Plus de deux semaines après le scrutin, l’élection présidentielle aux Etats-Unis n’a pas encore abouti, et il n’est pas dit que Joe Biden en sorte vainqueur. Mais voyons d’abord en quoi elles peuvent concerner le reste de la planète.
D’abord, très concrètement, cette nation se prend depuis des décennies pour le « gendarme du monde » et n’hésite pas à agresser d’autres pays, voire à provoquer des déstabilisations graves de régions entières du monde (comme avec la guerre contre l’Irak), afin d’étendre son empire, d’exporter un modèle politique démocratique (propice aux manipulations et à la domination de la Finance), de servir la politique étrangère de l’Etat d’Israël ou de répondre aux intérêts de l’« État profond » américain.
Presque tous les pays peuvent donc se sentir concernés – même indirectement – par ce qui se passe à Washington.
Or, Donald Trump avait annoncé pendant sa campagne de 2016 vouloir rompre avec cette manie d’ingérence belliqueuse et il avançait, de fait, un certain isolationnisme. Force est de constater, qu’en dépit de ses déclarations tonitruantes et de certaines rodomontades qui peuvent inquiéter, son bilan n’est pas comparable avec celui de ses prédécesseurs, même s’il est toujours excité contre l’Iran, pour plaire à Israël.
Par ailleurs, les États-Unis sont, depuis la 2e Guerre mondiale surtout, le cœur du mondialisme, du cosmopolitisme et de tout ce que l’on peut y rattacher : uniformisation culturelle, abrutissement télévisuel, brassage ethnique, mouvement homosexualiste, théorie du genre… Continuer la lecture de « Le point sur l’élection américaine, et ses enjeux »
L’initié Macron a annoncé une mesure radicale pour la rentrée prochaine : en plus de l’école obligatoire à partir de 3 ans (depuis 2019), il sera alors interdit aux parents d’instruire eux-même les enfants à la maison !
Hormis pour des « impératifs de santé ».
Le mondialiste « progressiste » de l’Elysée a fait part de cette idée dimanche, dans un discours sur son « plan de lutte contre les séparatismes ».
Macron – traumatisé après avoir été détourné par une femme qui pouvait être sa mère quand il était adolescent – veut pouvoir aller expliquer lui-même aux enfants sa conception délirante de la famille :
L’école publique tend désormais à fabriquer des ignares, illettrés et grossiers : le niveau s’est effondré, avec des pédagogies contre-nature et parfois gravement nocives (par exemple la « méthode globale » pour le français), des programmes aberrants ou immoraux et aussi, il faut le reconnaître, l’arrivée de populations étrangères qui plombent le niveau car elles n’ont pas les mêmes aptitudes ou inclinations.
A cela il faut ajouter que l’école publique est avant tout une vaste usine d’endoctrinement des enfants, de conformation à une idéologie bien particulière : l’idéologie républicaine, héritée de la Révolution et élaborée par les loges maçonniques. Une idéologie foncièrement anticatholique – ce fut son grand combat –, mais aussi anti-naturelle (contre la loi morale naturelle).
Ce rôle premier (l’endoctrinement) est officiel. Macron d’ailleurs l’a dit lui-même dimanche : « Parce que l’école doit d’abord inculquer les valeurs de la République […] » .
Dès lors, mettre ses enfants à l’abri de l’école publique relève justement d’un « impératif de santé » morale (et spirituelle) !
La République française est un régime intrinsèquement totalitaire et la Ve version se radicalise d’année en année. Elle ne tolère pas qu’on lui soit dissident, en actes ou même en propos : elle appelle ça maintenant le « séparatisme ». On n’a pas le droit ne pas s’unir au Régime actuellement en place !
Il veut qu’aucun cerveau ne lui échappe : c’est le pourquoi de cette mesure extrémiste de Macron concernant les petits.
En brandissant le spectre de l’islam radical – que ce même régime fait venir en France avec acharnement ! – on cherche à susciter l’adhésion de la masse inquiète, mais il s’agit de fait d’interdire l’enseignement conforme aux lois naturelles, au patriotisme, au catholicisme sur lequel s’est pourtant fondée la France.
