Mais où la préfecture parisienne a-t-elle appris à compter ?

Lu sur Twitter: « J’ai l’explication : tout ce qui dépasse le million est taxé à 75% : 1.400.000-75% = 350.000 #ManifPourTous #CQFD » Voici en effet une nouvelle vidéo qui montre l’ampleur de la manifestation de dimanche dernier :

« Mariage » homosexuel : quand Peillon prend les cathos pour des cons…

Vendredi, Vincent Peillon écrivait aux recteurs d’académie au sujet du débat sur le mariage homosexuel, les exhortant «à la retenue et à la neutralité au sein de tous les établissements afin que ne fasse l’objet d’aucune instrumentalisation». Le ministre de l’Education ajoutait en outre dans le Monde : «Il ne me semble pas opportun d’importer dans l’école le débat sur le mariage pour tous. Je considère même qu’en adressant une lettre aux chefs d’établissement, le secrétaire de l’enseignement catholique a commis une faute».

Peut-être faudra-t-il rappeler au ministre qu’en 1984, la rue a fait reculer le projet visant à supprimer l’école libre. Et que « Ã©cole libre » a un sens, quoique le ministre pense de celui-ci. Notez que si les établissements d’enseignement catholique commence à relayer l’enseignement de l’Église, mais où va-t-on ?

Mais le plus insupportable, c’est le sectarisme de la gauche. Car en octobre dernier, Najat Vallaud-Belkacem ne s’interdisait aucun prosélytisme auprès des élèves : en visite dans une école du Loiret, elle présentait le mariage homosexuel comme «une avancée» : «Cela va permettre plus d’épanouissement. Plus de liberté. Plus d’égalité dans la société», a-t-elle dit à une assistance d’une dizaine de collégiens. A voir ici :


Najat Vallaud-Belkacem dans un collège pour… par BFMTV

La Parade : entre niaiserie et contradiction…

Le 16 janvier 2013 sort un nouveau film, La Parade, dont le moins qu’on puisse dire est que son caractère idéologique n’est pas simplement suggéré…

Le protagoniste est un certain Lemon, parrain des gangsters de Belgrade, qui se voit obligé d’assurer la sécurité de la première GayPride de Serbie. La mission étant périlleuse, il sollicite le secours d’anciens mercenaires. Serbes, musulmans, bosniaques, albanais du Kosovo et combattants croates se retrouvent ainsi aux côtés des militants homosexuels. Et la présentation du film de s’interroger naïvement : « Comment cet équipage hétéroclite qui n’aurait jamais dû se rencontrer va-t-il arriver à transcender les frontières et leurs différences ? »

Derrière cette mièvrerie débile se cache évidemment, sous couverts des meilleurs sentiments, une promotion en règle de qu’il est convenu d’appeler niaisement la « diversité ». Ces promoteurs veulent nous apprendre à « transcender les frontières et leurs différences » : ces différences dont ils sont dans le même temps les plus ardents négateurs. Car ces bonnes âmes, partisanes d’un univers uniformisé et de l’indifférenciation du genre humain, n’ont eu cesse de niveler précisément les différences dont ils s’érigent paradoxalement les hérauts : la différence qui existe entre les races, ou bien encore celle qui existe entre les sexes ! Difficile manifestement de conjuguer niaiserie et pensée construite. Quand les tartuffes baignent dans leurs propres contradictions…

JdR

Serge Klarsfeld, un sacré mythomane !

L’inénarrable « chasseurs de nazis », grand prêtre du culte shoatique, a pondu une perle – qui vient d’être dénichée – dans un opuscule intitulé Pie XII et la Shoah / Le choix du silence ? publié chez l’éditeur catholique (!) Téqui sous la direction de Mgr Dominique Le Tourneau (!).

Bref, tirée de cette mauvaise prose, le professeur Faurisson nous révèle (et fait pièce à) cette extraordinaire assertion de Klarsfeld :
« Vichy donne son accord. Dans la nuit, la Préfecture de Police [de Paris] sort les fiches des Juifs concernés : au matin du 24 septembre, 1500 Juifs roumains sont arrêtés ; le lendemain, 1000 sont déportés et après trente-six heures de voyage pour Auschwitz, sont gazés dans leur lit. » (p. 45-46)

Cet énorme bobard semble être passé comme une lettre à la poste… Personne parmi les lecteurs n’osant remettre en doute la sainte parole de Klarsfeld…

Colonisation de l’Algérie… La fierté de la France !

