Contre-manifestation catholique lyonnaise réussie

Le rassemblement militant homosexualiste aux relents nauséabonds de cathophobie a finalement été un échec hier soir, à Lyon, à proximité de la primatiale Saint Jean.

Selon les dires d’un contre-manifestant sur place, relayé hier en direct par e-deo, les catholiques furent nombreux à occuper le parvis Saint-Jean avant les militants gay présents; ceux-ci souhaitent s’aboucher publiquement à proximité d’une église afin de lutter contre l’homophobie.

Bien que les invertis furent plusieurs dizaines, apparemment une cinquantaine, ils furent renforcés par nombre de militants d’extrême gauche (une centaine), toujours prêts à saper ce qu’il reste des fondements de notre société.

Les forces de l’ordre présentes en nombre tentèrent de faire reculer les catholiques, notamment par des charges; plusieurs défenseurs de la Foi (et de cette si grande part de notre identité) ayant reçu du gaz lacrymogène, mais également une religieuse présente sur place; cela sans compter les coups de matraque reçus par plusieurs jeunes sur place, au nombre desquels des demoiselles.

Côté responsables politiques, Thibaut Vincendeau, président des JPF était présent, ainsi qu’Yvan Benedetti (conseiller municipal FN) et Alexandre Gabriac, secrétaire régional FNJ Rhône-Alpes et plus jeune conseiller régional de France.

François Bon

7 commentaires concernant l'article “Contre-manifestation catholique lyonnaise réussie”

  1. Les CRS nous ont dégagés d’une manière excessivement brutale. Lors de la charge, le gars sur la photo de l’article du Progrès qui brandit son crucifix s’est fait interpelé après avoir été frappé au sol à grands coups de tonfa sur le poignet, afin de lui faire lâcher son crucifix.
    Jet de gaz lacrimo dans la figure des contres manifestants, y compris pour les demoiselles et aussi pour la nonne qui représentait avec verve et courage la communauté ecclésiastique.
    Pas de lacrymo sur les gauches à ce qu’il m’a semblé en revanche.
    Un drapeau du PCF flottait sur le camp des invertis, récupérant du même coup l’autorité politique sur la racaille gauchiste hirsute et vociférante, brandissant tout l’attirail de la débauche.
    Cependant devant la détermination de la petite poignée que nous étions à la fin (120 tout au plus), ce sont les cathophobes (facilement le double) qui furent refoulés en premier.
    Victoire donc sur l’embrassade au relent de blasphème.

    « Saint Jean est à nous »!

  2. Je suis surpris que l’auteur du billet utilise l’expression « militant homosexuel ».

    Ne jamais reprendre la sémantique de notre ennemi!
    Le terme homosexuel(alité) met sur le même plan la normalité (sémantique adverse : hétérosexualité) et la pédérastie! Le message vehiculeé est simple : toutes les formes d’unions se valent!

    Ce n’est pas sans raison que les mots homosexuel/alité sont rabâchés quotidiennement par les médias et les lobby.

    Dans ce cas pourquoi ne pas utiliser le terme gay sur contre info?

    (je n’aime pas faire la morale mais le je suis vraiment surpris)

  3. Remarque tout à fait pertinente dont je vous remercie, Pierrot. Remarque que je partage d’autant plus pour l’avoir faite sur les ondes de radio résistance. Voilà qui est corrigé.

    Que nos lecteurs me pardonne cette erreur due à la fatigue et à l’heure avancée de la nuit à laquelle j’ai rédigé ce billet.

  4. C’était de l’humour pour Le mot gay… C’est a mon sens encore pire.

    Liste de propositions :
    – inverti,
    – sodomite,
    – homosexualiste,
    Рp̩d̩raste.

  5. Beaucoup de militants frontiste, ca fait plaisir à voir. En gros, on a quelques provocateurs invertis et beaucoup de collabos d’extrème gauche venus les soutenir.
    J’espère que les interpellés seront rapidement relachés.
    Saint Jean est à nous !

  6. Enfin on aurait quand même aimé que la fédération FN du Rhône relaie l’info, ce qui n’a pas été le cas.

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