C’était un 11 septembre…

1709 : bataille de Malplaquet (aux Pays-Bas), au cours de la guerre de Succession d’Espagne, entre l’armée de Louis XIV et les coalisés hollandais et autrichiens. Bien que l’armée française fît retraite, elle infligea à ses ennemis des pertes quatre fois plus importantes que les siennes, et l’invasion de la France fut empêchée. Voir le détail en fin de cet article. « Malborough s’en va en guerre… »

1758 : la victoire de Saint-Cast-le-Guildo (Côtes-d’Armor) est remportée sur les Anglais par les miliciens bretons et les soldats du Roi commandés par Emmanuel de Vignerot du Plessis-Richelieu, duc d’Aiguillon, alors Gouverneur du Duché de Bretagne et petit neveu du Cardinal.
Les 10 000 fantassins anglais de Bligh échouent à s’emparer de Saint-Malo en débarquant trop à l’Ouest. Ils sont ensuite repoussés par les Bretons et rembarquent en abandonnant 4 000 tués et blessés et entre 600 et 800 prisonniers.

1912 : le Français Fourny réalise le premier vol aérien de plus de 1000 km.

1917 : Georges Guynemer, « as des as » à 23 ans, héros des ailes françaises déjà crédité de 53 victoires, disparaît dans le ciel de Flandre, entre Dixmude et Ypres. Les conseils de révision ayant deux fois refusé de l’incorporer en 1914, il était entré par subterfuge dans l’armée de l’air. Son corps ne fut jamais retrouvé.
Citation lue au pied du drapeau dans toutes les bases aériennes françaises : « mort au champ d’honneur, à Poelkapelle, le 11 septembre 1917.
Héros légendaire, tombé en plein ciel de gloire après trois ans de lutte ardente. Reste le plus pur symbole des qualités de la race : ténacité indomptable, énergie farouche, courage sublime.
Animé de la foi la plus inébranlable dans la victoire, il lègue au soldat français un souvenir impérissable qui exalte l’esprit de sacrifice et provoquera les plus nobles émulations.
»

Détails sur la bataille de Malplaquet :
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Petit exemple de manipulation au JT de France 2 de Léa Salamé

Dans un reportage du JT de France 2, présenté par l’étrangère Léa Salamé, à propos du criminel Mohamed Amra, le terme « Wallah » (utilisé en permanence par les jeunes Maghrébins de France) est traduit à l’écrit et à l’oral par le juron « Parbleu », que les Français n’utilisent plus depuis des générations.
C’en est grotesque.

Le président vénézuelien marxiste avance les fêtes de Noël au 1er octobre

La folie socialiste à l’œuvre.
L’Etat piétine les traditions, bafoue et dilue le sens religieux, décrète quand faire la fête, etc.

Le président du Venezuela Nicolas Maduro a annoncé lundi qu’il allait avancer par décret au 1er octobre le début des fêtes de Noël, une pratique habituelle chez lui. «Nous allons appliquer la formule des autres années qui a fait beaucoup de bien à l’économie, à la culture, à la joie, au bonheur (…). Noël au Venezuela démarre le 1er octobre», a déclaré Nicolas Maduro lors de son programme télévisé hebdomadaire.

Le chef de l’Etat socialiste est coutumier du fait. L’année dernière, il avait déjà avancé le début des festivités de Noël au 1er octobre, en pleine crise politique liée à sa réélection contestée. Il avait aussi «lancé» Noël en octobre ou en novembre en 2019, 2020 et 2023.

[…]  «Encore une fois cette année Noël commence le 1er octobre avec de la joie, du commerce, de l’activité, de la culture, des chants de Noël», des danses et des plats traditionnels, a affirmé le président. (source)

C’était un… 10 septembre

954 : mort, à Reims, de Louis IV, roi des Francs. Il avait poursuivi un loup qu’il avait aperçu, sur la route de Laon à Reims, jusqu’à faire une chute de cheval qui lui sera mortelle. Le chroniqueur Flodoard, contemporain, verra en ce loup fatal un prodige divin destiné à châtier le roi pour un crime de son passé.

1678 : signature de la paix de Nimègue. L’Espagne remet à la France douze villes-frontières flamandes, ainsi que le Comté de Bourgogne. Louis XIV devient l’arbitre de l’Europe.

