• 1871: élections législatives en France, largement remportée par les royalistes (les légitimistes – partisans du comte de Chambord, petit-fils de Charles X – qui étaient de droite, et orléanistes partisan de la lignée de Louis-Philippe, qui étaient libéraux).
Les républicains subissent une déroute.
Mais la royauté ne sera pas rétablie par faute d’accord avec le comte de Chambord sur un projet qui lui semble suffisamment contre-révolutionnaire.
Le régime républicain en France n’a jamais été très solide, ce pourquoi il est vindicatif avec ceux qui ne l’apprécient pas (à cause de son idéologie – maçonnique –, ses crimes ou ses résultats désastreux) .
A quand la fin de la parenthèse ?
• 1906: Bernard de Vezins est arrêté pour avoir empêché l’entrée du préfet venu prendre possession de l’église Saint-Symphorien de Versailles (après la loi de 1905 organisant le vol des biens de l’Eglise par la République). Continuer la lecture de « C’était un 8 février… »
• 1752: première condamnation de la funeste Encyclopédie (première grande entreprise de la Gauche) par arrêt du Conseil du roi. Les deux premiers volumes doivent être, théoriquement, détruits.
• 1861 : les Indiens Cherokees rejoignent la rébellion sudiste.
Vétérans Cherokee sudistes posant en 1903.
• 1904: la guerre impitoyable de la très maçonnique Troisième République contre l’Eglise se poursuit et, ce jour, est votée à la Chambre des députés la loi interdisant le droit d’enseigner aux congrégations religieuses.
• 1920: l’amiral Alexandre Koltchak est fusillé par les Rouges à Irkoutsk.
L’amiral Koltchak, au centre, inspectant des troupes. DR
En novembre 1918, il avait été élu, contre sa volonté, Régent de Russie et chef suprême de toutes les armées terrestres et maritimes de Russie (l’« armée blanche ») – fonction qu’il ne pourra jamais exercer totalement – pour faire face aux communistes.
• 1982: dans la nuit, décès du bachaga Boualam, 75 ans, grand officier de la Légion d’honneur, chef musulman d’Algérie dont plus de 2 000 hommes mourront au cours des deux guerres mondiales.
En mars 1962, alors que se consommait la trahison gaulliste, il proclamait lors d’une émission pirate de radio dans les départements d’Algérie que « l’Ouarsenis est terre française ».
Il fut rejoint par environ 105 hommes, dont le commando Albert.
C’est à cette occasion que le colonel Jean Gardes créea le fameux maquis OAS de l’Ouarsenis, en collaboration avec Boualam, qui avait prévu de ramener ensuite des milliers de harkis.
Les forces françaises, essentiellement de gendarmerie, s’associeront avec le FLN pour venir à bout de ces partisans de l’Algérie française… Summum de l’ignominie, c’est l’aviation, sous les ordres du gouvernement, qui ira jusqu’à appuyer les Felagah de l’ALN (branche armée du FLN) pour mener à bien cette opération contre le maquis… Face à des soldats français expérimentés ayant rejoint les maquisards harkis mieux valait utiliser des avions…
Saïd Boualam, dit le bachaga Boualam, fut responsable de la harka de la région de l’Ouarsenis pendant la guerre d’Algérie. Son surnom de « bachaga » signifie « haut dignitaire », ou « caïd des services civils », c’est-à-dire chef de 24 tribus arabes des Beni-Boudouane, situées en Ouarsenis (entre Alger et Oran).
Durant les combats contre le FLN, il perdit dix-sept membres de sa famille, dont un de ses fils, Abdelkader.
Des livres du Bachaga Boualam sont en vente ici.
• 1992: signature du Traité de Maastricht par douze pays : c’est la naissance de l’Union européenne telle que nous la connaissons, et une véritable trahison de la liberté de leur nation par les politiciens euro-mondialistes.
En France, le référendum qui avait validé le projet de traité fut remporté de justesse par les européistes après que Mitterrand – sans vergogne – révéla cyniquement au grand public, pour l’émouvoir, son cancer.
