Nationalisme en Pologne : 100 000 manifestants radicaux

Le Renouveau français livre son témoignage après avoir envoyé une délégation pour la manifestation nationaliste annuelle à Varsovie :

« A l’invitation du Młodzież Wszechpolska, « Mouvement de jeunesse de toutes les Polognes », co-organisateur de la « Marche de l’indépendance », défilé nationaliste annuel dans la capitale polonaise, une délégation du Renouveau français s’est rendue à Varsovie le week-end du 11 novembre.

Plus de 100 000 personnes, familles, hommes et femmes, jeunes et moins jeunes, se sont rassemblées en plein cœur de la ville pour manifester leur patriotisme en ce dimanche 11 novembre, fête de l’indépendance nationale.

De nombreuses délégations de mouvements nationalistes européens étaient présentes pour cette manifestation, la plus grande d’Europe.
Le Renouveau français y était présent et a entretenu ses excellentes relations avec des mouvements qui comptent, dont le Młodzież Wszechpolska en Pologne et le Jobbik de Hongrie.

Vive l’Europe des nationalismes!

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Israël au comble de l’horreur…

Le Dr Ibrahim Khaled est un médecin égyptien de Gaza. Membre de la délégation médicale égyptienne dans la bande de Gaza, spécialiste en orthopédie, le chirurgien affirme qu’Israël utilise désormais une arme, nouvellement inventée, qui provoque la décomposition du corps humain. Il explique en effet que les hémorragies importantes des vaisseaux sanguins, dans le corps de  certains blessés, sont provoquées par l’utilisation de la force « Dime » : ce seraient de petites granules qui pénètreraient dans le corps et le décomposeraient, rendant l’amputation nécessaire.

Les hommes sont devenus fous : la technique n’est plus désormais subordonnée au progrès moral, mais à la destruction de l’homme. La guerre peut certes justifier l’utilisation d’armes dans le but de mettre hors d’état de nuire l’injuste agresseur, mais de manière proportionnée : ici, l’arme en question provoque d’inutile souffrances prolongées, et diminue la personne humaine. Dans le domaine de  l’horreur, Israël n’est pas en peine…

Joies de la société multiraciale : un cas anglais

C’est la video qui fait parler d’elle actuellement outre-manche.

Ce 13 novembre, un étranger agresse de façon extrêmement violente et sans raison apparente une jeune femme de 16 ans dans la rue, après l’avoir suivie depuis sa maison sur 500 m.

Le soutien officiel de Paris à l’opposition syrienne

Les différentes branches de l’opposition syrienne se sont accordées, à Doha, sur la mise en place d’une nouvelle instance représentative qui devrait favoriser la chute de Bachar al Assad. Dimanche, Paris a salué cette démarche : « Cet accord constitue une étape majeure dans le processus indispensable d’unification de l’opposition syrienne. La France lui apporte son plein soutien afin que cette coalition puisse constituer une alternative crédible au régime de Bachar al Assad » a déclaré, dans un communiqué, le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, chef de la diplomatie française.

« La France est disposée à apporter, en liaison étroite avec cette nouvelle coalition, une assistance accrue au peuple syrien, notamment dans le cadre du soutien qu’elle fournit depuis plusieurs mois aux conseils révolutionnaires civils« , estime-t-il avant de conclure : « La France, qui reconnaît le droit pour le peuple syrien à se défendre contre les agressions du régime criminel de Damas, forme le voeu que cette coalition puisse être rapidement confortée en bénéficiant de l’appui le plus large possible des Syriens comme de la communauté internationale. »

Bref, la France poursuit sa politique d’ingérence, en imposant sa grille de lecture idéologique aux peuples du monde entier. Comme un sentiment de relan colonial… Le chef de la diplomatie française ferait mieux d’user du ressort qui est précisément le sien, à savoir la diplomatie : plutôt que d’encourager imprudemment la guerre sans se soucier de l’incidence qu’elle aura sur la stabilité du Moyen-Orient, en ignorant la subtilité des rapports de forces et en négligeant  les enjeux géopolitiques en présence. Le manichéisme du gouvernement, qui écrit l’histoire du Moyen-Orient en noir et blanc, avec les lunettes de l’occident, ne peut que laisser présager le pire. Il n’a manifestement tiré aucune leçon de l’épisode en Lybie…

Shoatisme : Poutine s’y colle

Le président israélien, Shimon Peres, a inauguré jeudi à Moscou un « Musée juif et Centre de la tolérance » (sic) qui retrace l’histoire des Juifs en Russie de l’époque tsariste à aujourd’hui en passant par la période de l’« Holocauste ».
De son côté, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a lu une déclaration du président Vladimir Poutine dans laquelle celui-ci dit notamment que « toute tentative de réviser la contribution de notre pays à la victoire dans la Deuxième guerre mondiale, ou de négation de l’Holocauste, est non seulement un mensonge cynique mais un oubli de l’histoire ».
A la différence d’un Ahmadinejad et contrairement à certaines idées reçues dans la droite nationale française, Poutine, qui s’y connait en cynisme (soviétique), est non seulement un croyant, mais aussi à ses heures perdues un inquisiteur de la religion shoatique.