[tribune libre] « L’Afrique, c’est une terre donnée par la providence à la France. Faites-là connaître à tous les méchants avocats qui nous marchandent 100 000F quand nous leur donnons un monde… » (Alexandre Dumas au Maréchal Bugeaud, fin 1846)

Depuis le vote de la loi du 23 février 2005 disposant que « les programmes scolaires reconnaissent en particulier le rôle positif de la présence française outre-mer », de nombreuses voix –issues du corps enseignant, d’intellectuels et d’élus de gauche- se sont élevées pour demander, avec véhémence, son abrogation au motif que cette loi serait de nature à menacer gravement la nécessaire neutralité de l’enseignement de l’histoire.

A pareille époque, le président algérien Bouteflika, fort de l’appui que lui assure en toutes circonstances cette même intelligentsia progressiste, réitérait ses provocations en comparant la période française en Algérie au nazisme et exigeait que la France demandât pardon. Et il s’est trouvé, dans notre pays, des Français pour cautionner cette « repentance »…

Ces derniers, avec l’appui de médias partageant leur idéologie, dans un esprit de culpabilité congénitale outrancier et suivant la tendance islamolâtre qui est la leur depuis un demi-siècle, ne cessent depuis lors, de déverser une littérature foisonnante et pullulante, identique à celle qui s’était déjà proposée de révéler aux Français de la Métropole, la vie coloniale sous tous ses aspects.

C’est ainsi que l’œuvre colossale des premiers pionniers et tout ce qui a été fait par leurs enfants, n’est qu’un tissu d’abomination et de crimes. Elle dépeint le misérable peuple musulman comme abêti, vivant dans le plus dur des esclavages, mais avec le soulèvement et la valeureuse lutte du FLN pour l’indépendance de l’Algérie, c’est le despotisme qui a été vaincu, c’est la liberté conquise, c’est la dignité retrouvée, c’est le bien-être et le progrès intellectuel et moral… Continuer la lecture de « Colonisation de l’Algérie… La fierté de la France ! »

Philippe de Villiers : le président doit demander pardon à la Vendée, au nom de la République

Dans une interview accordée à l’hebdomadaire Minute, Philippe de Villiers, le président du MPF, présente son livre sur François-Athanase Charette de La Contrie, le général vendéen qui incarna l’âme de la Vendée Militaire durant le soulèvement contre-révolutionnaire entamé en 1793.

Villiers va-t-il s'excuser auprès des Vendéens pour ses années de défense acharnée (cf affiche ci-dessus, parmi d'autres) de la République, des "valeurs républicaines", etc. ?

L’occasion pour le député européen de revenir sur le génocide vendéen. Il rappelle en effet dans les colonnes de l’hebdomadaire que « les trois caractéristiques du génocide sont réunies : un plan d’extermination, contre un groupe ethnique et religieux, par des moyens de masse. » Et Philippe de Villiers de solliciter « que le chef de l’Etat – celui-là ou un autre – vienne demander pardon au nom de la République. Comme l’a fait Alain Decaux en tant qu’historien républicain, aux Lucs-sur-Boulogne, le 25 septembre 1993« .

Il est curieux en effet d’entendre le président de la République faire repentance au nom de la France à tout bout de champ, quitte à la discréditer complètement aux yeux du monde, mais ne pas reconnaître le crime ignoble et avéré, commis par la République durant la Révolution. Il est certain qu’admettre que la République est née dans le sang des français, ça dérange. Comme mythe fondateur, on fait mieux… En attendant, l’extermination de la population vendéenne a été délibérée et planifiée, en effet. Et elle a été commise au nom de l’homme nouveau, régénéré par le contrat social, que les révolutionnaires ont voulu construire, et que les vendéens ont refusé de devenir…

Thuram s’enferme dans un délire communautaire

Lilian Thuram, ancien joueur de l’équipe de France de football, participait hier à un chat sur le site homosexuel Yagg.com : il y juge « surréaliste de devoir faire une manifestation pour l’égalité » des droits, comme celle prévue le 16 décembre. « Ca me ramène des décennies en arrière, lors des marches aux États-Unis où des personnes noires faisaient des marches pour demander des droits. Faire cette même marche en 2012 prouve que l’égalité c’est quelque chose qui se construit et qui se gagne« , ajoute-t-il.