1919 : traité de Saint-Germain-en-Laye signé entre l’Autriche et les Alliés. Il redécoupa l’Europe en démembrant les anciennes positions des Habsbourg : le Tyrol du Sud et le Trentin à l’Italie, les Sudètes à la Tchécoslovaquie, la Styrie du Sud et une partie de la Carinthie à la Yougoslavie. Ce qui allait créer des frustations. L’union de l’Allemagne et de l’Autriche (Anschluss) est interdite. Les forces militaires sont réduites à 30 000 hommes. L’Autriche doit reconnaître sa responsabilité dans le déclenchement de la guerre et payer des réparations.

Traité de St Germain en Laye :  l’Autriche signa mais ne put participer aux négociations

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C’était un… 9 septembre

9 : bataille de Teutoburg. Les Germains menés par Arminius (Hermann) défont l’armée romaine de Varus : plusieurs légions disparaissent, entre 16 000 et 20 000 légionnaires meurent. Cette victoire décisive porte un coup d’arrêt à l’expansion romaine en Germanie.

1087 : mort à Rouen, des suites d’une chute de cheval survenue trois mois plus tôt, de Guillaume le Conquérant, roi d’Angleterre et duc de Normandie (et à ce titre vassal du roi de France).

1899 : après la révision du procès ordonnée par Émile Loubet le 3 juin, cinq jurés sur sept du conseil de guerre de Rennes réitèrent leur jugement de 1894 : Alfred Dreyfus est à nouveau condamné (mais avec « circonstances atténuantes »), cette fois à dix ans de détention. Il est pourtant gracié, le 19 septembre, par le président de la République.

1922 : les forces turques, qui viennent de vaincre les armées grecques qui avaient récupéré l’Asie Mineure, entrent dans la ville de Smyrne (devenue « Izmir »), en commettant force massacres et atrocités, allant jusqu’à crucifier l’évêque orthodoxe du lieu sur les quais du port égéen. Les Britanniques ayant décidé d’abandonner les Grecs, pour ne pas pousser les Turcs dans le camp soviétique, les escadres de la Royal Navy, au large de Smyrne, n’interviennent pas et n’annulent même pas le concert prévu sur l’un des bâtiments de guerre. L’orchestre joue tandis que la ville est livrée aux flammes et que ses habitants sont violés et égorgés par les Turcs.

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Assaillant fou au couteau : la réaction ahurissante du gouvernement tunisien

Le 2 septembre, à Marseille, un Arabe de 35 ans attaquait et blessait 5 personnes à coups de couteau, avant de menacer une patrouille de police qui était venue à sa rencontre.
Il s’est avancé vers elle en brandissant ses grands couteaux, malgré les avertissements. Les policiers ont été évidemment contraints de lui tirer dessus. On peut voir la video de la fusillade sur internet, et elle ne laisse aucun doute sur le bien-fondé des tirs des policiers.
Il n’a pas survécu, ce qui a épargné aux Français une longue et coûteuse procédure judiciaire, ainsi qu’un coûteux séjour en prison, avant qu’il soit relâché pour pouvoir recommencer.

Mais ce qui s’est passé ensuite est ahurissant :

Le ministère des affaires étrangères tunisien a annoncé, dans un communiqué, avoir convoqué le chargé d’affaires par intérim de l’ambassade de France à Tunis pour lui faire part de sa « vive protestation ». Le ministère a précisé lui avoir demandé « de transmettre aux autorités de son pays le fait que la Tunisie considère cet incident comme un meurtre injustifié, et attend de la partie française toute la rigueur et la célérité nécessaires dans l’enquête ». (source)

Pour qu’un petit pays ose ainsi – au lieu de se confondre en excuses – se plaindre de la mise hors d’état de nuire de ses criminels les plus furieux en dit long sur la considération dont jouit la France dans le monde  : un paillasson pour ceux qui la submergent et pour ceux qui la voient de l’extérieur.
Il aurait fallu le laisser tuer les policiers et poignarder d’autres personnes jusqu’à ce qu’il se lasse ?!

