« À l’automne 1944, Français et troupes américaines au bord de l’affrontement »

Félicitations au Point qui ose une enquête à rebours de l’historiquement correct (il devrait faire attention, ça peut mener loin!) :

« Trois mois après le jour J, les Normands n’en peuvent plus des exactions des soldats qui les ont libérés. Retour sur un épisode méconnu.Des scènes de sauvagerie et de bestialité désolent nos campagnes. On pille, on viole, on assassine, toute sécurité a disparu aussi bien à domicile que par nos chemins. C’est une véritable terreur qui sème l’épouvante. L’exaspération des populations est à son comble. » Le 17 octobre 1944, quatre mois et demi après le Débarquement en Normandie, La Presse cherbourgeoise, quotidien local de Cherbourg, publie cette mise en garde sous le titre « Très sérieux avertissement ».

À l’automne 44, ceux qui pillent, violent et assassinent sont les Américains : le journal accuse les libérateurs de se comporter en soudards dans un pays conquis. Comment un tel paradoxe deux mois après la fin des combats en Normandie ? »

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