C’était un 18 avril…

850 : martyre de Saint Parfait de Cordoue.
Victime du pseudo modèle de tolérance de l’Andalousie islamisée. Voir détails ici.

1781 : bataille de Porto Praya, victoire navale française.

Description de cette image, également commentée ci-après

Dans le cadre de la guerre d’indépendance de l’Amérique, près des îles du Cap-Vert, les Français obtiennent une victoire stratégique sur les Anglais car le Bailli de Suffren arriva au Cap de Bonne Espérance avant l’anglais Johnstone et renforça ainsi la garnison hollandaise, avec 500 soldats français, avant de continuer la route vers l’Île de France. Cela lui permit de maintenir ouverte la route de l’Océan indien. Ce succès valut aussi à Suffren d’être fait chef d’escadre, titre qui lui avait été refusé l’année précédente.

• 1904 : premier numéro du journal socialiste (et plus tard organe officieux du Parti communiste « français ») L’Humanité, né par l’argent de la haute finance cosmopolite.
Henry Coston note dans son Dictionnaire de la Politique fran­çaise (tome I) que Jaurès et ses amis avaient rendu service aux amis du capitaine Dreyfus ; à leur tour, les dreyfusistes fortunés lui rendirent service. Emile Cahen l’expliquait en ces termes dans Les Archives israélites (11 octobre 1906, page 324) : « Les grands services rendus à la cause de la justice et de la vérité [sic ; allusion à l’affaire Dreyfus – NDLR] par M. Jaurès lui ont créé des titres indiscutables à la reconnaissance de tous les Israé­lites français. Ce sont eux qui, en très grande partie, l’avaient, il faut bien le dire, aidé à fonder son journal. »
Le journal de Gustave Hervé, La Guerre Sociale, hebdomadaire de la fraction la plus révolutionnaire du Parti socialiste SFIO, révéla, dans son numéro du 16 novembre 1910, que le futur organe central du PCF avait été fondé grâce aux subsides de riches ban­quiers. Aucun démenti ne vint infirmer ces révélations qui firent grand bruit, à l’époque, dans les milieux socialistes, et pour cause.
Il est démontré aujourd’hui que si la moitié des actions de la Société du journal L’Humanité, créée en 1904, fut bien remise Jaurès à titre d’apport, les 400 000 francs réellement versés l’ont été par des personnages qui, à deux ou trois exceptions près, n’avaient rien de commun avec la classe ouvrière. Voici, en effet, la liste des premiers et principaux souscripteurs : Lévy Bruhl : 1 000 actions ; Picard, dit Le Pic : 1 000 actions ; Jaurès et quelques amis : 204 actions ; Javal : 200 actions ; Rouff : 180 actions ; Salomon Reinach : 120 actions […].
Quelque temps après, le banquier Louis-Dreyfus apportait, à son tour, 20 000 francs.
La première Humanité, grevée dès l’origine de charges exces­sives, fut bientôt à bout de souffle. La création d’une nou­velle société chargée d’éditer le quotidien socialiste fut décidée. Ce fut la Société Nouvelle du journal L’Humanité, au capital de 125 000 francs.
Aux anciens actionnaires s’ajoutèrent de nouveaux souscripteurs : J. Clément: 10 000 francs ; Hoyer: 1250 francs; Vaillant: 1 000 francs ; Poisson : 1000 francs ; Léon Blum : 1 000 francs ; diverses organisations ouvrières : 5 875 francs ; Achille Rosnoblet : 28 000 francs ; Mme Hélène Rosnoblet : 25 000 francs. Les deux derniers souscripteurs fournissaient donc à eux seuls les 2/5 du capi­tal. On devait apprendre par la suite que les Rosnoblet n’étaient que les prête-noms des Rothschild. (source)

1909: béatification de Jeanne d’Arc

De 1841 à 1849, l’archiviste Jules Quicherat, élève de Michelet, publie les volumineux comptes-rendus du procès de Jeanne d’Arc. Ils mettent à jour la grandeur d’âme et la foi simple et solide de la jeune paysanne. Celle-ci n’est plus seulement perçue comme une héroïne nationale et une résistante mais aussi comme une authentique sainte.