Certes il existe (pour combien de temps?) des écoles libres, c’est-à-dire hors contrat, mais elles représentent un coût important pour le budget familial et surtout il y en a peu. C’est pourquoi des catholiques traditionnels de plus en plus nombreux choisissent l’école à la maison, généralement avec des cours par correspondance qui ont fait leurs preuves.
Mais tout ça risque effectivement de ne pas faire d’excellents républicains, mais de mauvais citoyens aimant la France française, pas convaincus par la pornographie homosexuelle publique, pensant que tuer un bébé dans le ventre de sa mère n’est pas bien, croyant comme leurs ancêtres que le Christ ne doit pas être relégué dans les sacristies, etc.
L’amateur élyséen de débauche homosexuelle africaine a eu aussi un petit mot pour les écoles hors contrat : elles « feront l’objet d’un encadrement encore renforcé ».
Les catholiques traditionnels (c’est-à-dire authentiquement catholiques) qui espèrent pouvoir vivre à peu près tranquillement, dans une société qui s’effondre (moralement, d’abord), avec leurs écoles à eux, se font des illusions : la pente est totalitaire et il s’agit d’un bras de fer permanent avec les forces antichrétiennes.
Cela fait plusieurs années que Contre-info en parle et l’annonce.
Si on fuit le combat politique, la politique nous rattrape tôt ou tard et entretemps beaucoup de terrain aura été perdu.
Cela se produit continûment parce que les catholiques désertent le champ politique. Mais ils peuvent perdre encore beaucoup de terrain, de libertés, notamment autour de leurs écoles. Qu’ils y en pensent. On n’échappe pas à la politique. Soit on la subit, soit on la fait.
Bien que les prisons soient pleines (des dizaines de milliers de peines ne sont pas effectuées faute de place), l’écrivain dissident Hervé Ryssen a été incarcéré pour un an et demi pour quelques propos écrits et une caricature partagée sur facebook, il est vrai sur un thème tabou : le judaïsme.
Il s’agit évidemment d’une persécution politique, au moment même où de façon inédite, une centaine des plus gros médias (privés ou publics) s’unissent dans une déclaration d’attachement à la liberté d’expression !
Du côté de l’oligarchie politico-médiatique, cet épisode très significatif dans la marche totalitaire du régime est l’occasion d’une vaste danse (du ventre) de joie.
Citons simplement, pour l’exemple, le « journaliste » Frédéric Haziza, devant qui les politiciens viennent s’aplatir. Cet individu odieux et répugnant est tellement sûr de la victoire définitive du camp cosmopolite antifrançais qu’il ne prend même la peine de se faire passer pour français, en utilisant le calendrier commun :
Mais on ne peut pas vraiment lui en vouloir : il est dans son rôle.
En revanche on pourra être choqué (ou pas…) des réactions de personnalités classées « dissidentes ».
Tout d’abord, signalons la réaction de Bruno Gollnisch, l’une des très rares personnalités qui ait exprimé son désaccord avec l’embastillement de dissidents du Régime. C’est la réaction pondérée mais courageuse d’un honnête homme :
Et voyons comment réagit à ce message par exemple un certain Kevin Bossuet (!), plume de Valeurs actuelles, très suivi sur Twitter et qui ose se présenter comme « détesté par le « camp du bien » » : un vrai rebelle !
La France est ouverte aux quatre vents et est littéralement submergée par l’immigration : tout le monde le sait malgré les dénégations mensongères des gros médias et des politiciens mais, chose au moins aussi grave, sa nationalité est bradée depuis des décennies par la République.
« Être français », au sens moderne, ne veut strictement plus rien dire : il s’agit simplement d’une formalité administrative pour les républicains, d’un bout de papier, précieux simplement car il donne encore plus de droits et d’aides économiques à ceux qui en bénéficient.
En même temps, il est difficile de le leur reprocher car il n’y a plus vraiment de culture française aujourd’hui (sans parler de civilisation), celle-ci – appuyée sur les cultures locales de France – a été tuée par la République et n’est désormais qu’une variante de la sous-culture mondialisée à saveur américaine.
