Panthéon : François Hollande glorifie un homme qui vomissait le drapeau français

Le Panthéon, une magnifique église profanée par les Républicains, transformée en dépotoir…

François Hollande a fait procéder aujourd’hui au transfert au Panthéon des cendres de quatre figures de la Seconde Guerre mondiale (décidément, quelle obsession !) : Germaine Tillion (complice du FLN !), Geneviève de Gaulle-Anthonioz, Pierre Brossolette (militant d’extrême-gauche, franc-maçon, mais aussi cadre de l’association antifrançaise « Ligue Israélite Contre l’Antisémitisme ») et Jean Zay.

Ce dernier fut un ignoble ministre de l’Éducation nationale sous la IIIe République.

Jean Zay était un laïcard acharné, un communautariste juif, un franc-maçon et un républicain accompli.
C’est apparemment à ce titre qu’il est considéré comme « un grand homme » envers qui la patrie doit être « reconnaissante »…

L’entrée au Panthéon de cet homme qui haïssait la France est une vieille revendication de la secte maçonnique (qui se concentre toujours sur le ministère de l’Éducation…).
Le Grand Orient de France (GODF) a multiplié ces dernières années les actions pour imposer cet individu au Panthéon. En 2007, le GODF avait publié une plaquette consacrée à ce sujet, et une loge juive avait adressé des exigences similaires à François Hollande en 2012. Cela n’a pas été long.

Jean Zay, qui déshonore par son nom de nombreux établissements scolaires en France, fut un ministre particulièrement hostile aux valeurs patriotiques et traditionnelles, avant d’être condamné le 4 octobre 1940 pour désertion en présence de l’ennemi.
Il est resté toute sa vie fidèle à la haine de la France et des Français qu’il exprimait dans un « poème » dont il faut rappeler la teneur.

Il s’intitule Le Drapeau. Il traite du drapeau français.
Pour cet apatride, le drapeau national français est décrit comme « cette saloperie-là », « cette saloperie tricolore », « cette loque », « cette immonde petite guenille », « cet ignoble symbole » « de la race vile des torche-culs ».
Un drapeau que ce sale type avouait haïr « férocement » : « Oui, je te hais dans l’âme, je te hais pour toutes les misères que tu représentes […] Je hais tes sales couleurs, le rouge de leur sang, le sang bleu que tu voles au ciel le blanc livide de tes remords. »