Idéologie du genre : et maintenant, l’avortement pour les hommes !

avortement

On croit trop facilement avoir touché le fond… C’est dans le plus récent numéro du doyen des hebdomadaires des Etats-Unis, The Nation, fondé en 1865 pour combattre l’esclavage, que l’on peut trouver un article évoquant la revendication étrange qui demande que l’avortement ne soit plus présenté un droit des femmes. L’avortement, dit cette étonnante théorie, peut intéresser les hommes : les hommes transgenre par exemple, et encore des personnes qui ne se conforment pas à leur genre d’origine.

Pendant la plus grande partie de l’histoire, reconnaissent ses tenants, ce sont les femmes et les jeunes filles qui avortaient. « Plus maintenant. Les gens avortent. Ce sont des patients qui avortent. Il y a des hommes qui avortent. » Prétendre le contraire, c’est faire preuve de cissexisme : ce nouveau préjugé discriminatoire qui affecte les institutions et la société qui favorisent « les individus qui s’identient au genre qui leur a été assigné à la naissance (cisgenres), au détriment des individus s’identifiant à un genre autre que celui assigné à la naissance (trans) ».

Attention, ce n’est pas de la transphobie, concept bien trop étroit pour dénoncer les micro-agressions et l’invisibilité structurelle dont sont victimes les personnes trans, et qui se traduisent par les « privilèges » que se réserve la « majorité transgenre ». (Je cite, évidemment.)

Il est donc urgent de cesser de parler de la « guerre contre les femmes » menée par les opposants à l’avortement, assurent quelques féministes activistes.

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Le Haut Conseil à l’égalité veut conditionner les subventions à la lutte contre les stéréotypes

Lutte

Le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes vient de proposer dans un rapport remis aux ministres des Affaires Sociales Marisol et du Droit des femmes Pascale Boistard de conditionner les financements publics à la lutte contre les stéréotypes de sexe.

Une méthode qu’il souhaiterait voir appliquée dans trois domaines décisifs et prioritaires : les médias, la communication institutionnelle de l’Etat et des collectivités territoriales et l’éducation. Elle a voulu encourager cette lutte en définissant des grilles pour aider à mesurer les stéréotypes de sexes, notamment dans les fictions télé, les émissions d’informations, de divertissement et de téléréalité.

Bref distiller la propagande de manière encore plus grossière afin que la société suive naturellement l’évolution souhaitée. Une manière de faire encore une fois totalitaire alors que les Français ont été nombreux à descendre dans la rue contre le Gender, à s’offusquer de l' »art » obsédé du nouveau protégé de la mairie de Paris, mais également à signer la pétition contre l’ignoble exposition « zizi sexuel » soit disant destinée aux enfants… Les élites continuent contre vents et marées à imposer leur révolution sexuelle basée sur les études sur le genre aux conséquences pourtant déjà dramatiques…

Et pendant ce temps-là, l’association Agir contre la prostitution des enfants s’alarme de la banalisation du sexe chez les enfants et de la multiplication d’actes s’apparentant à de la prostitution chez les collégiens… On se demande bien ce qui peut pousser des enfants à banaliser le sexe, si ce n’est des adultes obsédés par le sujet, qui le présentent de la manière la plus bestiale et violente possible…

Académie de Nantes : propagande cachée aux parents !

Capture d’écran 2014-09-16 à 17.13.20Hier, quelques internautes attentifs avaient remarqué un message pour le moins étonnants sur l’une des fiches « pédagogiques » proposées par l’Académie de Nantes.

La fiche concernait le livre pour enfant « que font les petits garçons ? », présenté dans cette fiche comme un livre « provocateur, décalé, irritant, drôle, énigmatique ».

A la fin des conseils donnés aux enseignants pour exploiter ce livre, cette phrase : « Il est impératif que la phase de découverte ait lieu en classe et que les albums ne soient pas empruntés pour être emmenés à la maison. Les réactions très négatives de certains adultes à l’égard du livre pourraient compromettre son exploitation ».

Les internautes ayant repéré cette mention se sont empressés de la diffuser sur les réseaux sociaux, s’indignant d’une mise à l’écart volontaire des parents d’élèves. Il faut dire que le contenu de cet album est tout sauf anodin puisque l’académie précisait en 2006, date de création de cette fiche, que le livre « dérange » puisqu’il aborde « deux sujets tabous dans la littérature de jeunesse : la mort et la sexualité » et « propose un catalogue assez scandaleux de l’activité des petits garçons ».

A la suite de cette découverte, l’Académie de Nantes a retiré la fiche de cet ouvrage*, mais ce nouvel épisode prouve qu’il y a une volonté ancienne d’endoctrinement des élèves sans l’accord de leurs parents… A noter que le conseil se trouve toujours sur le site de l’Académie de Rouen et qu’il ne date pas de ce gouvernement socialiste…

La rumeur est décidément persistante, restons vigilants.

*Le cache de cette page se trouve ici.

