Agroalimentaire : des calamars issus d’anus de cochon ?

Calamar en rondelles

La députée néerlandaise au parlement européen Esther de Lange s’est un peu penchée sur les pratiques fumeuses de l’industrie agro-alimentaire en Union européenne.
Interrogée par la presse néerlandaise, elle se dit « médusée » par ce qu’elle a vu lors de son enquête.

Selon elle, de nombreux calamars qui atterrissent sur les tables n’auraient jamais vu la mer.
Et pour cause, ils sont issus d’anus de cochons.
On a beau dire tout est bon dans le cochon, c’est quand même gênant.

Autre exemple récolté par l’eurodéputée : il y a quelques années, du sel d’épandage s’est retrouvé dans la chaîne alimentaire en Pologne puis dans d’autres pays. Le sel marin n’avait pas vu la mer non plus.

Deux exemples qui en disent long sur les fraudes dans le secteur alimentaire, donc.

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Un apiculteur landais aurait trouvé l’arme fatale contre les frelons asiatiques

« Depuis dix ans qu’il est implanté en France, le frelon asiatique fait maintenant partie de la biodiversité malgré tout ce qui a été mis en œuvre pour l’éradiquer. Il a conquis plus de soixante départements et a été signalé en Belgique, en Espagne et au Portugal et n’a pas fini de faire parler de lui. L’intérêt qu’il porte aux abeilles, source abondante de protéines, menace l’apiculture de loisirs. Toutefois, selon Francis Ithurburu, un prédateur peut lui être opposé.

Ce passionné d’apiculture s’est penché sur le frelon asiatique et l’a étudié de près. Jetant un coup d’œil en arrière, il s’est souvenu que dans la cour de nos grands-pères, les volailles côtoyaient les ruches. Il a donc tenté l’expérience, sachant de plus que le jeune poulet a grand besoin de protéines pour sa croissance. »

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Monsanto: les 10 abominations qui n’ont jamais empêché l’entreprise de continuer à nuire

1. Saccharine

En 1901, John Francis Queeny a fondé la société Monsanto Chemical Works, à St. Louis, Missouri, pour produire des substituts de sucre pour le Coca Cola . Au début des années 70, des études , dont une étude de l’Institut national du cancer Etats-Unis, a révélé que la saccharine provoque le cancer chez les rats et les autres mammifères.

2. BPC (biphényles polychlorés)

Dans les années 20 du siècle dernier, Monsanto a commencé à produire des biphényles polychlorés, un refroidissement des éléments pour les transformateurs électriques, les condensateurs et les moteurs électriques. Un demi-siècle plus tard, « l’Environmental Protection Agency US Environmental » a présenté des preuves que les PCB provoquent le cancer chez les animaux et chez les humains. En 1979, le Congrès américain interdit sa production. La Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants  interdit les PCB dans le monde entier en 2001. En 2003, Monsanto a payé plus de 600 millions d’habitants de Anniston (Alabama) où se trouvait la production de ces produits chimiques, qui ont souffert de graves problèmes de santé comme le cancer, les maladies du foie et des maladies neurologiques. Selon la recherche menée aux États-Unis en 2011, ce produit chimique continue à apparaître dans le sang des femmes enceintes, alors que d’autres études démontreraient un lien entre les PCB et l’autisme.

3. Polystyrène

1941 Monsanto s’intéresse aux emballages en plastique et en synthétique pour la nourriture.

 Dans les années 80, l’Environmental Protection Agency américaine l’a placé comme le cinquième produit chimiques dont la production génère des déchets les plus dangereux.

4. Les armes nucléaires et la bombe nucléaire

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L’arnaque de l’« élevé en plein air », ou comment choisir ses oeufs et poulets

« L’histoire de la vache folle et des « farines animales » a tellement écœuré les populations que même les poulets sont aujourd’hui étiquetés « élevés au grain », comme si c’était un gage de qualité.

Mais vous, cher lecteur, qui aviez des grands-parents à la campagne, ou qui avez eu des « leçons de choses » à l’école primaire, vous savez que le poulet n’a jamais été un animal végétarien, et encore moins un consommateur de maïs !

Le snack préféré de la poule, c’est un ver de terre dodu. Donnez-lui la couenne de votre jambon, elle sera au ciel !

Si vous lui en laissez la liberté, votre poule passera sa journée à gratter la terre à la recherche d’asticots, d’insectes. Si elle n’en trouve pas, elle picorera des herbes, des plantes vertes, des petites pousses, des racines, et, occasionnellement seulement, des graines.