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Un enfant tué par un couple de lesbiennes, car il ne voulait pas appeler l’une d’elles « papa »

Engeline De Nysschen, reconnue coupable par le tribunal.

C’est une histoire horrible, qui s’est déroulée en Afrique du Sud en 2006, mais qui se produira probablement bientôt en France, vu le vent de folie qui souffle sur le pays.

Après que les parents du petit Jandre Botha ont divorcé, sa mère obtint sa garde auprès d’un tribunal.
Puis, elle se mit en « couple » avec une femme…

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Au bout d’un moment, celle-ci ne supporta pas que le petit garçon de 4 ans refuse de l’appeler « papa », malgré ses injonctions.

Elle finit par battre le petit, sans que sa mère ne réagisse ni ne proteste, jusqu’à ce que mort s’en suive.

Les deux mégères tentèrent sans succès de faire croire que le garçonnet avait glissé dans sa baignoire.

Mais les médecins comprirent vite que cette version n’était pas crédible, au vu des terribles blessures subies par l’enfant : fracture du crâne et lésions cérébrales, jambes, clavicules, mains et bassin cassés…

Source

Décès de Pino Rauti

Nous apprenons le décès de Pino Rauti, personnalité célèbre du nationalisme italien et admirateur affiché du Duce, à l’âge de 86 ans.

Vice-secrétaire général, à partir de 1979, du Mouvement social italien, il en devient brièvement président avant de le quitter en 1995 : le MSI (rebaptisé Alliance nationale) ayant effectué un recentrage politique sous la houlette du renégat Gianfranco Fini.

Rauti fonde alors son propre parti, le MSI-Fiamma Tricolore, sous l’étiquette duquel il sera élu député européen en 1999.


Pino Rauti devant la flamme tricolore du MSI, que copiera le FN français.

Nétanyahou « satisfait » de son homme de main Hollande

Après sa visite en France, le premier ministre israélien Benjamin Nétanyahou a, selon son entourage, trouvé Hollande «exceptionnellement ouvert et réceptif» et «prêt à écouter» (ses ordres ?).

« La «continuité» entre Nicolas Sarkozy et François Hollande, sur les deux questions prioritaires de la lutte contre l’antisémitisme et du dossier nucléaire iranien a été particulièrement appréciée par le chef du gouvernement israélien. » selon Le Figaro, qui reconnait lui-même que les présidents passent, mais l’alignement idéologiquement est le même.

Le deuxième objectif de Nétanyahou était en effet de mobiliser la France dans son combat contre l’Iran. Pour « éviter que l’Iran n’acquière l’arme nucléaire », comme si le fait qu’Israël possède de nombreuses têtes nucléaires n’était pas au moins aussi inquiétant.

C’est sur cette question qu’a porté l’essentiel des entretiens. «Je veux saluer la France pour la fermeté de sa politique à l’égard de l’Iran» [qui se fait au détriment de l’économie française, NDCI] a déclaré publiquement le chef du gouvernement israélien à l’issue de son entretien à l’Élysée, mercredi. Nétanyahou n’a pas précisé ses intentions, mais il a souligné qu’il fallait arrêter l’Iran avant qu’il ne soit trop tard, c’est-à-dire avant que Téhéran ne dispose de suffisamment d’uranium enrichi pour pouvoir fabriquer une bombe. Telle est la «ligne rouge» israélienne. «Nous sommes très près» de ce moment-là, dit-on dans l’entourage du chef de gouvernement. (source)

Alors que trop de Français connaissent la précarité et subissent la criminalité étrangère, la priorité de la République reste (on aurait envie de dire « logiquement ») « la lutte contre l’antisémitisme » et la participation à la ratonnade israélienne contre l’Iran, à qui l’on fait en réalité aussi grief de lâcher régulièrement des « bombes atomiques » sur la version officielle -quoique contestée- de la « Shoah ».

Elections en Ukraine : percée historique des nationalistes

Oleg Tyahnybok, président de Svoboda

[MAJ des résultats, 14h30]

Ce dimanche 28 octobre avaient lieu les élections législatives en Ukraine.
Le gâteau était à partager entre le « Parti des régions » (pro-russe) au pouvoir, et l’opposition pro-occidentale incarnée par Ioulia Timochenko, ancienne premier ministre actuellement emprisonnée.

Dans un contexte de fortes suspicions de fraudes électorales, le parti au pouvoir, dirigé par Viktor Ianoukovitch, raflerait (le dépouillement n’est pas fini) 37% des voix, contre 21% pour le bloc de Timochenko.