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ABCD de la complémentarité : le pied-de-nez controversé de Farida Belghoul au ministère de l’Éducation nationale

FaridaNajat Vallaud-Belkecem et ses chevaliers du Gender ont imposé à l’école l’ABCD de l’Égalité, qu’on ne présente plus.

Farida Belghoul et ses soutiens proposent désormais les ABCD de la complémentarité. La fondatrice des Journées de Retrait de l’École s’était déjà fait remarquer en intitulant un de ses livres Papa porte un pantalon et Maman porte une robe, détournement de Papa porte une robe, l’un des ouvrages phare des fameux ABCD de l’Égalité…

Complémentarité vs indifférenciation des sexes, c’est le cheval de bataille de tous les parents qui refusent qu’on enseigne à leurs enfants les idées pro-genre. Le combat passera notamment par des séances de lecture de contes traditionnels en dehors du temps scolaire.

Une démarche portée à la fois par Farida Bleghoul et les JRE et par la Fédération Autonome de Parents Engagés et Courageux (FAPEC), collectif de parents désireux de faire entendre leur voix au sein des écoles.

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ABCD de l’égalité : la même chose, en pire…

Hamon NajatBenoît Hamon et Najat Vallaud-Belkacem ont enfin compris que la pilule ne passait pas et que les initiatives contre les ABCD de l’égalité, expérimentés dans 600 écoles françaises, continuaient à se multiplier…

Mais au lieu d’écouter les Français, et en l’occurrence des parents légitimement inquiets pour leurs enfants, les deux ministres ont décidé de les prendre pour des imbéciles.

« Le nom « ABCD de l’égalité » attaché à l’expérimentation n’apparaîtra plus » affirme Najat, puisque « nous allons passer à une étape où toutes les écoles, tous les enseignants, tous les élèves sont concernés » avec un dispositif « très ambieux », a-t-elle assuré.

Voilà la solution : on change le nom mais on continue, en pire et en accéléré, en restant bien cachés derrière le mot fourre-tout d' »égalité ».

Mais l’égalité de l’homme et de la femme est un principe acquis par notre civilisation… Il n’y a pas besoin de plan d’action spécial…

S’ils voulaient vraiment lutter pour l’égalité, il serait bon de commencer par ces quartiers où les filles n’osent plus sortir en jupe, par exemple…

Il ne s’agit évidemment pas plus aujourd’hui qu’hier d’égalité mais bien toujours de cet égalitarisme qui prétend que les différences naturelles entre un homme et une femme ne sont que des constructions de la société.

Donc on continue, mais on accélère. Benoît Hamon, ministre de l’Education Nationale a lui même a insisté : ce ne sont plus 600 enseignants qui seront formés, mais les 330.000 que compte la France… Les nouveaux « modules pédagogiques » sont bien les clones des « ABCD de l’égalité », rebaptisés pour tenter de museler l’opposition.

Le niveau de l’école se révèle chaque année de plus en plus catastrophique, le rapport Pisa (publié par l’OCDE) épinglait la France cette année encore… Mais le Ministre refuse de concentrer l’école sur son rôle premier d’instruction pour continuer à se substituer aux parents en matière d’éducation…

Ce n’est pas comme ça qu’ils feront cesser la grogne de ces parents inquiets…

La cosmétique sucombe aux sirènes du gender

Le Monde fait la promotion d’un nouveau phénomène : « la mixité esthétique ». En un mot, le monde de la cosmétique s’ouvre à la théorie du genre, et le journal d’extrême gauche approuve !

Extraits : « Sportifs tout en muscles et flacons de couleur foncée pour les hommes ; top models au teint immaculé et packaging métallisé pour les femmes. A en croire les rayons des grandes surfaces et les campagnes publicitaires, le monde de la beauté cultive le déterminisme sexuel. Pourtant, une autre voie, qui paraissait encore confidentielle au début des années 2000, ne cesse de prendre de l’ampleur. Qualifiée de microphénomène par les géants de la cosmétique, la « mixité esthétique » assume ses ambitions : s’adresser au petit nombre qui ne se reconnaît pas dans les clichés habituels ».

Voilà qui est dit ! En bon progressiste, le Monde nous incite à l’émancipation, seul facteur de progrès ! Et de voir dans le masculin et le féminin, des « clichés habituels« . Rien d’original donc sous la plume d’un journaliste qui entend substituer aux « clichés habituels » des poncifs non moins habituels…

L’heure paraît en effet à l’uniformisation : bâtir un homme nouveau, asexué, voilà le projet de ces nouveaux apprentis sorciers. Projet séduisant, dans lequel l’homme s’érige en maître de la nature…pour mieux la détruire. C’est cela s’émanciper. Quant à l’écologie humaine, quant au principe de précaution, voilà des notions que l’idéologie, sous couvert des meilleurs sentiments, a balayé d’un revers de main depuis déjà longtemps, préférant les réserver aux animaux…

La théorie du genre n’a pas fini de vous surprendre…

Article lu sur lacropole.info :
Nous avions fait un point sur la théorie du genre dans notre précédent article, en passant en revue leurs principales positions doctrinales. A présent, nous voudrions vous exposer quel est le but auquel aspire le féminisme radical et quelles sont les stratégies choisies et mises en place pour y parvenir.