Cela en dit aussi long sur la mentalité des dirigeants de ce petit pays musulman présentés comme raisonnables…

 

 

C’était un… 8 septembre

1429 : après s’être recueillie dans l’église Saint-Denis-la-Chapelle, Jeanne d’Arc est blessée, à la Porte Saint-Honoré, par les Anglais, alors qu’elle tentait de leur reprendre Paris. C’est à cet endroit exact que sera élevé, en 1874, l’actuelle statue de Jeanne d’Arc par Frémiet, qui deviendra un point de ralliement de la droite nationale.

Jeanne d’Arc à la porte Saint-Honoré lors du siège de Paris de 1429. Miniature issue du manuscrit de Martial d’Auvergne, Les Vigiles de Charles VII, vers 1484.

1565 : les Ottomans sont contraints d’abandonner le siège de Malte. C’est le coup d’arrêt de l’expansion ottomane en Méditerranée occidentale.

1760 : les Anglais prennent la ville de Montréal, durant la guerre de Sept ans.

1914 : dans la Marne, l’offensive allemande jusqu’alors victorieuse est arrêtée. On parle parfois, sur le plan militaire, de « miracle de la Marne », mais on oublie qu’un vrai miracle a été largement évoqué à cette occasion. Voir ici.

1940 : message du maréchal Pétain à la veuve de Frédéric Mistral : « je vois en lui l’évocation de la France nouvelle que nous voulons instaurer, en même temps que la France traditionnelle que nous vous restaurer. »

1943 : le jour même de la signature de l’armistice entre le roi Victor-Emmanuel et les forces alliées, l’aviation anglo-américaine déclenche contre les villes italiennes l’opération « Avalanche ». En une semaine, plusieurs centaines de raids aériens tueront plus de 43000 personnes parmi la population.

1944 : Charles Maurras, chef et penseur nationaliste et royaliste, âgé de 76 ans, est arrêté pour « faits de collaboration » et sera condamné à la prison à perpétuité pour « intelligence avec l’ennemi », bien qu’il fut sa vie durant d’une grande hostilité à l’Allemagne.
L’arrestation est faite sur ordre d’Yves Farge, nommé par De Gaulle « Commissaire de la République » pour la région rhodanienne. Farge était un dirigeant communiste, engagé dans la « Résistance » (seulement après la rupture du pacte germano-soviétique), qui reçut le « prix Staline pour la paix » (sic).

Maurras lors de son procès. Lyon, 1945.

1944 : le maréchal Pétain arrive à Sigmaringen, en Allemagne, où il a été emmené de force par les autorités allemandes, et où il refusera toute collaboration avec elles malgré leurs espérances.

1961 : à Pont-sur-Seine (Aube), attentat manqué contre la voiture du colonel de Gaulle. La charge explosive a perdu 90% de sa puissance à cause de l’humidité. Les organisateurs étaient de la mouvance de l’OAS, qui s’opposaient au retournement de veste de De Gaulle contre l’Algérie française.

C’était aussi un 8 septembre : le miracle de la Marne

Certains historiens parlent de l’événement militaire du 8 septembre 1914 comme d’un « miracle », toujours entre guillemets, ou du « petit miracle ».
« Miracle » entre guillemets qu’ils attribuent à diverses causes, mais jamais à Celle qui seule pouvait accomplir un (vrai) miracle, et qui l’a fait : la Sainte Vierge.

Le Courrier de la Manche, le 9 janvier 1917, avait compilé plusieurs témoignages.

« Un prêtre allemand, blessé et fait prisonnier à la bataille de la Marne, est mort dans une ambulance française où se trouvaient des religieuses. Il leur a dit : “Comme soldat, je devrais garder le silence ; comme prêtre, je crois devoir dire ce que j’ai vu. Pendant la bataille, nous étions surpris d’être refoulés car nous étions légion comparés aux Français, et nous comptions bien arriver à Paris. Mais nous vîmes la Sainte Vierge toute habillée de blanc, avec une ceinture bleue, inclinée vers Paris… Elle nous tournait le dos et, de la main droite, semblait nous repousser.” »

Un officier allemand :

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C’était un… 7 septembre

1087 : grièvement blessé à Mantes, Guillaume le Conquérant, duc de Normandie et roi d’Angleterre, s’éteint à Rouen.

1303 : Philippe le Bel fait arrêter le pape Boniface VIII au château d’Anagni.

1812 : Napoléon Ier bat les Russes à la bataille de la Moskova. C’est la plus sanglante bataille napoléonienne : plus de 80 000 morts.

