Morts durant la Première guerre : honteuse et vicieuse manipulation du Parisien

Les militants-journalistes des gros médias ont une nouvelle technique perverse pour faire passer dans l’opinion publique des mensonges au service de leur idéologie.

Ils mettent un titre qui induit en erreur le lecteur, et même si l’article fait comprendre autre chose que le titre, comme la plupart des gens ne lisent sur les réseaux sociaux que le titre (sans cliquer sur l’article), ils se font berner.

Exemple avec le très cosmopolite Parisien, qui n’a pas honte d’instrumentaliser les morts pour la France :

« Martin » est un des noms les plus répandus en France.
En revanche, le prénom « Martin » l’est beaucoup moins, et fort peu à l’époque de la Première guerre.

Victor Alexandre,  (photo Twitter)

A quoi joue le quotidien et son rédacteur Victor Alexandre ? Quel est le but de ce titre ?
Le Parisien joue sur le fait que les gens vont penser, en lisant le titre sur facebook, au nom Martin et se dire que les arabo-musulmans représentent une énorme proportion des tués et donc, probablement, qu’il faudrait accepter aujourd’hui d’être remplacés.

Les prénoms les plus portés par les morts pour la France. Cliquer pour mieux voir.

Quiconque jette un coup d’œil sur les monuments aux morts de métropole se rend d’ailleurs bien compte que l’immigration massive est un phénomène très récent.

Autre exemple récent, avec le Huffington Post.
Le « journaliste » fait croire que Marine Le Pen s’offusque du choix d’une Rwandaise en tant que telle, alors que le motif est évidemment autre (la Rwandaise combat le français dans son pays), comme le dit l’article :