Le World Wildlife Fund for Nature est une association internationale bien connue pour son engagement en faveur de l’environnement. Qui pourrait critiquer un but aussi désintéressé en apparence? Cependant, tel son logo, le WWF n’est pas blanc comme neige…
Installée en Suisse, cette multinationale associative dénombre près de 5 millions d’adhérents dans 40 pays (160.000 en France) et dispose de nombreux bureaux à l’étranger. On compte le Prince Bernhard des Pays-Bas et le Prince Philippe, duc d’Edimbourg parmi ses anciens présidents.
Son budget colossal de 447 millions d’euros pour 2008 (environ un quart des États dans le monde ont un budget inférieur) peut donner envie de se pencher sur son organigramme.
Parmi les vices-présidents, on retrouve :
– Lawrence H. Linden, un directeur de la surpuissante banque américaine Goldman Sachs (accusée récemment par un journaliste économique d’être à l’origine de la plupart des manipulations financières des huit dernières décennies, cette banque a très « habilement » surmonté l’actuelle crise… dont elle fut l’une des principales causes) ;
– Roger W. Sant, président d’Applied Energy Services, société commercialisant de l’électricité dans 26 pays et classée parmi le groupe des 51 entreprises les plus polluantes des USA.
Parmi le conseil d’administration, on retrouve:
– Pamela Daley, vice-présidente de General Electric, dixième chiffre d’affaires mondial ;
– Brenda S. Davis, ancienne vice-président de Johnson & Johnson, premier fabricant mondial de produits pharmaceutiques ;
– Robert Litterman, très haut cadre de Goldman Sachs ;
– Nelville Isdell, ancien directeur général (CEO) de Coca-Cola.
Au même conseil d’administration, sont représentés plusieurs organismes mondialistes et lobbies de premier plan : la Trilatérale, le CFR et le CSIS.
Bien entendu, le WWF soutient :
– la théorie discutable de l’actualité du réchauffement climatique (qui aurait pris fin depuis presque dix ans, et a duré une décennie) dû à l’activité humaine ;
– le sommet de Copenhague (« première étape de la mise en place d’un gouvernement mondial de notre planète », d’après le président de l’Union Européenne ; voir ici) ;
– le malthusianisme, théorie selon laquelle une réduction drastique du nombre des naissances doit être planifiée, particulièrement dans nos pays (entre autre par la contraception massive, l’avortement et « l’éducation » des femmes) ; à l’heure de notre crise démographique et de notre substitution progressive par l’immigration, voilà qui est intelligent !
Après l’internationale socialiste rouge grimaçante, le capital-mondialisme vert et souriant…
Sources : l’échelle des valeurs n°87 – wwf.fr – panda.org – agoravox.com – rollingstone.com