1914 : 4 à 6 000 hommes sont transportés par plus de 700 taxis de Paris sur le front de la Marne dans la nuit du 7 au 8 septembre 1914. Cet acte symbolique, qui va rester comme l’épisode des « Taxis de la Marne », permet de retourner magistralement la situation lors de la première bataille de la Marne, menée par le général Joseph Galliéni, gouverneur du camp retranché de Paris (surnommé dès lors « le sauveur de Paris »), et le maréchal Joseph Joffre, commandant en chef, qui a arrêté l’avance allemande.

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Aux Etats-Unis, le meurtre sauvage et « gratuit » d’une jeune réfugiée ukrainienne (video)

Iryna Zarutska à gauche, et à droite Decarlos Brown Jr., son meurtrier.

Iryna Zarutska était une jeune Ukrainienne de 23 ans, qui avait fui la guerre dans son pays et était venue aux Etats-Unis, pensant y trouver la sécurité.

Mais le 22 août dernier, alors qu’elle était assise dans un train de banlieue en Caroline du Nord, en train de regarder son téléphone, un Noir assis derrière elle s’est tout à coup jeté sur elle et l’a frappée plusieurs fois au cou avec un couteau.
Après quelques dizaines de secondes, elle rendait l’âme, surprise et effrayée, tandis que son bourreau s’éloignait et que les passagers étaient médusés…

La police a publié une video des secondes précédant et suivant le meurtre :

Les autorités disent n’avoir pas déterminé pour l’heure de mobile à ce crime, mais comme souvent dans ces attaques soudaines et sans raison, les tueurs ne sont pas blancs et les victimes sont blanches. Ce n’est donc pas une attaque « au hasard ».
C’est la même chose en France.
Elle pensait trouver la paix en venant ici, mais a trouvé la barbarie, avec cet individu bien connu de la justice de son pays.
Les pays occidentaux ne sont en bien des endroits plus sûrs pour les Blancs, pour les raisons que l’on sait et que la loi du régime de Paris interdit de préciser.
De nos jours, en France, il ne faut pas tourner le dos aux gens qui ne nous inspirent pas confiance (restons vagues) ; de même qu’il ne faut pas, sur les quais de stations de métro ou train, rester au bord : il vaut mieux rester le dos près du mur, pour éviter d’être poussé soudainement à l’arrivée d’un train, « sans raison » par un « déséquilibré », mais généralement avec cette même « coïncidence » raciale.

Jack Lang renonce à diffuser un documentaire à sa gloire co-financé par Jeffrey Epstein

Le Canard enchaîné rapporte :

« Forger sa propre légende, c’est tout un art, maîtrisé à merveille par Jack Lang. « Je suis moi-même terrassé par la multitude des choses que j’ai été appelé à soutenir ou à imaginer », a-t-il récemment lâché, en toute humilité (France 5). Pour laisser à la postérité une trace de ce grand homme, des amis dévoués à sa cause avaient créé, en 2018, une « association de promotion pour les politiques culturelles des années 1980 à 1990 au XXe siècle ». […] »

Les Dernières Nouvelles d’Alsace précisaient en 2020 qu’à l’origine, l’association s’est constituée pour recevoir un don de 57 897 dollars du milliardaire américain Jeffrey Epstein.

C’est le seul don connu de cet homme en France, et ce, quelques mois avant son arrestation pour corruption et trafic sexuel de mineures aux Etats-Unis, puis son très étonnant « suicide » en prison.

« le film, en réalité, était tout à la gloire de Lang » se remémore un témoin du tournage. (id.)

Mais voici que « l’ancien ministre de la Culture a abandonné dans le secret » le documentaire.
Traînant déjà derrière lui des rumeurs terribles en matière de mœurs et de mineurs – c’est le moins qu’on puisse dire – Lang a dû vouloir éviter d’attirer l’attention sur lui par le biais d’Epstein…

C’était un 6 septembre… :

1683: décès de Jean-Baptiste Colbert.
Initialement chargé des finances du Royaume, Colbert, qui meurt à 64 ans, a exercé peu à peu son influence dans tous les domaines, tout au long des 22 années passées au service du Roi-Soleil. D’abord Commissaire aux Armées, à la fin de la Guerre de Trente Ans, Colbert à la mort de Mazarin, est nommé Intendant ce qui lui permet de gagner la confiance de Louis XIV.
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C’était un 5 septembre…