Beaucoup de ces nouveaux « Français » parlent à peine le français.
Quand nous disons que la nationalité française est bradée, c’est sur un constat que chacun peut faire en discutant avec un naturalisé ne parlant que quelques mots de français et aux mœurs exotiques, mais c’est aussi grâce à des chiffres officiels.
Il n’est pas d’examen plus facile à réussir, même le baccalauréat 2020 est enfoncé ! En effet, plus de 99,96 % des demandes de nationalité française sont accordées.
Plus de 112.000 étrangers ont obtenu la nationalité française en 2019, dont 27.000 environ par mariage. Dans le même temps, 13 personnes seulement ont vu leur demande rejetée par un décret d’opposition motivé par un «défaut d’assimilation» autre qu’une maîtrise insuffisante de la langue de Molière. Et 62 pour «indignité». Soit 75 rejets exprimés pour les cas les plus litigieux, qui témoignent d’un comportement totalement en contravention avec les valeurs de la République. (source Le Figaro)
Vous noterez que pour le Régime, les valeurs de la France n’existent pas, il n’est question que de « valeurs de la République ». Ces gens confondent France et République et, de fait, nient la France.
Pourquoi ne pas donc distinguer citoyenneté républicaine et réelle nationalité française ?!
« Dans un article récent du Monde, Emmanuel Macron a pointé du doigt « le monde universitaire [qui] a été coupable. Il a encouragé l’ethnicisation de la question sociale en pensant que c’était un bon filon. Or, le débouché ne peut être que sécessionniste. »
Certes. Mais que dire de l’enseignement secondaire, sous le contrôle du ministère de l’Éducation nationale garant de son contenu, et qui ne peut se réfugier, comme l’université, derrière une tradition (qui parfois a du bon) de liberté intellectuelle (univoque… ) de ses mandarins ?
Ce n’est pas officiel, mais tout parent le sait : l’antiracisme, au lycée, est devenu, sinon un cours à part entière, du moins un enseignement savamment distillé dans toutes les matières littéraires, y compris les langues étrangères ; or, aucun enfant ne peut couper à la leçon d’antiracisme.
Vous avez probablement entendu parler des déboires du candidat macroniste à la mairie de Paris, Benjamin Griveaux, jusqu’alors porte-parole du gouvernement.
Il a jeté l’éponge dans la course aux prébendes municipales après qu’une video intime de lui a été diffusée sur un site internet, par un « activiste » anarchiste russe, Piotr Pavlenski.
Griveaux avait réalisé lui-même cette video pornographique, dans laquelle il se filmait en pleine séance d’onanisme, et l’avait envoyée par messagerie privée à une femme (amante de Pavlenski). Une méthode de séduction particulière…
Pavlenski voulait dénoncer le double-discours de Griveaux, qui, dans les médias, joue les maris comblés et fidèles et vante l’importance de la famille pour lui. C’était aussi probablement l’occasion de faire exploser en vol la carrière politique d’un représentant éminent de la macronie, politicien sans âme, homme sans empathie et particulièrement suffisant, doublé d’un gros porc donc.
Les éditions Omnia Veritas (installées hors de France) rééditent de nombreux textes au mépris des droits d’auteur (éditions « pirates »), mais, plus grave encore, sont ésotéristes.
Elles rééditent de bons livres mais publient des livres perfidement antichrétiens et gnostiques (comme certains d’Evola), et mettent à la fin de tous leurs livres, y compris d’auteurs catholiques, des publicités pour leurs autres livres, y compris les plus scandaleux. Continuer la lecture de « Mise en garde à propos des éditions Omnia Veritas »
Pour certains, c’est une évolution et même une conversion ; selon Matteo Salvini – qui répond au quotidien Il Foglio ce 14 octobre – c’est un rappel : lui et son parti veulent que l’Italie reste dans l’Union européenne, et même dans l’euro.
Une position partagée d’ailleurs désormais par le Rassemblement national en France.
Nous touchons là du doigt la différence entre le simple populisme (foncièrement démocratique et donc glissant vers la démagogie) et le nationalisme (manifestant des convictions fermes, fondées sur un patriotisme intransigeant et une analyse sans concession des problèmes).