C’est ce qu’il faut à une poule pour être heureuse, en bonne santé, et faire de bons œufs. Mais encore faut-il pour cela qu’elle ait l’occasion de sortir !

Poulets d’usine « élevés en plein air »

Tout l’art du marketing est de jouer avec des expressions qui trompent le consommateur, sans en avoir l’air.

Ainsi, au supermarché, vous avez remarqué que vous pouvez acheter des œufs de poules « élevées en plein air ». Sur l’emballage, la photo d’une belle cocotte rousse picorant à son aise dans un pré d’herbe verte et grasse, par temps ensoleillé.

Or, voici ce qu’impose la législation pour avoir droit au label « élevées en plein air » :
« En journée, accès à un parcours extérieur en majeure partie recouvert de végétation (4 m2 de terrain par poule). »

Eh bien je prétends que seul l’expert en marketing détectera le piège caché sous cette formule.
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Nouvelles preuves des dangers du cannabis pour le cerveau

On connaissait depuis de nombreuses années déjà les dangers du cannabis pour le cerveau, une nouvelle étude démontre aujourd’hui que le quotient intellectuel diminue fortement chez les jeunes consommant régulièrement cette drogue dite « douce ».

Le cerveau humain en plein développement de l’adolescent est victime de la consommation régulière de cannabis.

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Alerte dans nos assiettes

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Plus de quatre-vingts substances chimiques, dont certaines susceptibles d’être cancérigènes, sont ingérées en une seule journée par un enfant de 10 ans à travers ses repas composés suivant les recommandations du ministère de la santé, selon une étude du mouvement Générations futures – qui milite notamment pour une agriculture sans pesticides et sans OGM – et du réseau Health and Environnement Alliance, en partenariat avec WWF-France et le Réseau environnement santé. (Lire l’article du Monde, en édition abonnés, « Des résidus chimiques dans l’assiette des enfants »).

Les associations, qui lancent une campagne de sensibilisation intitulée « Cancer et environnement », ont acheté dans des supermarchés de l’Oise et de Paris entre juillet et septembre les denrées alimentaires généralement consommées en quatre repas et un encas en une journée par un enfant d’une dizaine d’années. Ces repas-types, incluant les recommandations officielles – telles que cinq fruits et légumes frais, trois produits laitiers et 1,5 litre d’eau par jour – ainsi que des friandises, ont été examinés par plusieurs laboratoires indépendants en France et en Belgique pour y détecter la présence de substances chimiques, pesticides, métaux lourds et autres polluants.
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Le business du commerce équitable

Documentaire non dénué d’intérêt que l’on peut visionner pendant quelques jours ici :

« Le business de l’éthique, qui prétend réconcilier le porte-monnaie et la morale, brasse des milliards d’euros. Du Mexique au Kenya, Donatien Lemaître a décortiqué toute la filière. Il montre comment l’idée généreuse du commerce équitable est de plus en plus récupérée par des as du marketing ou des multinationales en quête de virginité. »

Merci à Josselin

450 euros d’amendes pour des légumes clandestins

Cela s’est passé à Lavelanet, en Ariège.
Des maraîchers ont reçu la visite d’un agent de la répression des fraudes.
Leurs torts ? Vendre des plants de tomates (classiques) non inscrites au catalogue officiel…

En 1954, 876 variétés de plants étaient inscrits sur le catalogue, contre 182 en 2002.
Il y a une standardisation des semences en cours, au profit de Monsanto et autres monstruosités capitalistes…

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France : 93 % des cours d’eau sont empoisonnés par des pesticides

Durant ses travaux, le CGDD a recherché dans ses points de mesure 550 pesticides et parmi ces produits, 377 – soit 68 % – ont été décelés au moins une fois.
Pire, 19 % des points présentent plus de 20 pesticides différents (contre 15 % en 2010). Dans les départements d’outre-mer (Martinique, Guadeloupe et La Réunion), cette statistique tombe à 5 %.

Le rapport précise que les 15 substances pesticides les plus quantifiées dans les cours d’eau de France métropolitaine en 2011 sont en majorité des herbicides ou leurs dérivés.

Autre constat de cette étude : certains pesticides interdits aujourd’hui ont été détectés alors qu’ils ne sont plus utilisés. C’est le cas de l’atrazine et du métolachlore, interdits en 2003, ou du diuron (fin 2008). Une présence persistante qui s’explique par la lente dégradation de ces produits chimiques : employés durant de longues années, ils persistent dans l’environnement et sont toujours une source de pollution.