« Les derniers coups de feu continuent de briller Dans le jour indistinct où sont tombés les nôtres. Sur onze ans de retard, serai-je donc des vôtres ? Je pense à vous ce soir, ô morts de Février. »
Robert Brasillach, la veille de sa mort
Poète, écrivain (les livres de lui et sur lui sont achetables ici) et journaliste nationaliste célèbre, Robert Brasillach était fusillé à l’âge de 35 ans, victime de l’Épuration gaullo-communiste.
Homme de grand talent, Brasillach laisse derrière lui – bien que relativement jeune – une œuvre très abondante et variée : romans, études, histoire, mémoires, cinéma et critiques littéraires…
Les communistes savaient quel danger cet homme représentait pour leur plan de conquête culturelle et voulaient sa mort.
De Gaulle, qui lui en voulait et qui voulait complaire aux communistes, refusa la grâce de cet homme condamné à mort pour ses écrits, malgré l’impressionnante pétition d’intellectuels de divers bords qui l’avaient demandée.
Voici le récit de sa mort, par son courageux avocat, Jacques Isorni :
À l’appel d’organisations patriotiques (Croix-de-feu, Ligue d’Action française, Jeunesses patriotes, Solidarité française…), des dizaines de milliers de Français, dont beaucoup d’anciens combattants, manifestent à Paris contre la corruption extrême qui règne dans les milieux politiques (l’affaire Stavisky est un élément déclencheur), au cri de « à bas les voleurs ! »
Alors que la tension monte et que les Croix-de-feu se dispersent sagement, rive droite, des heurts ont lieu entre manifestants et policiers. La foule s’approche trop du Palais Bourbon au goût du Régime, qui fait tirer les Gardes mobiles sur les citoyens…
22 Français mourront sous les balles ou les coups de la République (liste ci-dessous) et plus d’un millier sera blessé.
Presque aveugle, Edouard Drumont mourut peu avant 20h dans sa résidence de Moret-sur-Loing, près de Fontainebleau, à l’âge de 72 ans, en 1917.
Outre de nombreux ouvrages consacrés à Paris (dont il était amoureux), ce brillant pamphlétaire fut l’auteur d’une description de la société française au XIXe siècle : le « best-seller » intituléLa France juive, « livre magique » pour Georges Bernanos qui lui consacrera lui-même un ouvrage fameux : La Grande Peur des bien-pensants. La fin d’un monde est aussi un maître-ouvrage d’Edouard Drumont, qui a, à notre avis, moins vieilli.
Drumont fonda en 1892 et dirigea le journal quotidien La libre parole et fut un leader du camp nationaliste et antidreyfusard (il fut député de 1898 à 1902).
Les patriotes ou Français de droite qui placent quelque espoir en Bruno Retailleau, pourtant l’un des pontes de cette fausse droite qui a massacré la France main dans la main avec la gauche depuis des décennies, risquent de déchanter après avoir été séduits par son discours d’apparence ferme.
Voyez quelle furieuse gauchiste (pro PMA, pour le droit de vote des étrangers, négationniste du racisme antiblanc, menteuse à propos du RN, etc.) il vient de nommer sous-directrice de la gestion de crise et de la planification à la Sécurité civile :
Regardez cette vidéo: Cindy Leoni vient d’être promue ( aux dépens d’autres candidats) par Bruno Retailleau à la tête d’une importante sous direction de son ministère. #PMA#DroitDeVoteDesEtrangers Négation du racisme anti blanc Merci @BVoltaire pic.twitter.com/qkZEPsWyQM
Quand la gauche est au pouvoir, elle fait le « ménage » dans l’administration (marginalisant ceux qui ne lui correspondent pas) et promeut des gauchistes partout.
Quand la fausse droite est aux manettes, non seulement elle laisse les gauchistes en place, mais elle en promeut même.
Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivait nos ancêtres).
Le vieillard Siméon prend l’Enfant-Jésus dans ses bras
« Cette fête célèbre à la fois la Présentation de Jésus au Temple et la Purification de la Très Sainte Vierge Marie. Elle se rattache donc au mystère de Noël et vient clore le Cycle sanctoral du Temps après l’Epiphanie.