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C’était un 18 avril : le martyre de saint Parfait, ou la tolérance d’Al Andalus…

Parfait de Cordoue, en latin Perfectus, était un prêtre chrétien de Cordoue, en Espagne, qui fut décapité par les musulmans le 18 avril 850, jour de Pâques, pour avoir refusé de retirer ses propos sur Mahomet.
Plusieurs autres chrétiens sont aussi massacrés par les autorités musulmanes d’Al-Andalus.
Il est considéré comme l’un des plus grands martyrs de son époque. Son supplice, enregistré par saint Euloge, figure dans le Memoriale sanctorum.
On est loin du mythe de l’« Al Andalus » havre de paix et de tolérance bâti par les islamistes ou les partisans du multiculturalisme.

Parfait était né à Cordoue, quand la région était sous le contrôle des Maures du califat omeyyade.
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« Pange Lingua » : chant pour le Jeudi saint

La Cène (cliquer sur l’image pour l’acquérir en carte postale).

Pange Lingua : ce chant écrit par Saint Thomas d’Aquin correspond particulièrement au Jeudi Saint, car il exalte le sacrement de l’Eucharistie institué par le Christ lors de la Cène.


Paroles :
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C’était un 17 avril : les Khmers rouges prenaient Phnom Penh sous les applaudissements de la gauche

et allaient massacrer près de la moitié de sa population…

C’est le 17 avril 1975 que la capitale du Cambodge tomba aux mains des maquisards du Front uni national du Kampuchéa (FUNK). L’entrée de l’armée révolutionnaire fut acclamée par des dizaines de milliers d’intellectuels, de journalistes, de politiciens et de philosophes occidentaux qui se réjouissaient de la chute du gouvernement Lon Nol.

Après avoir célébré la chute de Dien Bien Phu et l’abandon de l’Algérie aux terroristes du FLN, les intellectuels et journalistes français vont une fois de plus se distinguer dans l’innommable, comme l’illustrent les unes exposées ci-dessous. L’envoyé spécial du Monde évoquait, lui, l’« enthousiasme populaire » lors de l’entrée des Khmers rouges à Phnom Penh.

Dès cet instant, le Cambodge bascule dans les ténèbres d’un enfer pensé, analysé, planifié et exécuté par l’Angkar – organisation socialo-marxiste – dominée par les Khmers rouges.

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C’était un 16 avril…

1860 : selon les termes du traité de Turin du 24 mars 1860, un plébiscite est organisé à Nice. Par 25 743 « oui » contre 160 « non », les habitants décident le rattachement de leur ville (possession du royaume de Savoie) à la France.

1936 : dans Candide, l’historien Pierre Gaxotte écrit ces lignes qui n’ont pas pris une ride : « le régime que connaît la France est essentiellement ploutocratique. Tous ceux qu’on appelle des fascistes n’ont jamais demandé que l’écrasement des puissances d’argent et des grands trusts. »

1973 : attentat gauchiste dans une banlieue populaire de Rome, au domicile d’un responsable nationaliste du MSI – Destra nazionale. Ses deux enfants, âgés de 7 et 16 ans, périssent brûlés vifs.

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15 avril 1450 : la bataille de Formigny

Le 15 avril 1450, le roi Charles VII dépêche le comte Jean de Clermont et l’amiral de Coëtivy vers le Cotentin car une armée anglaise de trois mille hommes a débarqué à Cherbourg, sous le commandement de Thomas Kyriel, pour tenter de secourir les dernières places anglaises de Normandie. La confrontation se produit à Formigny, près de Bayeux.

En attendant le renfort du connétable Arthur de Richemont, Clermont fait avancer son artillerie à portée de tir des Anglais. Ses couleuvrines font des ravages dans les rangs ennemis mais finissent par être capturées. Clermont se résigne alors à engager son infanterie pour tenter de les récupérer. C’est alors que les 1 500 Bretons de Richemont surgissent opportunément sur le flanc gauche des Anglais et les mettent en fuite. Dans la poursuite, les Français se font une joie de massacrer les archers gallois haïs et redoutés.

Côté anglais : 3800 morts et 1200 prisonniers. Côté français : seulement 12 morts !

Avec cette victoire, qui vaut au roi de France le surnom de « Victorieux », la guerre de Cent Ans touche à sa fin et la Normandie est rattachée au royaume des lys…

Saisi par la Fédération ardéchoise et drômoise de la Libre pensée (haineuse association de dinosaures gauchistes et francs-maçons), le tribunal administratif de Lyon a annulé, a posteriori, la célébration de la Sainte-Geneviève du 30 novembre 2022 à Privas, au motif qu’elle « méconnaît le principe de laïcité ».