Et pour finir en beauté, il s’engage dans le discours victimaire et communautaire, en se demandant « si ceux qui refusent le mariage pour tous se rendent compte qu’ils sont dans la même démarche que ceux qui refusaient l’égalité à des hommes et des femmes parce qu’ils étaient noirs« .

On entend ici le discours consumériste qui considère que la loi doit satisfaire les intérêts individuels et catégoriels, et non promouvoir le bien commun. Le footballeur n’est manifestement pas un intellectuel. Si le mariage fait l’objet d’une législation, c’est parce qu’il a une fonction sociale, c’est parce qu’il fonde la famille, cellule de base de la société : construit autour de la complémentarité sexuelle, il organise la filiation et assure la pérennité de la société.

Dans cette perspective, tous les individus sont égaux devant la loi car celle-ci s’applique à tous : chacun peut en effet se marier avec un individu de sexe opposé. Mais là où la loi voit l’individu, Lilian Thuram voit l’orientation sexuelle : il catégorise la population, identifiant l’individu à son orientation sexuelle. Et Thuram de mettre la loi au service de ces catégories, avant l’intérêt supérieur de la société…

JdR

Le gouvernement veut rééduquer plus violemment encore les enfants !

Les enfants ont ce bon sens naturel qui leur permet de savoir, par exemple, que les garçons et les filles sont différents, que les vrais couples sont constitués d’un homme et d’une femme, etc.

Cette donnée de la nature est insupportable pour les idéologues de gauche et les pervers en tout genre qui agissent dans les coulisses des mondes politique et médiatique.

Le gouvernement prévoit donc d’intensifier le lavage de cerveau des enfants, dès la maternelle !

C’est dans des termes effarants que le site du Ministère des affaires sociales et de la santé présente ainsi le projet « ABCD pour l’égalité » :

« La création du programme « ABCD de l’égalité », qui s’adresse à l’ensemble des élèves de la grande section de maternelle au CM2 et à leurs enseignants, vise à déconstruire des stéréotypes de genre. (sic) »
Comme si le fait les différences physiques, psychologiques, sociales et les différences d’aspirations naturelles étaient une construction sociale et non une réalité naturelle…

Avant de poursuivre : « une documentation pédagogique, coproduite par le ministère des droits des femmes et le ministère de l’éducation nationale, sera mise à la disposition des enseignants sous forme physique et numérique. Cet outil pédagogique permettra de travailler sur les connaissances, les attitudes et les comportements des enseignants et des élèves en matière d’égalité filles-garçons et sera accompagné d’une formation. En cours d’élaboration, il sera expérimenté à la rentrée 2013 dans cinq académies et fera l’objet d’un protocole d’évaluation pour être généralisé dans toutes les écoles à la rentrée 2014. »

Tintin au Congo : li pas raciste !

La justice belge a définitivement blanchi Tintin : non, le bien célèbre reporter dessiné par Hergé n’est pas raciste, même au Congo ! Le Cran (Conseil représentatif des associations noires) réclamait en effet, en 2007, l’interdiction de l’album Tintin au Congo. En deuxième instance, l’association se contentait simplement de demander que l’album «soit assorti d’une préface qui en précise le contexte, et déconstruise les représentations de l’œuvre».

Hé bien la Cour d’Appel de Bruxelles vient de confirmer  le jugement rendu en 2011 en première instance : le tribunal estime qu’il n’y a «aucune volonté de véhiculer des idées à caractère raciste, vexantes, humiliantes ou dégradantes à l’égard des Congolais ni d’inciter les lecteurs à la discrimination et à la haine.» Le soi disant racisme dont le Cran accusait Tintin n’est en fait, selon le tribunal, qu’«un humour candide et gentil».

Il faut dire que l’idéologie antiraciste fait feu de tout bois : au point de sombrer dans l’anachronisme le plus primaire, sortant l’album de son contexte et jetant sur le passé des années 30, le regard de l’homme du XXIe siècle. En plaquant ainsi, sans plus de subtilité, leur grille idéologique sur le témoignage d’une époque par ailleurs révolue, le Cran a fait rire à ses dépens. Et nous rions maintenant de leur déboire judiciaire : qu’on se le dise, Tintin n’est pas raciste !

Racisme anti-français : il existe, nous l’avons rencontré !

Si jamais on se risquait à prétendre que le racisme anti-noirs ou anti-arabes n’existait pas, on serait immédiatement pendu en place de Grève, et la meute des journalistes, hurlant avec les loups, crierait haro sur le baudet. Mais le racisme anti-blanc peut être occulté, cela ne pose pas de problème. Voilà où mène la haine de soi… Alors, le racisme anti-blanc ou le racisme anti-français n’existent pas, vraiment ?