Lecture de l’ordre de déportation. Tableau de Charles Jefferys

1755 : début de l’expropriation et de la déportation impitoyable des Acadiens par les Anglais, connue sous le nom de « Grand dérangement ». Les Acadiens, Français installés en Amérique du Nord, peuplaient plusieurs régions du Canada actuel. La plupart d’entre eux furent victimes de ce « nettoyage ethnique » par les Britanniques : 15 000 déportés environ, dont beaucoup mourront au cours de ces tribulations, et dont de nombreuses familles furent dispersées.

1792 : fin des « Massacres de septembre », commencés trois jours plus tôt.
Plus de 1 500 « suspects » ont été exécutés par la République dans les prisons parisiennes.

1793 : Bertrand Barrère de Vieusac, président de la Convention, déclenche une nouvelle vague d’arrestations. Il fait voter un décret stipulant : « la Terreur est à l’ordre du jour ». 12 000 personnes périront sans jugement parmi les 40 000 qui disparurent pendant la période.

1914 : héraut de Jeanne d’Arc et chantre de la patrie charnelle, l’écrivain Charles Péguy, lieutenant au 276e RI, tombe d’une balle en pleine tête à Villeroy (Seine-et-Marne), à la veille de la bataille de la Marne, alors qu’il entrainait ses hommes.
Après sa mort, Maurice Barrès écrit :
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C’était un… 4 septembre

1870 : Léon Gambetta et Jules Ferry proclament la IIIe République (qui durera jusqu’au 10 juillet 1940), alors que les troupes françaises subissent une déroute face aux Prussiens et que Napoléon III a dû capituler deux jours plus tôt à Sedan.

1944 : Le gouvernement anglais décide le renvoi en Union soviétique de tous les réfugiés russes faits prisonniers par les troupes alliées (dont des rescapés de l’armée Vlassov). Le 31, un bateau dépose à Mourmansk le premier contingent de « rapatriés ». Ceux-ci sont aussitôt dirigés vers le Goulag.

1984 : Jean-Pierre Stirbois, candidat du Front national (non dédiabolisé, c’est-à-dire antisystème), réalise la première percée électorale du parti en obtenant 17% des suffrages à Dreux (Eure-et-Loir). C’est le « tonnerre de Dreux ».

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La justice n’est pas toujours sévère aux Etats-Unis… Et quelques statistiques raciales

L’assassin Ronald Exantus

On a généralement l’image, en France, d’une justice américaine très sévère, pour tout le monde, sans privilèges. La réalité est plus nuancée.

Exemple :

Dans la nuit du 6 décembre 2015, un Noir nommé Ronald Exantus était entré dans une maison du Kentucky et avait attaqué la famille à coups de couteau.
Il a gravement blessé le père et ses deux jeunes filles ; quant au fils de six ans, il a été poignardé à plusieurs reprises à la tête avec une telle force que la lame du couteau s’est pliée. Quelle haine, quelle rage chez cet homme qui a choisi une famille blanche pour cible.
L’assaillant a été condamné à 20 ans de prison en 2018, après avoir été déclaré non coupable du meurtre pour cause de folie, et coupable avec circonstances atténuantes (folie) des accusations d’agression.
Mais il vient d’être libéré, à 42 ans, à la moitié de sa peine, pour bonne conduite… Il est donc libre.
Le père du garçonnet assassiné est lui en dépression : « je reste au lit. Je veux seulement mourir ».
Quelques images en anglais :

Pour rappel, quelques données concernant les meurtres aux Etats-Unis (où les statistiques ethniques sont autorisées) :

Les femmes noires commettent pas loin de deux fois plus de meurtres que les hommes blancs. Pour les hommes noirs, c’est 18 fois plus.

Et aussi :

Enfin, pour les gauchistes et soraliens qui considèrent que ces chiffres sont dus à la pauvreté, ce graphique qui représente le pourcentage d’être incarcéré aux Etats-Unis un jour donné, en fonction du rang de revenu des parents :

Les Noirs qui sont dans les 1% des familles les plus riches aux États-Unis commettent autant de crimes que les Blancs qui sont dans les 35% les moins riches.
La race compte plus que la classe.