Organisée le 30 novembre 2022 à Privas, la célébration de la sainte patronne de la Gendarmerie comportait un office religieux à l’église Saint-Thomas de Privas puis d’un vin d’honneur à la salle des fêtes du Champ-de-Mars en présence des militaires du groupement, en tenue et sur leur temps de service et des autorités civiles et militaires. Bref, une Sainte-Geneviève comme il y en a depuis près d’un siècle dans toute la France.

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C’était un… 14 avril

Le duc d’Enghien à la fin de la bataille de Cérisoles

1544 : bataille de Cérisoles, en Italie, gagnée par les troupes françaises de François Ier, menées par le duc d’Enghien. Cette victoire n’eut point de suite, parce que le roi fut obligé d’affaiblir son armée pour s’opposer aux entreprises du roi d’Angleterre et de l’empereur, dont l’un était entré en Picardie et l’autre en Champagne.

1701 : Philippe V, petit-fils de Louis XIV, appelé en 1700 au trône d’Espagne par le testament de Charles II, fait son entrée à Madrid.

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13 avril 1436 : prise de Paris par Arthur de Richemond. Une ancienne fête nationale oubliée !

prise-de-parisL’armée anglaise dans Paris compte environ 3 000 hommes et est soutenue par l’université de Paris. 2000 routiers et écorcheurs la renforcent. La garnison attend également un renfort de 3 000 Anglais.

L’armée française est dispersée et, seul contre presque tous, le connétable Arthur III de Richemont, duc de Bretagne, soutenu par d’anciens compagnons de la Pucelle d’Orléans tels La Hire, Jehan de Dunois, cousin naturel du Roi, Jehan de Brosse Maréchal de Sainte-Sévère et Jehan Poton de Xaintrailles conduit une armée de 5000 Bretons pour reconquérir Paris.

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Cet aspect effarant de l’attentat de Nice trop méconnu ou oublié

La soirée cauchemardesque a té filmée par les caméras de surveillance.

Le 14 juillet 2016, un Arabe fonçait volontairement sur la foule au volant d’un camion, à Nice, tuant 86 personnes et en blessant près de 500…

Mais l’attitude d’autres personnes, juste après cette attaque terroriste, mérite d’être soulignée et rappelée.
Des personnes – dont tout le monde se doute qu’elles ne sont pas françaises – ont, juste après ce massacre, pillé les cadavres encore chauds.

« Comme l’ont rapporté nos confrères de Nice-Matin à travers plusieurs témoignages, pendant que les secours s’occupaient des corps et des blessés des  » charognards » tentaient de dépouiller les corps inertes :  « Le soir du 14-Juillet. Nadia, Daniel et Ludovic, membres de l’Union nationale des parachutistes, racontent une nuit en enfer. Une nuit à veiller les morts et à protéger les vivants » raconte le journaliste, avant de livrer le récit de l’un des témoins sur place :  » Le pire c’était les charognards. Des gens tournaient autour des cadavres. Ils soulevaient les corps avec les pieds…Ils sont venus comme des mouches ».

Ces hommes sans honneur et sans vertu s’en prennent même aux corps des enfants : « Il ne lui restait que sa poupée. Une poupée rose à côté d’elle. Un gars est arrivé et a pris la poupée, je me suis battu pour la reprendre ». Alors Nadia présente à ce moment-là intervient : « J’ai pris la petite poupée et je l’ai glissé sous la couverture de survie, tout contre elle, pour qu’elle reste avec elle ». » 

Daniel quant à lui explique s’être battu plusieurs fois avec un homme qui volait un portable sur un corps :  » « Je lui ai dit, lâche ça. Ils sont arrivés à cinq. Ils ont fait tomber mon béret et ils ont pris le portable. Je n’avais pas peur, j’étais dans une colère ». 

Consternés et sous le choc, ils évoquent même « les gens qui venaient voir, parfois avec leurs enfants ». » (source)

 

« De ce cauchemar éveillé, beaucoup ont gardé une image tout droit venue de l’enfer : des charognards qui, sur les cadavres encore chauds, ont fouillé les poches, pillé les sacs. »

« Sophie reste hantée par les sourires glaçants de gamins réjouis par ce spectacle de désolation. « Ils étaient morts de rire » » (source)

En France, les Français vivent ainsi aux côtés de nombreux psychopathes – dépourvus non seulement de morale mais d’humanité – qui n’attendent que l’occasion de se réjouir de leur malheur, sinon de le provoquer directement…

Incendie d’un centre de tri à Paris : pas de toxicité…

Il y a quelques jours un très important incendie attirait l’attention des Français vers Paris :