Cette fête ce célèbre au 2 février, parce que, voulant se soumettre à la loi mosaïque, Marie devait aller à Jérusalem, 40 jours après la naissance de Jésus (25 décembre-2 février) pour y offrir le sacrifice prescrit. Les mères devaient donner un agneau, ou, si leurs moyens ne le leur permettaient pas, « deux tourterelles ou deux jeunes pigeons ». La Sainte Vierge amena avec elle à Jérusalem l’enfant Jésus, et la procession de la Chandeleur rappelle le voyage de Marie et de Joseph montant au temple, pour y présenter « l’Ange de l’Alliance » (Epître, Introït), comme l’avait prédit Malachie.
La Purification, à laquelle la mère du Sauveur n’était pas astreinte, car elle enfanta en dehors des lois ordinaires, passe au second plan dans la liturgie et c’est la Présentation de Jésus qui est l’objet principal de cette fête.
C’est une fête de lumière. La procession de la Chandeleur, procession aux cierges, évoque,par son symbolisme, la manifestation du Christ, lumière du monde, accueilli au Temple par le vieillard Siméon comme l’envoyé de Dieu, « lumière pour éclairer les nations ». « La cire des cierges signifie la chair virginale du divin enfant, dit S. Anselme, la mèche figure son âme et la flamme sa divinité ».
La venue du Sauveur au Temple est le thème principal de la fête, mais la pensée de la Sainte Vierge est partout présente; la fête du 2 février est une des plus anciennes, sinon la plus anciennes des fêtes mariales. »
Nom populaire de la fête chrétienne commémorant la « présentation de Jésus au Temple » (et, dans le calendrier traditionnel, « la purification de la sainte Vierge »), il nous vient du latin festa candelarum (« fête des chandelles »), en raison de la bénédiction des cierges qui avait lieu ce jour-là.
Au Portugal, la monarchie est décapitée par la franc-maçonnerie : le roi Charles et le prince héritier Louis-Philippe sont assassinés en pleine rue par l’instituteur Manuel Buiça et l’employé Alfredo Costa, tous deux maçons (et membres de la Charbonnerie).
Ils ont fait feu puis bondi sur le carrosse royal. Le roi est mort immédiatement, le prince héritier a pu répliquer de quelques coups de feu (non fatals) sur les assaillants, et la reine a tenté de s’opposer à eux avec son bouquet de fleurs (voir l’illustration ci-dessus).
Dès 1910, la République est proclamée et le chef du Grand Orient du Portugal lui-même, Magalaes Lima, entre au gouvernement.
• 1830: le gouvernement français du roi Charles X, dirigé par le prince Jules de Polignac, décide de préparer une expédition pour « restaurer l’honneur de la France » suite au coup d’éventail infligé par le dey d’Alger au consul de France Deval en 1827.
Au-delà de ce fait, il s’agit de détruire la piraterie qui ravage les côtes méditerranéennes et de libérer les esclaves français.
C’est le début de la colonisation française en Algérie, d’heureuse mémoire.
• 1943 : fondation de l’Organisation de Résistance de l’Armée (ORA)
• 1793 : mort du marquis Armand de la Rouërie, chef de la première conjuration bretonne, à l’annonce de la mise à mort de Louis XVI.
Trahi, pourchassé, à bout de forces et malade, se reprochant de n’avoir pas agi avec une célérité capable de prévenir l’exécution du roi, le marquis meurt d’une fièvre cérébrale.
Il sera déterré et décapité après sa mort par les républicains, mais le mouvement de la Chouannerie continuera encore longtemps contre l’oppression républicaine.
Une biographie de cet homme à la vie aventureuse, retourné sur le droit chemin, est récemment sortie, signée Alain Sanders et Jean Raspail.
• 1914 : mort à Nice, de Paul Déroulède, combattant héroïque durant la guerre de 1870 et poète patriotique de la Revanche, dans ses Chants du soldat.
Il fut également fondateur de la Ligue des patriotes, l’un des principaux mouvements nationalistes de la fin du XIXe siècle.
Où l’on voit que la Ve République a toujours été barbouzarde…
Ce 29 janvier 1962, l ‘Organisation armée secrète (OAS) fait sauter le PC des barbouzes gaullistes, à El Biar (Alger).
