Depuis 1993, des écoutes téléphoniques illégales peuvent avoir valeur de preuves…

Le parquet de Nanterre est chargé de l’enquête pour «atteinte à la vie privée» après une plainte de Liliane Bettencourt suite à la diffusion d’enregistrements clandestins de conversations entre la milliardaire et son entourage depuis mai 2009.
Ces enregistrements, réalisés de manière illégale, peuvent-ils de toute manière être utilisés dans le cadre d’une enquête sur leur contenu? «Oui», répond à 20minutes.fr Emmanuel Pierrat, avocat au barreau de Paris. «Cela fait longtemps qu’on a tranché le problème et qu’on peut verser aux débats ce type de preuve», explique-t-il, citant un arrêt de la Cour de cassation datant de juin 1993.

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Bientôt en France

A Rotterdam (Pays-Bas), les tramways vont être équipés de caméras qui reconnaitront les visages !
La compagnie concernée explique qu’il s’agit de repérer des passagers malvenus (fauteurs de troubles ou fraudeurs).
Les caméras seront reliées à un équipement qui analysera des dizaines de points du visage, la distance entre les yeux, la largeur de la mâchoire, etc.
Les données seront comparées à celles d’un ordinateur central reprenant les caractéristiques d’usagers déjà fichés. En cas d’infraction constatée, un avertissement silencieux sera envoyé au conducteur.

La société RET, qui gère le réseau, affirme qu’elle ne conservera pas les données enregistrées concernant les autres passagers mais certains politiques ont exprimé leurs doutes. Une évaluation aura lieu en 2011 et permettra, notamment, de déterminer la marge d’erreur du système.

Le ministre de la justice soutient l’expérience de Rotterdam, à laquelle il entend affecter 100 000 euros.

Nous savons déjà comment fonctionne le processus : sous prétexte d’assurer la sécurité des citoyens et au lieu d’attaquer le problème à la racine, les pouvoirs publics développent des moyens de flicage qui dépassent finalement leur objectif initial.
On peut craindre qu’en France, dans quelques années, des caméras un peu partout analysent les visages et traquent les personnes mal vues du Système, voire fiche tout le monde…

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Des « empreintes digitales » laissées par les navigateurs web

A quel point la navigation des internautes est-elle privée quand ceux-ci surfent sur le Web ? C’est à cette question qu’a tenté de répondre, lundi 17 mai, l’Electronic Frontier Foundation (EFF), spécialisée dans la préservation des données personnelles. En janvier, l’association avait lancé l’initiative Panopticlick, basée sur le volontariat, dont l’objectif était de déterminer s’il était possible de dresser une « empreinte digitale » pour chaque internaute. Continuer la lecture de « Des « empreintes digitales » laissées par les navigateurs web »

Bientôt des distributeurs de billets biométriques

Le groupe bancaire polonais BPS installe un distributeur automatique de billets à lecture biométrique basée sur l’analyse des vaisseaux sanguins. Et ouvre une brèche…

Orwellien ou révolutionnaire? Cette annonce, pour le moins, risque de provoquer le débat. Le groupe bancaire polonais BPS s’apprête à installer son premier distributeur de billets doté d’un système d’identification biométrique. Continuer la lecture de « Bientôt des distributeurs de billets biométriques »

Cassez vos téléphones portables !

Le flicage global n’a pas de limite. On savait déjà que les téléphones portables étaient les meilleurs informateurs de la police politique, grâce à une bande d’informaticiens américains, ils vont devenir les meilleurs informateurs des multinationales…

Jusqu’à présent, la géo-localisation de votre mobile a servi à savoir où vous êtes. Continuer la lecture de « Cassez vos téléphones portables ! »

De l’efficacité des caméras de surveillance

Depuis l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007, la vidéosurveillance est devenue le principal instrument de la pseudo lutte contre l’insécurité. Les évaluations scientifiques démontrent pourtant que, dans les espaces publics, son impact est très limité. Il devient même dérisoire si on le rapporte au coût financier pour une collectivité locale.

Les caméras ne dissuadent pas les délinquants dans la mesure où le risque de se faire identifier et interpeller est jugé faible. Il n’y a aucun impact sur les violences interpersonnelles (agressions sexuelles, bagarres, rixes, etc.). Continuer la lecture de « De l’efficacité des caméras de surveillance »

2005-2010 : comment Facebook a bradé la vie privée de ses utilisateurs

Depuis que Facebook est devenu une entreprise, il y a cinq ans, on assiste à une remarquable transformation. A ses débuts, il s’agissait d’un espace privé pour communiquer avec les groupes de votre choix. Peu de temps après, c’est devenu une plate-forme sur laquelle la plupart de vos informations étaient publiques par défaut.

Aujourd’hui, c’est devenu une plate-forme sur laquelle vous n’avez pas d’autre choix que de rendre certaines informations publiques, et ces informations peuvent être partagées par Facebook avec ses partenaires et utilisées pour cibler les publicités. Continuer la lecture de « 2005-2010 : comment Facebook a bradé la vie privée de ses utilisateurs »

Un nationaliste serbe arrêté et extradé d’Allemagne vers la Serbie

L’Allemagne a extradé vers la Serbie un Serbe de 35 ans leader d’un mouvement radical, qui avait fui son pays pour échapper à une peine d’emprisonnement.

Goran Davidovic, leader du mouvement Nacionalni stroj (Alignement national), a été remis aux autorités serbes à l’aéroport de Belgrade à la demande du ministère serbe de la Justice et devait être incarcéré, a indiqué à la presse le secrétaire d’Etat Slobodan Homen.

