L’UE veut contrôler davantage les médias : quand l’européisme révèle son caractère totalitaire

The Telegraph, un site d’information britannique, se fait l’écho d’un rapport d’experts de « haut niveau », lequel établit notamment que « tous les pays de l’UE devraient disposer d’un conseil indépendant des médias« , lequel doit « disposer de réels pouvoirs de sanction comme le fait d’imposer des amendes, d’ordonner la diffusion d’excuses publiques ou le retrait du statut de journaliste » . En bref, le rapport préconise d’instaurer un contrôle accru des médias, par instances de supervision nationales, lesquelles rendraient compte à la Commission.

Réagissant à cette annonce, le député conservateur britannique Douglas Carswell a déclaré que ce rapport illustre « le genre d’état d’esprit que je m’attendrais à rencontrer en Iran pas en Occident. Cette idée loufoque nous en dit un peu plus quant au futur de la réglementation de la presse. Elle laisse entendre que le projet européen est finalement incompatible avec la notion d’une société libre » .

En réalité, nous pouvons nous indigner, mais non pas être surpris. Rien d’étonnant que l’Union Européenne prenne les moyens de contrôler de plus près la presse et les journalistes : son caractère totalitaire est inscrit dans son ADN. Conçue à rebours des exigences du principe de subsidiarité, lequel n’admet pas qu’une société d’ordre supérieur confisque les prérogatives d’une société d’ordre inférieur, chaque fois que celle-ci peut les assumer par elle-même, elle apparaît comme un pouvoir lointain qui s’impose directement et indistinctement à chaque individu, au mépris de la responsabilité des corps intermédiaires. Or une telle structure doit disposer d’un appareil aux ordres, qui puisse notamment centraliser l’information.

Ce à quoi nous assistons était déjà écrit : encore fallait-il discerner les implications du projet européen, dès qu’il a été mis en place. Big brother is watching you !

L’Angleterre bouscule le projet UE

UE : une prison pour les nationsLe premier ministre britannique David Cameron a proposé hier la tenue d’un référendum sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’UE d’ici 2017, s’il est réélu premier ministre en 2015 : « Ce sera « un référendum sur une question claire: in/out » (« dedans ou dehors ») et il interviendra dans la première moitié de la prochaine législature qui commence en 2015 », a dit le chef du gouvernement.

« Quand nous aurons négocié un nouvel accord » sur les relations de la Grande-Bretagne avec l’UE, « nous offrirons aux Britanniques un référendum avec un choix très simple: rester au sein de l’UE sur cette nouvelle base ou en sortir complètement. Ce sera un référendum sur l’appartenance ou non à l’UE », a déclaré Cameron lors de ce discours-clé sur l’Europe.

Ceci est objectivement une bonne nouvelle : le simple fait de mettre en avant cette option va relancer un utile débat sur le bienfondé de la funeste entreprise européiste et les ardeurs mondialistes de certains en prennent un coup.

Hollande, président de la Ripoublique française, n’a pas perdu de temps avec sa très « démocratique » déclaration : « il n’est pas possible de négocier l’Europe » ni d’utiliser une telle consultation pour « la diminuer ».

Conférence de Pierre Hillard : « Aux sources du mondialisme »

Pierre Hillard est docteur en sciences politiques et essayiste français (livres ici). Dans cette conférence, il dresse une vue d’ensemble des méthodes et projets du mondialisme.

Partant de ses travaux sur les minorités et les indépendantismes, il remonte progressivement jusqu’aux sources messianiques les plus anciennes de ce projet. Il nous livre ici une analyse encore inédite des ambitions et des visées mondialistes. L’avènement d’un État mondial est-il inéluctable ? Quelle métaphysique sous-tend cette ambition totalitaire ? Qui veut rebâtir Babel ? Qu’est-ce que le « Noachisme » ? Qui veut une nouvelle religion mondiale ?

Après avoir exploré les arcanes des organisations supra et infra-étatiques qui veulent dissoudre les nations, il oriente maintenant ses travaux sur ce qu’il estime être le cœur et la matrice du mondialisme mais aussi son but final : l’établissement d’une religion mondiale pilotée par un peuple de prêtres de l’humanité.

Cette religion, le Noachisme, ne pouvant pleinement s’étendre qu’après la destruction du principal obstacle sur son chemin : la religion catholique romaine.

