Toutânkhamon plus proche des Européens que des Egyptiens modernes !

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Ramsès II

On savait déjà, grâce à ses restes momifiés, que Ramsès II était roux.
La thèse de l’appartenance de la lignée pharaonique à la race blanche se trouve renforcée par une récente découverte génétique, concernant le célèbre Toutânkhamon (14e siècle avant notre ère).

Les scientifiques du centre généalogique de Zurich ont reconstitué le profil génétique du jeune pharaon (mort à 18 ans) et se sont aperçus qu’il appartenait au groupe de profil génétique nommé « haplogroupe R1b1a2 ».
Or, il n’y a dans l’Egypte actuelle, pas plus d’1% de la population (malgré sa diversité génétique) qui appartienne à cet haplogroupe.
En revanche, ce sont environ la moitié des Européens de l’Ouest qui en font partie !
Avec des pointes à 70% de la population (Grande-Bretagne, Espagne) et 60% pour la France (pourcentage différent peut-être du fait de la modification raciale, plus importante, actuellement en cours dans ce pays).

Toutankhamon

Cauchemardesque : création d’embryons mi-humains mi-animaux

Certains scientifiques ont décidé de repousser toujours plus loin les limites de l’orgueil, de l’indécence et du grotesque.
On apprend en effet que depuis 3 ans, secrètement, plus de 150 embryons hybrides humains/animaux ont été créés et « cultivés » (selon le jargon des chercheurs) dans des laboratoires britanniques.

Dans ce pays, une loi (« Human Fertilisation Embryology Act ») autorise depuis 2008 la création d’embryons au matériel génétique mélangé, obtenus en :
– fécondant un ovule animal avec un spermatozoïde humain,
– implantant un noyau humain dans une cellule animale,
Рm̩langeant des cellules humaines avec un embryon animal.
Tout ceci sous le prétexte fallacieux, bien sûr, de chercher à soigner des maladies humaines…

Source
Merci à Miserecord

Nos états d’âme modifient l’expression de notre ADN

« Un esprit sain dans un corps sain » cet adage établi par le Docteur Alexis Carrel dans son célèbre ouvrage « l’Homme, cet inconnu », vient d’être renforcé par la preuve scientifique que l’esprit influencerait l’expression de notre ADN.

« Une équipe menée par Mikael Meaney, à l’université de McGill (Canada), l’a montré en comparant le cerveau des bébés rats cajolés par leur mère à ceux de ratons délaissés. Le délaissement induit des modifications épigénétiques qui bloquent le gène utilisé pour produire le récepteur aux corticoïdes dans l’hippocampe. Or, ce récepteur contrôle la réponse au stress en réduisant le taux sanguin de cortisol, l’hormone libérée en cas de stress. En clair, les rats délaissés possèdent moins de récepteurs au cortisol, et sont alors moins bien armés pour faire face au stress. Perpétuellement angoissés, ils souffrent de troubles de la mémoire et d’un comportement dépressif. Même à l’âge adulte, le moindre dérangement prend chez eux des proportions alarmantes […]. Lorsqu’une femme est dépressive ou anxieuse pendant sa grossesse, le bébé a tendance à présenter un marquage épigénétique anormal sur le gène du récepteur aux corticoïdes. Avec pour conséquence un nourrisson au taux de cortisol élevé, très sensible au stress. La preuve que nos gènes gardent la cicatrice des évènements vécus avant même la naissance.» (source : Science et vie Mars 2010)

Ces modifications pourraient peut-être être transmissibles héréditairement.

L’expression de l’ADN pouvant être modifié par l’environnement, on voit alors toute l’importance du rôle de la  société et la qualité de l’éducation dans la construction de l’individu et son équilibre psychique… Alexis Carrel pressentant : « L’avenir sera ce que nous serons nous-mêmes. Il est bien certain que le principe du moindre effort, la morale du plaisir, le libéralisme sont en contradiction avec les règles de conduite inscrites dans la structure même de notre corps et de notre esprit. Ils doivent être rejetés de façon radicale ».Â