L’école maternelle, trop sexiste ? Ou les élucubrations d’un député socialiste

Sandrine Mazetier, député PS de Paris, a expliqué sur RTL qu’elle souhaitait débaptiser l’école maternelle. Une terminologie « trop sexiste » selon elle, car elle évoque exclusivement l’image de la mère : «La maternelle, c’est une école. Ce n’est pas un lieu de soin ou un lieu de maternage. C’est aussi un lieu d’apprentissage», explique-t-elle en soulignant que l’épithète maternelle est basé sur la racine mater, c’est-à-dire mère, en latin.

Le député juge donc opportun de saisir le gouvernement sur cette question : «Changer le nom de « maternelle » en « petite école » ou en « première école », c’est neutraliser d’une certaine manière la charge affective et maternante du mot « maternelle »», a précisé le député, suggérant que l’école n’avait pas vocation à materner les enfants.

Décidément, quand il s’agit de nier la différenciation sexuelle, la gauche progressiste fait feu de tout bois et s’empare de tous les sujets ! Mais reconnaissons que ce député a bien raison de souligner que le rôle de l’école n’est pas de se substituer à la mère en particulier, ni aux parents en général : vive l’école libre !

Gender : la folie s’empare d’une école maternelle en Suède

Cet extrait d’un article de gentside.com image parfaitement l’absurdité de la théorie du gender et nous laisse entrevoir quel futur réserve la république maçonnique à nos enfants. Faire de l’homme un androgyne sans identité, pour atteindre une plus « parfaite » égalité. Une égalité qui nous sera imposée, au mépris de la réalité et de la vraie liberté (capacité à se mouvoir dans le bien).

L’école maternelle « Egalia » à Stockholm, en Suède, tente de lutter contre les clichés qui différencient filles et garçons. Pour éviter au maximum de tomber dans les stéréotypes, le personnel éducatif a tout vérifié. Du choix des livres à la décoration, en passant par les jouets, tout est fait pour ne pas créer de différences notoires entre les deux sexes. D’ailleurs, les enfants sont appelés des amis, et les professeurs évitent au maximum les mots « il » et « elle ». Les sujets abordés avec les enfants parcourent également tous les thèmes. De nombreux livres de leur bibliothèque parlent de l’homosexualité, de l’adoption ou du divorce. Aussi, lorsqu’un plombier, un électricien ou autre vient à l’école, il est appelé par les enfants et leurs professeurs « une poule », afin de ne pas se focaliser sur le sexe de la personne.

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