« Le bâtiment est complètement ravagé. Un centre de déchets dans le nord-ouest de Paris, à proximité du palais de justice, a pris feu un peu avant 20 heures lundi 7 avril, sans faire de blessés. L’incendie s’est déclaré dans les locaux du Syctom, le service public de traitement et de valorisation des déchets ménagers de 82 communes de la région parisienne. Plus précisément, les flammes ont démarré dans une zone de stockage intermédiaire de papiers et cartons, mais l’origine du sinistre reste à confirmer, précise un communiqué de presse du Syctom. » (source)

Mais dans la foulée, on entend que, en ce qui concerne les larges nuages de fumée noire s’élevant pendant des heures :

Face à l’ampleur des volutes de fumées noires qui ont survolé la capitale, le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, a assuré ce mardi 8 avril sur France 2 qu’il «n’y a pas de problème de toxicité de l’air», ajoutant y faire «très très attention, évidemment»«Nous avons des protocoles pour pouvoir suivre ce type de situation et prendre toutes les mesures le cas échéant s’il était avéré qu’il y avait une toxicité dans l’air», a de son côté affirmé la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, sur BFM TV. »

Et France Info de poster, avec son orthographe à elle :

Il faudrait savoir…
Si un incendie avec des fumées pareilles ne présente aucune menace pour la santé, peut-être qu’on pourrait lâcher un peu la bride aux Français, en particulier avec leurs feux de bois domestiques ?  Ou avec les voitures ?
A moins qu’on puisse douter de la parole gouvernementale et médiatique sur cet incendie-là ?

Impossible « vivre-ensemble »

On veut imposer aux Français le « vivre-ensemble » avec des gens qui méprisent totalement la notion de vie en société, tel cet énergumène qui s’amuse à bloquer un bus pour son clip débile (exemple parmi des milliers) :

Dimanche des Rameaux – textes et commentaire

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce
dimanche (rite catholique traditionnel), avec commentaire.

La liturgie d’aujourd’hui se compose de deux parties distinctes : l’une empreinte de joie, la procession des rameaux ; l’autre de tristesse, la messe et le chant de la Passion.

INTRODUCTION PUIS COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres)
(il s’agit des commentaires sur la célébration traditionnelle des Rameaux avant 1955) :

« La Messe de ce Dimanche ne retient plus aucune trace de la joie qui éclatait dans la cérémonie des Palmes. L’Introït est extrait du Psaume XXI, dans lequel David exprime les angoisses du Christ sur la croix.

C’était un… 12 avril

1704 : mort, à Paris, de Jacques-Bénigne Bossuet, le plus grand prédicateur du siècle de Louis XIV, le « grand siècle » français.
Ses oraisons funèbres, en particulier celles d’Anne d’Autriche (1667) et du Grand Condé (1687), demeurent des modèles. Théoricien de l’absolutisme, il fut aussi le chef spirituel de l’épiscopat français et défenseur d’un certain gallicanisme.
On pourra lire notamment ses Elévations sur les mystères (méditations) et la vie cachée en Jésus-Christ.

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C’était un 11 avril…

1852 : naissance à Montazels (Aude) d’un des Français les plus mystérieux du demi-siècle, l’abbé Bérenger Saunière, qui passe pour avoir découvert le trésor des Wisigoths, dans la région de Rennes-le-Château. Cet ecclésiastique contre-révolutionnaire se retrouva à la tête d’une colossale fortune, dont l’origine ne fut jamais expliquée et suscita de nombreux fantasmes.

1950 : le colonel Rémy, résistant authentique et parmi les plus connus pendant la 2e Guerre, s’élève dans l’hebdomadaire Carrefour, sous le titre « la justice ou l’opprobre » contre le maintien en forteresse de Philippe Pétain (94 ans), maréchal traité de manière honteuse et inhumaine, et prône sa réhabilitation. Il expose la notion du bouclier (Pétain) et de l’épée (De Gaulle), affirmant qu’il s’agit de la même France. Il adhèrera à l’association pour la défense du Maréchal Pétain (ADMP) afin que justice soit enfin rendue. Début de « l’affaire Rémy », qui sera persécuté par les gaullistes, ses anciens compagnons.

1970 : mort de l’écrivain nationaliste Henri Massis, critique littéraire, essayiste politique et historien de la littérature, auteur de Défense de l’Occident (1927) ou encore Maurras et notre temps (1961). Il était membre de l’Académie française depuis 1960. On peut acquérir certains de ses livres ici.