On croit trop facilement avoir touché le fond… C’est dans le plus récent numéro du doyen des hebdomadaires des Etats-Unis, The Nation, fondé en 1865 pour combattre l’esclavage, que l’on peut trouver un article évoquant la revendication étrange qui demande que l’avortement ne soit plus présenté un droit des femmes. L’avortement, dit cette étonnante théorie, peut intéresser les hommes : les hommes transgenre par exemple, et encore des personnes qui ne se conforment pas à leur genre d’origine.
Pendant la plus grande partie de l’histoire, reconnaissent ses tenants, ce sont les femmes et les jeunes filles qui avortaient. « Plus maintenant. Les gens avortent. Ce sont des patients qui avortent. Il y a des hommes qui avortent. » Prétendre le contraire, c’est faire preuve de cissexisme : ce nouveau préjugé discriminatoire qui affecte les institutions et la société qui favorisent « les individus qui s’identient au genre qui leur a été assigné à la naissance (cisgenres), au détriment des individus s’identifiant à un genre autre que celui assigné à la naissance (trans) ».
Attention, ce n’est pas de la transphobie, concept bien trop étroit pour dénoncer les micro-agressions et l’invisibilité structurelle dont sont victimes les personnes trans, et qui se traduisent par les « privilèges » que se réserve la « majorité transgenre ». (Je cite, évidemment.)
Il est donc urgent de cesser de parler de la « guerre contre les femmes » menée par les opposants à l’avortement, assurent quelques féministes activistes.
Continuer la lecture de « Idéologie du genre : et maintenant, l’avortement pour les hommes ! »






Le Monde fait la
Article lu sur
De nouveaux travaux de recherche réaffirment que le genre a pour origine la différence biologique entre homme et femme, ce qui confirme la conception traditionnelle du genre acceptée par la communauté internationale. (par Lauren Funk)
Cet extrait d’un article de gentside.com image parfaitement l’absurdité de la théorie du gender et nous laisse entrevoir quel futur réserve la république maçonnique à nos enfants. Faire de l’homme un androgyne sans identité, pour atteindre une plus « parfaite » égalité. Une égalité qui nous sera imposée, au mépris de la réalité et de la vraie liberté (capacité à se mouvoir dans le bien).