Aveuglée par son idéologie égalitariste, la bureaucrate socialiste Elisabeth Bornstein s’apprête à détruire un peu plus le système éducatif français au nom de ses lubies.
« Encourager les filles à faire des maths, c’est le nouveau cheval de bataille d’Élisabeth Borne. La ministre de l’Éducation nationale a dévoilé mardi, dans un entretien donné aux Échos, un plan d’ampleur pour rééquilibrer la part de filles dans les filières scientifiques, du collège aux classes préparatoires, sous-représentées dans ces voies.
Il faut reconnaître que les études récentes ne sont guère encourageantes. Si, à l’entrée en CP, les filles ont un niveau en maths égal à celui des garçons, dès le CE1, leurs résultats baissent : seules 53 % des filles savent additionner contre 68 % des garçons, selon une étude du ministère de l’Éducation nationale de 2024. La dernière enquête TIMSS (Trends in International Mathematics and Science Study), publiée en décembre 2024, alerte sur un fossé grandissant entre filles et garçons en mathématiques dès la fin du primaire, l’un des écarts les plus élevés de l’Union européenne.
Rien ne s’arrange en terminale, où elles sont moins nombreuses à choisir le combo gagnant maths-physique (37 %), qui ouvre pourtant le plus de portes sur Parcoursup. Et même en prépa scientifique, elles choisissent plus volontiers des prépas axées sur la biologie que sur les mathématiques. Une fois dans la vie active, elles sont encore moins à s’orienter dans les domaines de l’ingénierie et de l’industrie, auxquels elles préfèrent les secteurs de la santé et du social.
C’est donc dès le collège que la ministre entend agir. Dans un entretien accordé à France Inter ce mercredi, elle a dévoilé un plan global. Il prévoit notamment des aménagements de classe en 4e et 3e, l’instauration d’une parité en spécialité mathématiques au lycée (où les filles représentent actuellement 42 % des effectifs), un encouragement accru à choisir l’option mathématiques expertes (aujourd’hui suivie par 33 % des lycéennes seulement), et surtout, des objectifs clairs pour féminiser les classes préparatoires.
Élisabeth Borne ne parle pas précisément de quotas mais d’objectifs cibles. Ce qui revient un peu au même dans la novlangue de l’Éducation nationale. Elle déclare : « Chaque classe préparatoire scientifique devra compter 20 % de filles en 2026, puis 30 % en 2030. » […] » (source Le Figaro Etudiant)
Incohérente comme tous les partisans de la Subversion – qui vantent le respect des « différences » (la diversité) quand il s’agit de faire submerger la France par l’immigration (et donc d’effacer la différence française) –, la compère de Bayrou et Retailleau ne supporte pas les différences naturelles entre hommes et femmes.
Si les filles ont – en général – moins d’appétit pour les mathématiques que les garçons, c’est notamment pour des raisons biologiques (chose insupportable à concevoir pour les gens de gauche). Et si cette différence de goût s’accentue au fil du collège, c’est simplement, et justement, parce que sous l’action grandissante des hormones à la puberté, les garçons et les filles se distinguent davantage dans leurs goûts et leurs capacités.
Il s’agit évidemment de tendances générales, il y aura toujours un nombre non négligeable de filles qui seront intéressées par les mathématiques par exemple, et y seront douées.
Avec cette brutalité étatiste qui a déjà tant coûté à la France, l’étrangère Bornstein entend priver les garçons méritants et motivés d’aller en classes préparatoires au profit de personnes moins méritantes ou motivées : c’est le principe des quotas et mécaniquement, cela fait baisser le niveau de l’ensemble, et finalement de la France.
Evidemment, vous n’entendrez jamais cette féministe socialiste et les autres de son acabit réclamer des quotas d’hommes dans les filières où ils sont très minoritaires, par exemple à l’Ecole Nationale de la Magistrature (la seule école de cette catégorie), dont près de 80% des sortants sont des femmes!