Extrait :
« Je le dis une fois pour toutes, et j’espère que personne, à l’intérieur ou en dehors de mon parti, ne soulèvera à nouveau cette question.La Ligue n’a pas en tête la sortie de l’Italie de l’euro ou de l’Union européenne.Je le dis encore mieux, alors les journalistes cesseront de nourrir d’étranges fantasmes : l’euro est irréversible[sic].Cela ne signifie pas que j’ai changé d’avis sur la façon dont la monnaie unique est née : elle est née mal, dans l’intérêt de quelques-uns et à l’avantage de nombreux. »
Après la grande manifestation du 6 octobre contre la PMA, François Billot de Lochner, président de l’association « Liberté politique », fait quelques remarques – qui nous semblent intéressantes – sur la façon que les partisans du bon sens et de la civilisation ont de s’opposer aux lois de déconstruction de la gauche (au sens large).
Les grandes manifestations contre la parodie homosexuelle de mariage en 2013 ont montré leurs limites. Faut-il refaire la même chose ?
On pourra lire sur ce thème le n°9 de l’excellente revue L’Héritage.
Évidemment, tout le monde se dit « mais que faire alors ? ».
Alors que le peuple appelle de ses vœux une révolution, pourquoi Marine Le Pen a-t-elle voulu se porter au secours du Régime qui était en train de vaciller ces derniers jours ?
Sont-ce ses convictions personnelles qui s’expriment ? Si oui, voilà un criant manque de lucidité et de formation, quant au Système intrinsèquement pervers qui a mené la France là où elle est : endettée à mort, non plus indépendante mais soumise à des institutions étrangères, tyrannisée par les lobbies et tout simplement sur le point de disparaître culturellement et physiquement.
Ou alors s’agit-il peut-être de gages donnés pour éviter davantage de problèmes (judiciaires en particulier) ou s’attirer les faveurs du Régime en question et de ses médias ?
Dans tous les cas, diront certains d’entre nous, c’est précisément pour ce genre d’attitude qu’elle a été promue par les médias au début des années 2000, car ils avaient compris qu’elle pourrait faire évoluer le FN – pas particulièrement républicain et incompatible avec le Système par certains aspects de son programme (défense de la vie des enfants in utero, défense de la famille, remigration, défense de l’identité ethnique française, opposition radicale à l’UE…) – vers un parti largement moins opposé au projet gaucho-cosmopolite.
En attendant, il ne faut pas se plaindre que l’extrême-gauche récupère les Français révoltés, ils y sont presque poussés par Marine Le Pen…
La gauche radicale essaie d’influencer et d’orienter la révolte gauloise, populaire et antifiscale des Gilets jaunes.
Pour atteindre ses fins (lutte des classes, immigration de masse, révolution marxiste…), elle essaye de flatter les bas instincts et en premier lieu la jalousie, pour exciter la haine entre classes.
Elle entend donc mettre démagogiquement sur le tapis la question de l’ISF, dont elle exige le rétablissement.
Cette question est pourtant hors sujet : l’ISF contribuait marginalement au budget de l’Etat et si l’Etat ponctionne tant les Français (la France est le pays européen où l’on paye le plus d’impôt), au point qu’ils se rebellent aujourd’hui légitimement, c’est d’abord que l’argent est dépensé n’importe comment.
En effet, chaque année l’impôt est utilisé de façon scandaleuse : dizaines de milliards pour les intérêts de la dette publique, dizaines de milliards pour l’immigration, milliards pour l’Union européenne, milliards pour l’Afrique, milliards pour la bureaucratie et pour subventionner les journaux et associations gauchistes, etc.
