Les derniers « vœux » du président Hollande ont été minables…
Très satisfait de lui-même, comme d’habitude, et agité, il a vanté son bilan pourtant particulièrement calamiteux, fantasmant une baisse du chômage au dernier moment de son mandat.
Un discours très horizontal, creux, économique, politicien, parlant avec véhémence du réchauffement climatique (car Donald Trump est sceptique à ce sujet), avec une touche de padamalgam bien sûr, et quelques énormités.
Ainsi, cet européiste convaincu, qui aura été pendant 5 ans aux ordres de Bruxelles et de Merkel, ose dire que « la France doit réaffirmer son indépendance » !
Quel culot faut-il…
Mais le plus fort, c’est que quelques minutes plus tard, en essayant d’élever son discours et en parlant de « nos valeurs », Hollande les définit comme suit : « La France elle [sic] est ouverte au monde, elle est européenne, elle est fraternelle. Comment imaginer notre pays recroquevillé derrière des murs, réduit à son seul marché intérieur, revenant à sa monnaie nationale, et en plus discriminant ses enfants selon ses origines ? Mais ce ne serait plus la France. »
Voilà le sommet de son discours.
Énorme…
Reprenons :
« Comment imaginer notre pays recroquevillé derrière des murs [ça s’appelle des frontières, c’est facile à imaginer et c’est ce qui définit un pays], réduit à son seul marché intérieur [on sent la terreur des financiers libres-échangistes… Pourtant pendant la plus grande partie de son existence, la France a échangé avec l’extérieur quand nécessaire], revenant à sa monnaie nationale [lui qui parlait d’indépendance… Et selon cet intellectuel, la France retrouvant sa monnaie ne serait plus la France : elle est donc née en 2002, avec l’arrivée de l’euro !], et en plus discriminant ses enfants selon ses origines ? [mais elle le fait déjà, avec la « discrimination positive » au détriment des vrais Français ! ] »
Nos ancêtres n’auraient jamais pu imaginer qu’un pareil individu soit le chef de l’Etat français…
BONUS :
le compte twitter de l’Élysée n’arrive pas à écrire français correctement :



Mardi, à Strasbourg, soit peu avant le sommet de Bruxelles, le président français, François Hollande, 




Depuis plusieurs jours, la Banque centrale européenne a décidé d’acheter massivement des obligations des gouvernements italien et espagnol. Les acheteurs de dette souveraine française réclament maintenant des taux d’intérêt plus élevés. Un scénario qui a de quoi inquiéter les rédacteurs des communiqués des grandes banques françaises, assurant de leur solidité. Dans plusieurs pays, des articles de presse financière signalent que la France n’a aucune raison de garder une note AAA avec une dette qui dépasse les 80% du PIB.
« Alain Cotta, professeur d’économie à HEC qui avait déjà fait part de son scepticisme sur le traité de Maastricht dès 1992, revient à la charge avec un nouvel ouvrage où il est question du sort de l’euro. Une monnaie unique qui ne fait plus l’unanimité et qu’il faut quitter pour revenir à une monnaie commune ou au franc.
Lu