Source : France Info

Solutions locales pour un désordre global

Le documentaire de Coline Serreau cherche à poursuivre au delà des documentaires « environnementaux » récents en montrant des solutions en marche. La réalisatrice y croise tout autour du monde des hommes et des femmes qui mettent en œuvre leur propres solutions aux désordres environnementaux.

Michel Desmurgets : la vérité scientifique sur les effets de la télévision

Conférence très intéressante sur les effets de la télévision sur le développement de l’attention, du langage, du sommeil, de l’obésité, de l’espérance de vie et de l’intelligence. A regarder IMPÉRATIVEMENT si vous avez la télévision dans votre foyer. « La vérité scientifique sur les effets de la télévision » est un ouvrage écrit par Michel Desmurgets, chercheur français spécialisé en neurosciences cognitives. Son livre est disponible ici.

Don du sang : vers une autorisation pour les invertis…

Après avoir tenté de dénaturer le « mariage » au nom de l’égalité, quoi de plus logique que de laisser les invertis donner leur sang ?
Ce qui était jusqu’à présent interdit par précaution sanitaire.
C’est un  « retard inadmissible » que les parlementaires socialistes veulent s’empresser de rattraper. Les tractations commencent :

Olivier Véran, député PS de l’Isère, a remis ce mardi un rapport au ministère de la Santé sur la filière sang en France. Après un constat plutôt sévère, le député fait 30 propositions. L’élu souhaite notamment que les homosexuels puissent à nouveau donner leur sang. (Europe 1)

Monsieur Véran souhaite notamment « renforcer la sécurité du don ». Rien de plus logique lorsque l’on sait que :

Seulement 25 % des personnes interrogées (NDLR : des invertis) déclaraient n’avoir eu des rapports qu’avec un partenaire stable, 29 % déclaraient un partenaire stable et des partenaires occasionnels et 36 % n’avaient eu des rapports qu’avec des partenaires occasionnels. Près de la moitié de ces hommes déclaraient avoir consommé du poppers (NDLR : une drogue), 33 % du cannabis et 14 % avaient eu des abus d’alcool répétés durant la même période.

Saumon norvégien : danger pour la santé !

Le gouvernement norvégien vient de recommander, pour les femmes enceintes et jeunes, de ne pas manger de saumon plus de deux fois par semaine. Il a été forcé de reconnaître – tardivement – que ce poisson gras est aussi bourré de produits toxiques.

« Le gouvernement aimerait surtout que la nouvelle ne traverse pas la frontière. Pensez : la Norvège a été en 2012 à l’origine de 60% de la production mondiale de saumon atlantique, le pays a produit près d’1,2 million de tonne de ce poisson. Et les 29 milliards de dollars annuels générés par les exportations de ce secteur-clé de l’économie pourraient s’en trouver affectés.

Un Français consomme environ 2,3 kilos de saumon norvégien en moyenne par an. La France a importé, en 2012, quelque 161 175 tonnes de saumon norvégien, soit environ 15% de la production du pays nordique. C’est le premier marché d’export, devant la Russie. »

Le saumon est réputé bon pour la santé (coeur, circulation, etc.). Mais quand ce poisson est nourri aux farines animales, aux antibiotiques et même aux pesticides, on peut imaginer que c’est très différent… La pharmacologue Claudette Béthune, qui a travaillé pour l’organisme norvégien de sécurité alimentaire (le Nifes), avait clairement tranché en 2011 :

« La présence de polluants tels que les dioxines et le PCB dans le saumon génère un risque de cancer, qui, pour les personnes jeunes, dépasse les bénéfices attendus du saumon sur la santé. »

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l’UNESCO préconise d’apprendre la masturbation aux enfants de 5 ans…

Les mondialistes s’attaquent aux enfants de plus en plus jeunes. Les psychologues, pédiatres et autres pervers qui ont pondu ce soit disant « rapport », souhaitent avilir la jeunesse européenne (dans un premier temps) pour la rendre plus malléable. Il n’y a pas besoin d’être catholique pour être effrayé et révolté par ce type de rapport/projet, le bon sens suffit.

Voici le programme :

Le rapport de l’UNESCO, appelé « Directives internationales pour l’éducation sexuelle », sépare les enfants en quatre groupes d’âge : 5 à 8 ans, 9 à 12 ans, 12 à 15 ans, et 15 ans à 18 ans.

En suivant le programme volontaire Onusien sur le sexe, il sera dit à des enfants ayant tout juste 5 ans que « toucher et frotter ses parties génitales s’appelle la masturbation » et que les parties privées « procurent du plaisir une fois touchées par quelqu’un. »

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