Sur l’ISF lui-même, il faut rappeler certaines choses :
Alors que le Premier ministre Édouard Philippe a évoqué mardi un moratoire de six mois concernant la hausse des taxes sur le carburant, l’Élysée a précisé ce mercredi soir à France info que l’augmentation n’est pas« suspendue, ni différée », mais bien« annulée ». »
A côté de cela :
« Le gouvernement assure ses arrières. L’Assemblée nationale a approuvé, mercredi 5 décembre, par 358 voix contre 194, les mesures annoncées par Edouard Philippe en réponse à la crise des « gilets jaunes », à l’issue d’un débat de près de cinq heures dans l’hémicycle. Lors de sa déclaration sur « la fiscalité écologique et ses conséquences sur le pouvoir d’achat », objet du vote, le Premier ministre a notamment défendu l’abandon dans le budget 2019 de la hausse de la taxe carbone et le gel des tarifs du gaz et de l’électricité cet hiver. » (source)
Grande victoire pour les Gilets jaunes, mais ça ne doit et ne va probablement pas s’arrêter là, alors que le régime est en train de vaciller : la hausse des taxes sur un carburant déjà extrêmement cher n’était que la goutte d’eau qui faisait déborder le vase.
La fiscalité française est délirante, l’une des plus extrêmes au monde, et tout le monde est matraqué, à part les plus riches qui arrivent à échapper à l’impôt. De plus, l’argent extorqué par toutes sortes de taxes et d’impôts possibles est gaspillé et utilisé sans lien avec l’intérêt de la nation (milliards pour les migrants, milliards pour l’Afrique, milliards pour l’Union européenne, etc.).
Les Gilets jaunes doivent exiger une avancée qui permettra au peuple de donner ses consignes sur les sujets qui lui tiennent le plus à cœur : l’instauration du RÉFÉRENDUM D’INITIATIVE POPULAIRE, où à partir d’un certain seuil de signatures (par exemples 500 000), un référendum est organisé, dont le résultat à valeur d’obligation pour l’État. Un peu comme en Suisse (où ce n’est pas le chaos).
PS : on comparera avec les résultats nuls de Manif pour tous, malgré son million de manifestants opiniâtres… Y aurait-il eu une différence de méthode ?
Le 8 novembre, le procureur de la République assignait en référé les fournisseurs d’accès à internet pour qu’ils bloquent l’accès au site democratieparticipative.biz
Cette révolte populaire, apolitique et spontanée contre la hausse des taxes sur le carburant – mais plus généralement contre la baisse du pouvoir d’achat, une fiscalité écrasante et une classe politique déconnectée des besoins de la France réelle – a connu aujourd’hui un vif succès.
Même dans des petites villes qui n’avaient pas vu de manifestation depuis des décennies, il y eut des foules relativement importantes. On parle de 2 000 rassemblements.
Sur le plan national, le Ministère de l’Intérieur prétend qu’il y avait 282 000 manifestants (il avait commencé par parler de 38 000), ce qui veut dire, selon l’habitude du ministère et en recoupant les informations, qu’il y avait au moins 500 000 manifestants et peut-être un million, dont beaucoup pour qui s’était la première fois.
Il y eut des incidents avec des gens qui ont essayé de forcer les barrages filtrants avec leur voiture, des macronistes ou des gens qui n’ont pas l’habitude qu’on ne leur cède pas :
Un manifestant a ainsi trouvé la mort… et 227 ont été blessés, dont six gravement.
Par ailleurs le ministère de l’Intérieur annonce 117 interpellations donnant lieu à 73 gardes à vue.
C’est la « France périphérique », à travers ces manifestations et blocages, qui crie son exaspération. Et certains ont dû transpirer dans les préfectures et surtout à l’Elysée, dont se sont approchés des centaines de manifestants avant d’être repoussés par la police ! Macron n’avait-il pas pourtant dit « qu’ils viennent me chercher » ?
Le Président de cette affreuse République parvient à générer une opposition populaire pas vue depuis très longtemps.
Quelle suite va connaître ce mouvement ? Il reste imprévisible.
Mais même si elle a bien sûr ses faiblesses et ses limites, que nos lecteurs ont bien deviné, cette mobilisation est un signal important.
Le climat en France a rarement été aussi favorable à l’accession au pouvoir d’une droite populiste, voire nationaliste.
Claude Barouch est le président de l’Union des patrons juifs de France, un lobby communautaire.
Il organisait un rassemblement devant France Télévision pour exiger la non diffusion d’un reportage sur la situation catastrophique dans la bande de Gaza.
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