Les communistes, alliés de Ianoukovtich, obtiendraient 15 % des voix et un candidat indépendant, l’ancien champion du monde de boxe Vitali Klitschko, 12 %

La surprise vient de la progression remarquable du parti nationaliste Svoboda (« liberté »), qui atteint 8,5 % (contre 0,76 % en 2007) !
Le parti (dont les Français ont pu rencontrer le président Oleg Tyahnybok à plusieurs reprises aux « Congrès nationalistes » organisés par le Renouveau français) a toujours été, jusqu’ici, handicapé lors des scrutins nationaux par le fait que l’Ukraine est comme scindée en deux, entre un Ouest ukrainophone et patriote, et un Est russophone.
Svoboda fait des scores parfois très importants dans l’Ouest du pays, sur lesquels nous reviendrons, mais parvient cette fois-ci à élargir son électorat au centre de l’Ukraine, en ayant réussi à se présenter comme à la pointe du patriotisme et de la lutte contre un régime corrompu.
Les nationalistes font ainsi leur entrée au parlement national pour la première fois, avec une trentaine de députés sur 450, ayant passé la barre des 3% requis.

Bernard Lugan : Libye un an plus tard… Point de situation

Un an après la fin du régime du colonel Kadhafi, la  Libye est coupée en trois :
– En Cyrénaïque où deux guerres se déroulent, les fondamentalistes musulmans dont le fief est la ville de Derna s’opposent aux « traditionalistes » rassemblés derrière les confréries soufi cependant que les partisans d’une Libye bicéphale, fédérale ou confédérale refusent l’autorité de Tripoli.
– En Tripolitaine, la ville de Misrata dont est originaire le général Youssef al-Mangouch, à la fois chef de l’armée et coordinateur des milices « ralliées » au pouvoir de Tripoli, tente de prendre le contrôle de toute la région. Auréolées par la capture de l’ancien guide, ses forces viennent de s’emparer de la ville de Bani Walid, « capitale » de la tribu des Warfalla[1]. Dans la lutte traditionnelle contre ses rivaux du sud, Misrata a donc  marqué un point. Dans l’ouest de la Tripolitaine, les milices berbères (berbérophones ou arabophones) du jebel Nefusa jouent une carte clairement régionale cependant que le «pouvoir central» de Tripoli doit négocier avec les diverses milices pour tenter d’exister.
– Le grand sud est devenu une zone grise où le « pouvoir », ancré sur le littoral méditerranéen n’est obéi ni des Touareg, ni des Toubou, ces derniers devant périodiquement faire face à des raids lancés contre eux par des tribus arabes.

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Un prêtre égorgé en Syrie

Alors qu’il tentait de négocier la libération d’un médecin chrétien en Syrie, un prêtre grec-orthodoxe a été retrouvé égorgé hier, dans la région de Damas.
Un habitant explique que le prêtre « était en train de négocier la libération d’un médecin chrétien avec les ravisseurs, qui réclamaient 50 millions de livres syriennes. Il avait réussi à réduire leurs exigences« .
Et l’habitant de poursuivre : « Vendredi dernier, il s’est rendu accompagné du beau-père du médecin pour verser la rançon, mais ils ont été enlevés à leur tour et les ravisseurs ont accru leurs exigences avant que le corps du prêtre ne soit retrouvé jeudi« .
Son corps avait été horriblement supplicié, le crâne scalpé et les yeux arrachés.
Le père Haddad desservait la paroisse Saint Elie, à Qatana, une ville mixte islamo-chrétienne de 15.000 habitants, située à 20 km à l’ouest de Damas. Requiescat in Pace.

La guérilla des islamistes et la déstabilisation que les démocraties occidentales provoquent en Syrie n’ont pas fini de semer le malheur chez les chrétiens.

Des jeunes Israeliens se font tatouer des numéros de déportés

et apparemment ce ne serait pas de la nostalgie.

Plutôt un mélange d’indécence et de névrose…

Il y a en effet une mode chez certains jeunes Israéliens, consistant à reproduire sur leur peau les tatouages de leurs grands parents qui avaient été déportés par l’Allemagne.

Atlantico nous en parle en ces termes : «  « Quand j’ai montré pour la première fois le numéro à mon grand-père, il a pleuré et il a embrassé mon bras« , raconte-t-elle. Peu de temps après, sa mère et son oncle ont d’ailleurs décidé de faire la même chose qu’elle.
En Israël, le poids de la Shoah est extrêmement lourd, pour ne pas dire intrinsèquement lié à la création de l’Etat hébreux. L’histoire du nazisme est enseigné aux enfants dès l’école primaire, et on trouve à Jérusalem un très grand musée consacré à cette période sombre de l’histoire, le musée Yad Vashem. »