Lorsque la « villa Andrea » explose, est détruit le lieu où de nombreux membres de l’OAS ou simples partisans de l’Algérie française ont été torturés longuement et sauvagement, et parfois assassinés (la République n’a toujours pas présenté ses excuses contrairement au cas Audin).
Lors de fouilles en 1968, une trentaine de squelettes sont retrouvés dans le jardin de la villa…
Les « barbouzes », comptant nombre de bandits, de condamnés de droit commun, ont été déployés en Algérie en mars 60 par le pouvoir gaulliste, avec pour objectif d’éliminer toute résistance à la politique d’abandon de De Gaulle, et visant surtout l’OAS dont l’activité rayonnait (notamment avec ses émissions radio pirates).
Dessin de la statue de « Charlemagne et ses leudes », située devant Notre-Dame de Paris.
Charlemagne du latin Carolus Magnus, ou Charles Ier dit « le Grand » dans la nomenclature qui commence avec Clovis, né en 742 et mort le à Aix-la-Chapelle, est le membre le plus éminent de la dynastie franque à laquelle il a donné son nom alors qu’il n’en est pas le fondateur : les Carolingiens.
• 1794 : exécution horrible du prince de Talmont par les républicains à Laval.
Ce chef vendéen, âgé de 28 ans, déclare au bourreau qui va le guillotiner :
« Fais ton métier, j’ai fait mon devoir ».
Puis, la tête décapitée et mutilée du jeune héros chrétien est plantée sur les grilles de son château.
• 1889 : élection triomphale du « brave général Boulanger » à Paris, après une série de partielles en province. Ses partisans attendent qu’il marche sur l’Elysée, mais le général patriote refuse. La médiocrité de ses ambitions ne le désigne pas pour le pouvoir. Menacé par le ministre de l’Intérieur, il s’enfuit vers Bruxelles, en compagnie de sa maîtresse.
• 1957 : attentats du FLN à Alger à la brasserie du Coq hardi et à la Cafétéria : 4 morts, 50 blessés.
• 1959 : décès, à Saint Quentin, du père Hanna Zacharias, de son vrai nom Hector Théry, érudit catholique qui étudia les origines juives de l’islam. « Le Coran actuel n’est qu’une prédiction juive émanant d’un rabbin de tendance pharisaïque talmudiste [ami de Mahomet et résidant à la Mecque], dont le but était de judaïser l’Arabie ». Continuer la lecture de « C’était un 27 janvier… »
• 1941: lancement par « l’Etat français » du Comité de rassemblement pour la Révolution nationale (en réaction, dit-on, au lancement par Déat du Rassemblement National Populaire tourné vers la collaboration), où figurent parmi les premiers membres Thierry Maulnier et Antoine de Saint-Exupéry.
• 1871 : ce jour a lieu la signature d’un armistice entre la France de Napoléon III et l’Allemagne menée par Bismarck, concluant de façon catastrophique la guerre commencée – imprudemment et pour des motifs légers – par l’empereur le 19 juillet 1870.
L’Alsace (sauf ce qui deviendra le territoire de Belfort) et les trois quarts du département de la Moselle vont être arrachés à la France.
Des centaines de milliers d’Alsaciens et Lorrains quittent leurs foyers et s’exilent par refus de devenir citoyens allemands (près de la moitié de la population de Metz).
Les conséquences pour l’Europe vont être très lourdes.
• 1983 : mort de Georges Bidault. Cet agrégé d’histoire, ancien professeur à Louis-Le-Grand, fut président du Conseil national de la Résistance (CNR) après l’arrestation de Jean Moulin, en juin 1943.
Président du Conseil en 1949 et plusieurs fois ministre des Affaires étrangères de la IVe République, il fut l’un des plus fermes opposants à la politique gaulliste de trahison et d’abandon de l’Algérie (il relança le CNR), ce qui le conduira à entrer, comme d’autres, en clandestinité en juillet 1962. Il dut s’exiler en Espagne jusqu’à l’amnistie de 68 (obtenue par Massu auprès de De Gaulle, ce dernier faisant dans sa culotte face aux évènements de Mai 68).