Le patron de la SNCF a fait son pèlerinage à Auschwitz

Guillaume Pepy, est un dirigeant dévoué à son entreprise, la SNCF.
Pour remporter le contrat californien de ligne à grande vitesse entre Los Angeles et San Francisco, ce consciencieux patron est prêt à  » mouiller sa chemise »…

Quand le lobby juif américain exige l’été dernier que la SNCF fasse toute la transparence sur son rôle dans le transport des Juifs déportés pendant la seconde guerre mondiale, si elle veut avoir une chance de décrocher une partie des contrats du futur train à grande vitesse californien; il s’exécute sans broncher.

Excuses publiques, financement de projets « pédagogiques » pour « enseigner la Mémoire », courbettes devant les autorités shoahstiques, Guillaume Pépy est prêt à tout pour donner du travail à ses salariés !

Le 23 janvier dernier, Il est allé se recueillir à Auschwitz pour obtenir l’onction nécessaire à la victoire finale.
Deux jours plus tard il devait déclarer solanellement  à Bobigny – d’où sont partis 23000 déportés de Drancy – que la SNCF, «contrainte, réquisitionnée» , avait été «un rouage de la machine nazie d’extermination»…

Bravo Guillaume ! Tes salariés vènérent ton abnégation.

La SNCF prend l’argent des Français pour le donner au lobby juif

Le président de la SNCF a procédé à une cérémonie de circoncision mentale hier, s’avilissant devant le Lobby juif comme rarement un homme l’avait fait. Il a prétendu notamment que la SNCF fut « un rouage de la machine nazie d’extermination » [sic]

Mais le Moloch en réclame toujours plus. A peine Guillaume Pépy avait-il achevé son discours de reniements, de mensonges et de haine anti-européens que les premières critiques fusaient du rang de ses maîtres. Rositta Kenigsberg – pour le centre éducatif de Floride consacré à ce qu’ils appellent « shoah » – a dénoncé le président de la SNCF : « Ce n’est pas une demande de pardon, ce ne sont pas des excuses complètes. […] Qu’il vienne demander pardon ici, aux victimes et aux survivants eux-mêmes. Qu’il les rencontre, qu’il s’assoie avec ceux qui ont connu cela » a-t-elle éructée, poussée par une haine atavique.
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Shoah business : la SNCF s’engage à payer pendant 4 ans les activités du Musée de la Shoah

Eric de Rothschild, président du Mémorial de la Shoah a reçu le 13 décembre dernier, le président de la SNCF, Guillaume Pepy pour la signature d’une convention de « partenariat » entre les deux instances.

La SNCF s’engage à devenir pour les quatre années à venir « l’entreprise partenaire principale du Mémorial de la Shoah » pour le développement de ses activités pédagogiques.
Le Mémorial de la Shoah, lui, s’engage à apporter son « expertise » et son « soutien technique » à la SNCF pour conduire de « nouvelles recherches historiques » (sic) sur les actions de la SNCF pendant la Seconde Guerre mondiale…
Bref, la SNCF va payer pour que le lobby puisse expliquer au grand public combien la SNCF fut coupable pendant l’Occupation!

(merci à Jules Guerrin)

Shoah : les excuses de la SNCF

Alors que depuis de nombreuses années, la SNCF refusait de battre sa coulpe publiquement pour avoir transporté des Juifs vers L’Allemagne durant de la Seconde guerre mondiale, en affirmant avoir agi sous la contrainte de l’occupant, la compagnie publique française a effectué un spectaculaire revirement. Avec comme objectif de préserver ses chances sur le marché américain.

Car la société publique concourt pour plusieurs projets de ligne à grande vitesse aux Etats-Unis, pour un total de plusieurs dizaines de milliards de dollars. Or, en Californie, le démocrate juif Bob Blumenfield a fait adopter une loi qui oblige tous les candidats à un contrat à faire la lumière sur leur éventuel rôle dans le transport de déportés de 1942 à 1944. Un élu de Floride à la Chambre des représentants, le démocrate (juif également) Ron Klein, a déposé au niveau fédéral un projet de loi similaire. Si elle n’est pas mentionnée nommément, la SNCF est clairement visée par le lobby sioniste. Continuer la lecture de « Shoah : les excuses de la SNCF »

Le dîner mensuel du « Siècle »

« Le Siècle » est le club secret probablement le plus puissant de France. S’y réunit la fine fleur du Système : financiers, industriels, journalistes, hauts fonctionnaires, politiciens… Ces derniers se retrouvent pour des agapes (en l’occurence « sages », au Siècle) après avoir fait semblant de s’écharper sur les plateaux télé.
On y scelle des accords, prend ou donne des directives (selon sa fonction), s’acoquine, etc.

Le site « Bakchich » a eu la bonne idée d’aller filmer l’entrée des comploteurs lors du dîner du 27 octobre à l’hôtel Crillon à Paris.

Avec :
Emmanuel Chain, producteur et journaliste
Nathalie Kosciusko-Morizet : Secrétaire d’Etat au développement de l’Economie numérique
Arlette Chabot (journaliste, ex-directrice de la rédaction de France 2)
Rachida Dati (ex-Garde des Sceaux, maire du VIIe arrondissement de Paris, députée européenne, UMP)
Guillaume Pépy (patron de la SNCF)
Louis Gallois (patron d’EADS)
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