Le leader nationaliste avait été arrêté en février à Traunstein, dans le sud-est de l’Allemagne. Il a été condamné en 2006 à un an de prison pour incitation à la haine raciale, nationale et religieuse, jugement confirmé deux ans plus tard par la Cour suprême de Serbie.

Goran Davidovic s’était alors enfui en Italie avant de gagner l’Allemagne.

Le Nacionalni stroj, qui a son siège dans la région serbe de Voivodine, est accusé de s’en prendre régulièrement aux Gitans, aux Juifs et aux anti-fascistes.

Comme quoi, il est moins dangereux de s’en prendre au Pape et à l’Eglise Catholique…

Après l’intox médiatique de France 2, la répression policière de l’Etat ripoublicain?

Bien que le mouvement Dies Irae n’ait jamais eu aucune activité illégale, surfant sur l’émoi qu’a provoqué l’émission de France 2, le procureur de Bordeaux vient d’ouvrir une enquête à leur encontre.

Rappelons qu’aucun des faits exposés dans ce reportage ne sont répréhensibles. Mêmes les propos choquants de « Ludo le lourdeau » ne peuvent être poursuivis. Les lois visant les propos racistes ne concernent que les propos publics. Les propos de ce Ludo sont strictement privés puisqu’ils ne s’adressaient qu’à son interlocuteur. De plus, il ignorait qu’il était filmé.

On se demande ce que le procureur va bien pouvoir sortir de son chapeau pour tenter d’incriminer les jeunes gens de Dies Irae ?

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Les Infiltrés : un cas d’école de désinformation

2ème partie
3ème partie
Suite à la diffusion du reportage « A l’extrême-droite du Père » sur France 2, il convient de revenir sur ce cas d’école de la désinformation journalistique. Sous couvert de « connaître la vérité derrière la façade », les commissaires politiques de CAPA ont construit de toutes pièces un « péril néo-nazi » imaginaire. Le but étant de salir encore une fois l’Eglise Catholique tout en stigmatisant la mouvance traditionnelle.

Voici quelques points que nous soumettons aux lecteurs de bonne volonté qui ont visionné ce brûlot pour démontrer que la thèse présentée dans cette émission ne tient pas la route :

– En dix mois d’infiltration, la taupe n’a jamais réussi à extorquer une seule parole provocatrice ni de la part du responsable de Dies Irae, ni de l’Abbé Laguérie, ni du directeur de l’école incriminée.

– Les seuls propos sulfureux de ce reportage viennent de simples militants de DI ou de jeunes élèves de 12 ans. Tous les autres propos (prêtres, profs, responsables DI) ne sont absolument pas choquants… surtout qu’il ne s’agit pas de propos publics mais de discussions privées. Ils ne peuvent être choquants que pour des racailles de journaleux politiquement corrects : Oui, De Gaulle a déserté ! Oui, les SS étaient une troupe d’élite de l’armée allemande ! Aucun historien sérieux ne peut dire le contraire. Continuer la lecture de « Les Infiltrés : un cas d’école de désinformation »

Affaire de Bordeaux, la grosse presse sent-elle le vent tourner ?

A en croire cet article de « 20 Minutes », incroyablement objectif pour un organe du système médiatique, on est en droit de se demander si les journaleux ne sont pas en train de se rendre compte que CAPA et France 2 ont joué avec le feu dans cette affaire.
D’après nos informations, de plus en plus d’observateurs avertis ne sont pas convaincus que le fameux Mathieu Maye soit réellement un journaliste « infiltré » comme le prétend CAPA. Les différentes déclarations inexactes et contradictoires qu’a fourni Laurent Richard, directeur de la rédaction CAPA, ainsi que les déclarations de Mathieu Maye faites au journaliste de Minute, semblent accréditer la thèse que ce monsieur Maye était en réalité un flic infiltré, un « barbouze » et que l’agence CAPA n’a fait que récupérer son « travail » pour ensuite le vendre à France 2.
Les services de l’Etat ripoublicain ont toujours introduits des agents provocateurs dans les mouvements politiques qu’ils voulaient décrédibiliser. Dans le cas de Bordeaux, il semblerait que CAPA ait fait un « deal » avec la police politique de ce régime.
Si cette thèse se confirme, la crédibilité de CAPA, Pujadas et France2 risque d’en prendre un sacré coup : une agence de presse soit-disant indépendante travaillant en collaboration étroite avec des barbouzes, ça fait désordre…

C’est avec attention que nous suivrons les suites judiciaires de cette affaire qui permettront peut-être de mettre en lumière certaines pratiques peu reluisantes de notre régime pseudo démocratique.

Les satellites bientôt à l’affut des automobilistes

Un nouvel outil pourrait bientôt s’ajouter à l’appareil répressif de Big Brother contre les automobilistes, rentrant toujours plus dans les détails de leur vie privée : des satellites pourraient bientôt balayer en permanence les voies de circulation, principalement en agglomération, pour traquer le moindre dépassement de vitesse.

Ce système, déjà en cours de test à Londres, combine un système de lecture des plaques d’immatriculation et le système de positionnement GPS. Le concepteur, une entreprise américaine, affirme que ce système peut fonctionner 24 heures sur 24, par toute condition météorologique, permettrait de surveiller les écoles et de faire disparaître les dos d’âne.

Bientôt chez nous ?

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