y a même de la prison qui va être donnée dans la cité-état de Singapour… Ca promet pour le futur.

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