Source : Les Non-alignés

« Les 13 lignées sataniques »

C’est un best-seller international – très prisé dans les milieux « complotistes » – qui vient d’être traduit et publié en français sous ce nom.
Avec pour sous-titre La cause de la misère et du mal sur Terre, rien de moins !
Ecrit par le néerlandais Robin de Ruiter avec l’américain Fritz Springmeier, cet ouvrage s’intéresse à de riches et puissantes familles (les treize lignées) qui selon les auteurs asservissent actuellement le monde et mettent en place le Nouvel Ordre Mondial.

On peut se procurer ici ce livre de 318 pages.

Voici la quatrième de couverture :

« Il n’aura pas échappé à votre attention que notre société ne se porte pas très bien. Les gens sont mal à l’aise, nerveux et ne se sentent pas en sécurité. Parallèlement, notre vie privée revêt à nos yeux de moins en moins d’importance (…) nous confions l’ensemble de nos informations privées au système et en sommes totalement dépendants pour nos besoins monétaires et autres.

Beaucoup se demandent: « Où est-ce que le monde va? Où nous mène cette route? Qu’est-ce qui nous attend encore? Comment en sommes-nous arrivés à ce chaos? »

Traditionnellement, nous sommes éduqués de façon à faire confiance à nos gouvernements, et nous sommes convaincus qu’ils se soucient de nous. C’est pourtant une grave erreur. Sous la surface de la politique officielle se déroule un processus intellectuel et social compliqué. Les dirigeants visibles du monde ne sont que des marionnettes dirigées depuis les coulisses par un pouvoir invisible.
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Gérard Depardieu est russe…

« Vladimir Poutine a signé un décret accordant la citoyenneté russe au Français Gérard Depardieu« , a brièvement communiqué le Kremlin hier. C’est donc fait : le président Vladimir Poutine a accordé la citoyenneté russe à l’acteur français, Gérard Depardieu, ainsi que l’y autorise la Constitution russe. Un coup d’éclat qui intervient en pleine polémique en France concernant l’exil fiscal de l’acteur.

Que Gérard Depardieu proteste contre les augmentations d’impôts français visant les plus riches, soit. Mais l’appartenance à la patrie n’est pas l’objet d’une simple démarche administrative. Gérard Depardieu est fils de France parce que la France est la terre de ses pères, lesquels l’ont constitué héritier, dépositaire d’un trésor qui ne lui appartient pas. Il est fils de France parce que le sang de France coule dans ses veines ! Qu’est ce qui vient justifier qu’on lui octroie la nationalité russe ? Une patrie peut certes être une patrie d’adoption : Louis XIV n’a-t-il pas naturalisé Lully ? Mais celui-ci avait servi la France, et lui avait donné quelque chose de son génie. Ici, le caractère manifestement arbitraire d’une telle naturalisation laisse penser que la nationalité, ici l’appartenance à l’héritage et à la terre de Russie, est bradé. Ou bien le mot « brader » n’a pas de sens. Car de quel enracinement dans l’histoire, dans le peuple ou dans la terre de Russie Depardieu peut-il se prévaloir ?

Dans le même temps, on s’étonne que la gauche vienne jouer les vierges effarouchées, alors qu’elle considère la nation comme une structure dépassée et que sa logique progressiste postule l’émancipation de tout enracinement familial, national, moral ou culturel. L’homme de gauche n’est-il pas d’abord citoyen du monde ? La gauche n’est-elle pas la première à vouloir l’effacement des frontières ? Qu’elle ne vienne donc pas parler de patriotisme ! Être patriote, ce n’est pas simplement payer des impôts, car l’amour de la patrie ne saurait consister exclusivement dans un rapport à l’argent : il est d’abord la défense d’un héritage que la gauche n’a eu de cesse de vouloir dilapider !

A 64 ans, Gérard Depardieu déclare qu’il compte néanmoins s’installer en Belgique. C’est l’histoire d’un Français qui vit en Belgique et qui prend la nationalité russe…

JdR

Les Français seraient plus nombreux à regretter le franc

Ca reste un sondage mais ne boudons pas cette information réjouissante.

Un sondage Ifop publié hier indique que « 60% des Français regrettent le franc ». La critique de la monnaie d’occupation européiste ne cesse de monter : en 2002, année de son introduction, les sondés n’étaient que 39% à regretter notre monnaie nationale.

