Résultats du premier tour : l’indécente fête des banksters

Les élections du premier tour ont placé Emmanuel Macron en tête. Puisque tous les candidats, et évidemment Macron, ne jurent que par la démocratie, le respect pour elle devrait conduire à attendre les résultats finals (ceux du second tour) pour crier victoire. C’est ce que n’a pas fait Macron, qui a fêté les résultats avec une incroyable indécence, comme s’il avait été élu. Le dicton populaire, plein de bon sens « Ne pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué », ce n’est pas pour lui ! Mais il est vrai qu’il est banquier et que les banques s’affranchissent des principes de prudence, car si elles perdent, elles font supporter par les autres leurs échecs comme on l’a vu lors de la crise de 2008, tandis qu’elles se montrent du pire égoïsme quand elles ont des gains. « Face je gagne, pile tu perds », tel est le jeu que les banquiers proposent sans discontinuer et les Français semblent en redemander, car il est incontestable que la victoire de Macron n’est pas la leur. Ce n’est pas un hasard si le CAC 40 (c’est à dire le cours de bourse des principales entreprises mondialistes cotées en France) a connu une très forte croissance ce lundi (+ 4 %) : leur candidat a gagné. Et à la tête de ce palmarès ? Voici le podium :
1er : Crédit agricole : + 10, 8 %, 2ème : Société générale : + 9,9 %, et troisième : BNP Paribas : +7,5 % ! Les banksters, eux aussi, ont fêté leur victoire de la manière la plus indécente qu’il soit !

Le FN publie les lettres de refus des banques françaises

Front National

Depuis quelques jours, il était de bon ton de s’offusquer de l’argent emprunté par le Front National à la Russie, alors même que Marine le Pen affirmait n’avoir pas eu le choix après le refus des banques française de prêter de l’argent à son parti politique…

Personne ne voulait évidemment le croire, aucun journaliste d’investigation, aucun « décodeur » pour aller fouiller et chercher les preuves pour accabler ou dédouaner le Front National… Mais le parti l’a fait tout seul, et vient de publier les lettres de refus des banques françaises.

On n’apprend notamment que la BNP avait refusé, le 11 juillet 2013, d’accorder un prêt de 5 millions d’euros au Front National au motif que « notre politique de crédit ne nous permet pas de répondre favorablement à une telle demande en faveur d’un parti politique ».

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Flicage et nouvelles technologies

Alors que l’ONU préconise de stocker l’ensemble des données issues des réseaux sociaux (Facebook, twitter, youtube etc..), des logiciels de messagerie instantanée, des logiciels de Voip (ex :Skype) prenant comme prétexte la lutte contre le terrorisme, en France un test sera mené pour payer ses achats avec un doigt (empreinte digitale).
En plus de la dangerosité de laisser nos empreintes à des banques (quel monde de fous!),  il y a la volonté de dématérialiser la monnaie afin de pousser les citoyens à l’achat compulsif.

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Grèce: 700M€ retirés des banques en une journée

Lu sur Le Figaro :
Les retraits d’argent dans les banques grecques ont atteint 700 millions d’euros hier, a indiqué le président de la République Carolos Papoulias aux chefs des partis politiques grecs qu’il a reçus, selon les actes publiés aujourd’hui sur le site de la présidence.
« Lors d’un entretien téléphonique avec le gouverneur de la Banque de Grèce, Georges Provopoulos, ce dernier m’a informé que la situation des banques était très difficile » et « que le système bancaire était actuellement très faible ».
« Les retraits ont atteint la somme de 700 millions d’euros jusqu’à 16 heures lundi (13 heures GMT) », a déclaré Carolos Papoulias, estimant par ailleurs que « la situation » serait « pire au cours des deux prochains jours ».
« M. Provopoulos a dit qu’il n’y avait pas de panique mais qu’il y avait une grande inquiétude qui pourrait se transformer en panique », a ajouté Carolos Papoulias.

Bientôt un fichier d’empreintes digitales pour les banques ?

Une banque japonaise a décidé de déployer les premiers distributeurs de billets qui fonctionnent grâce aux empreintes digitales des clients.