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Démocratie totalitaire : vers l’interdiction du NPD ?

L’Allemagne s’apprête à interdire le Parti national-démocrate (NPD) : mercredi les ministres de l’Intérieur des 16 Länder ont voté la poursuite de la procédure judiciaire contre le mouvement nationaliste. Une procédure qui n’est cependant pas aboutie, car les démarches sont nombreuses : le souhait des ministres des Etats fédérés doit être approuvé, jeudi, par les ministres-présidents. Puis un vote aura lieu le 14 décembre, à la Chambre haute (Bundesrat), laquelle représente les 16 Länder. Il faudra ensuite patienter trois mois avant que la Cour constitutionnelle de Karlsruhe examine la requête du système.

« Nous courons le risque politique de redorer le blason d’un parti qui est déjà en train de disparaître« , a concédé Hans-Peter Friedrich, le ministre de l’Intérieur : « Il faudra que tout le monde se demande: en quoi cela sera-t-il profitable au NPD en terme de propagande ? »

En démocratie, chaque courant peut donc s’exprimer pourvu qu’il pense comme le système lui impose de penser. Normal. Et les partis politiques admettent la contradiction, pourvu qu’elle soit portée par des gens qui pensent comme eux ; ils acceptent le débat, pourvu que ce soit avec des gens qui souscrivent aux mêmes choix idéologiques qu’eux…

Syrie : le prétexte chimique pour une intervention qui se précise

Vu sur Metamag :
« Et revoilà le coup des armes de destructions massives
L’accusation n’est pas neuve. Elle monte en puissance. Le président Assad pour que la situation ne lui échappe pas se préparerait  à gazer les rebelles et son propre peuple comme un Saddam le fit avec les kurdes.
La saddamisation du discours anti-Assad est évidente. Ce sont les français qui ont commencé, Fabius expliquant qu’une utilisation des armes chimiques changerait totalement la donne. Les anglais ont suivi, puis les américains. Maintenant Damas prépare la guerre chimique.
Ce n’est certes pas impossible, mais c’est loin d’être sûr. Une fois de plus, on est consterné par l’absence d’esprit critique de nos médias. Ils suivent comme un seul homme. On leur a pourtant fait le coup de nombreuses fois dont celui des armes de destructions massives de l’Irak complètement inventé pour justifier la guerre.
Pour Damas on a trouvé un autre prétexte, celui des armes chimiques. Cela veut dire que l’intervention internationale se précise car elle est devenue possible. En effet, le régime est affaibli.  L’attaquer, ce serait prendre moins de risques qu’avant. Il est confronté à une vraie guerre civile  et depuis que les rebelles ont des missiles, la suprématie aérienne, arme absolue d’Assad,  est contestée.
Nos médias sont incroyables

Manipulation médiatique : exemple de désinformation

L’image donne l’impression que le garçon s’apprête à frapper la prostituée avec une bombonne : en réalité, il la lui arrache des mains alors qu’elle agressait les familles avec cette arme… Où les médias confondent sciemment les agresseurs et les victimes, utilisant la désinformation par l’image pour manipuler l’opinion…

Guerre en Lybie : « c’était pour le gaz et le pétrôle »

La France aurait mené la guerre en Libye pour obtenir des gisements de gaz. C’est en tout cas ce que révèle le magazine de Canal Plus « Spécial investigation », de Patrick-Charles Messance, dans son dernier reportage consacré aux rapports entre le pétrole et la guerre.

A en croire les journalistes de Canal +, lesquels ont mené des investigations sur le sujet, l’Elysée aurait déroulé le tapis rouge au chef libyen Mouaammar Kadhafi, par intérêt pour des gisement de gaz. Le refus du Lybien de satisfaire les exigences de Paris aurait alors expliqué l’acharnement de l’ex-président français contre le dirigeant libyen lors des évènements en Libye.

Selon les « sources discrètes » de Patrick-Charles Messance, « l’opération aurait été préparée de longue date et le printemps arabe n’aurait été que le prétexte idéal pour la lancer ». Et d’après le même reportage, deux semaines après l’intervention de la France en Lybie, un accord confidentiel aurait été passé entre le Conseil national de Transition et Paris, attribuant 35 % de réserves libyennes de pétrole à la France.