A peine nommée, Lagarde est prise dans la tourmente judiciaire

La très mondialiste Christine Lagarde, ancien ministre de l’Economie et nouvelle directrice du Fonds monétaire international, va être l’objet d’une enquête, sur décision de la Cour de Justice de la République. Et ce pour «complicité de détournement de biens publics et complicité de faux» dans le règlement de l’affaire Tapie.
Cet homme de gauche avait palpé quelques 400 millions d’euros (!) du Crédit Lyonnais et de l’Etat, suite à un jugement du Tribunal arbitral (instance privée) devant lequel Lagarde avait envoyé l’affairiste pour résoudre un conflit avec cette banque. Une décision polémique qui la rattrape maintenant mais qui ne devrait pas l’empêcher de nuire à la tête de l’instance bancaire mondialiste, l’enquête devant prendre plusieurs années.

Les eurodéputés se gavaient

Lu sur Rue89 :

Le Parlement européen a finalement mis en ligne un rapport qu’il tentait d’étouffer depuis trois ans. On comprend qu’il n’ait pas été pressé de le rendre public : on y découvre que des députés européens ont tranquillement détourné les fonds publics destinés à payer leurs assistants.

Pour justifier son peu d’empressement, le bureau de l’assemblée souligne dans un communiqué que ce n’est qu’une vieille histoire, l’audit ayant révélé ces fraudes portait sur 2004 et 2005. Le rapport a été remis en 2008. Et en 2009, l’adoption de nouvelles règles internes a mis fin à ces détournements.

Cette vieille histoire doit pourtant être bien embarrassante. Le rapport avait déjà largement fuité, sur WikiLeaks ou des sites comme Euractiv, mais il a fallu que la Cour de justice européenne intervienne, début juin, pour qu’il soit enfin publié officiellement.

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L’affaire Sentier II en délibéré au 2 février

Mais bien sûr, parler de « mafia juive » serait antisémite.

« C’est le 2 février seulement que la cour d’appel de Paris rendra son verdict dans l’immense affaire d’escroquerie dite Sentier II, du nom de ce quartier occupé de la capitale française. Depuis la France et vers Israël près de 200 personnes au moins (parmi celles qui ont été identifiées) avaient mis en place un réseau de blanchiment d’argent et de détournements massifs de fonds.

Seules 9 personnes avaient fait appel, dont plusieurs réfugiées en Israël, qui refuse de les livrer.

L’avocat général a requis globalement des peines supérieures à celles infligées en première instance, allant de 6 ans de prison à seulement quelques dizaines de milliers de francs d’amende. »

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