Les ambitions de la théorie du genre

Les théoriciens du féminisme radical ont pour ambition « de faire éclater définitivement le dualisme des genres et même des sexes qui ne sont que des oppositions idéologiques, visant toujours à l’oppression de l’un par l’autre. Par ce biais, ils pensent se débarrasser une fois pour toutes des problèmes d’identité sexuelle et instaurer une régime de pleine liberté 1 ». Déconstruire pour reconstruire.

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La recherche contre le « gender »

De nouveaux travaux de recherche réaffirment que le genre a pour origine la différence biologique entre homme et femme, ce qui confirme la conception traditionnelle du genre acceptée par la communauté internationale. (par Lauren Funk)

Les représentants des États à l’ONU ont reçu des exemplaires de ces recherches, à un moment où les débats sur « l’identité de genre » font rage : les Etats membres se sont engagés cette semaine à voter sur cette question contentieuse au Conseil des Droits de l’Homme, et ils se préparent au conflit sur la question de l’orientation sexuelle et l’identité de genre cet automne, à l’Assemblée Générale de l’ONU.

« La psychopathologie des opérations chirurgicales de changement de sexe », un article de Richard Fitzgibbons, Phillip Sutton et Dale O’Leary qui a été l’objet d’un réexamen par des experts, remet en question les implications médicales et éthiques des interventions opératoires de changement de sexe (SRS). Les auteurs se basent sur une perspective médicale et biologique selon laquelle le genre humain est un composé génétique, et expliquent que « l’identité sexuelle est inscrite sur chaque cellule du corps et peut être déterminée par test ADN. Cela ne peut pas être changé. »

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Gender : la folie s’empare d’une école maternelle en Suède

Cet extrait d’un article de gentside.com image parfaitement l’absurdité de la théorie du gender et nous laisse entrevoir quel futur réserve la république maçonnique à nos enfants. Faire de l’homme un androgyne sans identité, pour atteindre une plus « parfaite » égalité. Une égalité qui nous sera imposée, au mépris de la réalité et de la vraie liberté (capacité à se mouvoir dans le bien).

L’école maternelle « Egalia » à Stockholm, en Suède, tente de lutter contre les clichés qui différencient filles et garçons. Pour éviter au maximum de tomber dans les stéréotypes, le personnel éducatif a tout vérifié. Du choix des livres à la décoration, en passant par les jouets, tout est fait pour ne pas créer de différences notoires entre les deux sexes. D’ailleurs, les enfants sont appelés des amis, et les professeurs évitent au maximum les mots « il » et « elle ». Les sujets abordés avec les enfants parcourent également tous les thèmes. De nombreux livres de leur bibliothèque parlent de l’homosexualité, de l’adoption ou du divorce. Aussi, lorsqu’un plombier, un électricien ou autre vient à l’école, il est appelé par les enfants et leurs professeurs « une poule », afin de ne pas se focaliser sur le sexe de la personne.

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Les ravages de l’idéologie du genre (gender)

Au Canada, un couple a décidé de ne pas révéler le sexe de leur enfant, pour lutter contre les prétendues contraintes de notre société.

« Parce que nous vivons dans une société pleine de contraintes et que nous chérissons la liberté, nous avons décidé de ne pas révéler le sexe de Storm pour l’instant. […] Si vous voulez réellement connaitre quelqu’un, vous ne demandez pas ce qu’il y a entre ses jambes. »

Plus grave, ce couple refuse de donner à leurs enfants une éducation normale, en niant systématiquement les différences des sexes. Ce afin qu’ils « choisissent librement » ce qu’il veut devenir : masculin ou féminin. Leur fils aîné, Jazz, 5 ans, aime porter des robes roses et garder des cheveux longs.

On suppose que si leur fils devait, à 15 ans, rentrer  à quatre heures du matin d’une orgie sexuelle en leur demandant de l’argent pour acheter sa dose d’héroïne quotidienne que ses passes dans les toilettes de l’école ne lui suffisent pas à payer, ils sauteraient de joie devant tant de choix librement effectués…

Source

Aux fous ! La théorie du « gender » dans les manuels scolaires !

La « théorie du gender [genre, en français] » est une élucubration idéologique née il y a quelques décennies, et qui prétend que masculinité et féminité ne sont que des constructions sociales, auxquelles il faut donc s’attaquer, en niant les spécifités et différences sexuelles qui permettent une nécessaire complémentarité (plus de détails sur cette « théorie » dans cette émission).

Ce délire idéologique et ses corollaires font désormais partie des manuels scolaires destinés aux lycéens !
Le Système, actuellement représenté par l’UMP, nous prépare une société de gens très mal dans leur peau…

Plus d’informations dans ce texte de Pierre-Olivier Arduin.

Inscrite officiellement dans les nouveaux programmes de SVT de Première (S, L et ES), la doctrine du gender fera désormais partie de l’enseignement obligatoire des lycées français à partir de la rentrée 2011

Le gender nie la complémentarité naturelle entre les sexes
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