Est-ce une première qui arrivera un jour en France ? Au Japon, la banque régionale Ogaki Kyoritsu fait savoir qu’elle va déployer à partir du mois de septembre les premiers distributeurs de billets qui fonctionnent sans avoir besoin d’utiliser une carte ou un livret bancaire. L’appareil sera doté d’une technologie de reconnaissance des empreintes digitales fournie par Fujitsu.

« La technologie fonctionne en cartographiant et en identifiant le schéma unique des veines sur la paume de l’utilisateur. Bien que des scanners biométriques sont déjà utilisés dans certaines banques japonaises, ils ne permettent pas aux utilisateurs de s’identifier avec cette seule méthode« , indique The Register.

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Loi Pompidou-Rothschild, pouvoir bancaire et dette publique

Dans cette petite video, le professeur Etienne Chouard explique de façon assez claire comment les Etats se retrouvent asservis à la Finance.

Le journal du Système, Le Monde, est monté au créneau pour contrer Chouard, mais sans parvenir à être convaincant. Résumé de la controverse ici.

L’ex-PDG de la Société générale veut nous punir d’avoir trop dépensé ? Un comble !

« Dans un édifiant article, NouvelObs.com publie la lettre que l’ancien PDG de la Société générale, Daniel Bouton, a envoyée en février à Valéry Giscard d’Estaing, qui présidait une commission sur l’avenir de l’hôtel de la Marine, place de la Concorde.
S’il a la bonne idée de s’opposer à la vente de ce joyau de notre patrimoine national, il propose d’en priver les Français, et de le louer pendant quelques années. Son argument ? Donner une leçon aux Français.

« Je me permets de souligner la vertu pédagogique […] d’une proposition reconnaissant la nécessité pour ma génération qui a été beaucoup trop cigale, mais aussi, hélas pour la génération suivante de se priver pendant plusieurs décennies de certains de ces immeubles comme l’hôtel de la Marine.
Le bail de longue durée ne serait que la reconnaissance de la situation misérable de nos finances publiques. »

Le bilan du donneur de leçon
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Blythe Masters

Tel est le nom de « la banquière de la JP Morgan à l’origine de la crise mondiale. »
Le journaliste Pierre Jovanovic a écrit un livre sur cette femme de grande influence, sous-titré « Ce qu’elle a fait, ce qu’elle va faire… »
On peut commander l’ouvrage en ligne ici.

Dans les 2 videos ci-dessous, l’auteur présente le livre. Dans la 3e il s’étend davantage sur le sujet au cours d’un entretien avec Claude Reichman.

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C’était un 19 septembre… (bis)

1812 : mort de Meyer Amschel Rothschild à Francfort.
Il fut le fondateur de la dynastie banquière du même nom. Pour le magazine américain Forbes, il est le « père de la finance internationale ».

Il est né Mayer Amschel Bauer le 23 février 1744 dans le ghetto juif de Francfort-sur-le-Main dans l’ouest de l’Allemagne, fils de Moses Amschel Bauer. Il changea son nom en Rothschild (que l’on peut traduire en français par bouclier ou écusson rouge), en référence au bouclier rouge, symbole de la maison familiale puis devenu celui de la banque et du commerce de prêt sur gage créés par son père Moses.

Destiné à devenir rabbin, il entra chez un banquier de Hanovre où il se constitua un petit capital qui lui permis de s’installer comme prêteur et changeur à Francfort.
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A peine nommée, Lagarde est prise dans la tourmente judiciaire

La très mondialiste Christine Lagarde, ancien ministre de l’Economie et nouvelle directrice du Fonds monétaire international, va être l’objet d’une enquête, sur décision de la Cour de Justice de la République. Et ce pour «complicité de détournement de biens publics et complicité de faux» dans le règlement de l’affaire Tapie.
Cet homme de gauche avait palpé quelques 400 millions d’euros (!) du Crédit Lyonnais et de l’Etat, suite à un jugement du Tribunal arbitral (instance privée) devant lequel Lagarde avait envoyé l’affairiste pour résoudre un conflit avec cette banque. Une décision polémique qui la rattrape maintenant mais qui ne devrait pas l’empêcher de nuire à la tête de l’instance bancaire mondialiste, l’enquête devant prendre plusieurs années.