Simple nostalgie, dégradation de l’économie à laquelle l’euro aurait contribué ou alors patriotisme ? Le sondage ne précise pas la motivation des personnes interrogées.

Quoiqu’il en soit, le projet mondialiste suscite moins d’adhésion qu’avant, au moins sur ce point.

Le Vatican appelle au mondialisme

Contre-info dénonce régulièrement les menées mondialistes, instiguées par divers courants, lobbies ou sectes, à l’encontre de l’ordre naturel, du réalisme et du patriotisme les plus élémentaires.
Il ne serait pas honnête de notre part de nous taire quand elles viennent d’où elles ne devraient pas.

Les autorités vaticanes modernes, depuis l’aggiornamento religieux du concile Vatican II, ont aussi une nouvelle approche politique.
Les prises de position ne manquent pas, y compris au plus haut niveau, qui célèbrent la démocratie, qui condamnent le nationalisme, qui promeuvent le mondialisme…

Mise-à-jour déc. 2012 :  devant l’Assemblée plénière du Conseil Pontifical pour la justice et la paix le 3 décembre 2012, Benoît XVI a réitéré son appel à une autorité mondiale, en se référant à l’encyclique Pacem in terris de Jean XXIII, qui déjà faisait profession de foi mondialiste en 1963, on a tendance à l’oublier. «  Le bienheureux Pape Jean XXIII a motivé l’engagement pour la construction d’une communauté mondiale, avec une autorité correspondante, justement à partir de l’amour, et précisément de l’amour pour le bien commun de la famille humaine. »

En 2009, Benoît XVI avait déclaré dans son encyclique Caritas in Veritate qu’il était urgent que soit mise en place une véritable « Autorité politique mondiale » « pour le gouvernement de l’économie mondiale, pour assainir les économies frappées par la crise (…) ».
Des arguments similaires à ceux d’Attali, vous l’aurez remarqué.
Puis, le Saint-Siège, par la voix du « Conseil pontifical Justice et Paix », avait enfoncé le clou au travers d’un document de 18 pages paru en octobre 2011, intitulé : « Pour une réforme du système financier international dans la perspective d’une autorité publique à compétence universelle ».
On y appelle à la création d’une autorité politique mondiale et d’une banque mondiale, pour entre autres, protéger la démocratie.
Morceaux choisis :
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Triste Noël pour 25 millions d’Européens…

[Tribune libre] …ces travailleurs sans emploi, souvent licenciés pour cause de « délocalisation », ces victimes du mondialisme, réel prédateur de nos secteurs économiques, ce mondialisme auquel les marchands du temple vouent un réel culte  fanatique.

Souvenons-nous de la fermeture de l’usine General Motors d’Anvers (OPEL) qui ferma définitivement ses portes le 23 décembre 2010. Cette usine, la plus ancienne de G.M. en Europe, occupait plus de 12.000 ouvriers il y a 25 ans et durant son activité (l’une des plus productives du groupe) avait construit plus de 13 millions de voitures. Après Renault à Vilvorde en 1997, ce fut un second coup dur pour le secteur automobile belge…avant l’annonce de l’arrêt de l’usine Ford à Genk il y a quelques semaines. Mais ce n’est pas terminé, car l’industrie automobile et l’économie de notre continent vont être confrontées aux dures réalités de la concurrence  en 2013, du fait de la surcapacité de production automobiles dans 40 usines sur la centaine installée en Europe.

Plus de 60.000 entreprises françaises auront mis la clef sous le paillasson en 2012 et ce sont des centaines de milliers de travailleurs qui auront grossi les rangs d’un chômage structurel qui, loin de se dégonfler, ne fait que croître malgré les déclarations lénifiantes des gouvernants.

Partout en Europe les difficultés s’accroissent pour l’industrie (et l’activité économique en général) mais personne ne veut stopper l’immigration sauvage qui, au grand bonheur des marchands de soupe, exerce un dumping sur le coût de la main d’œuvre et éjecte nos travailleurs du marché de l’emploi ! Continuer la lecture de « Triste Noël pour 25 millions d’Européens… »

Qui se cache derrière l’Union Européenne ?

Analyse intéressante qui s’interroge sur l’identité de ceux qui tirent les ficelles de l’Union Européenne. Car ces technocrates non-élus, entre les mains desquels l’Union a remis son destin, s’ils ne représentent pas le peuple duquel ils ne sont pas issus, servent cependant des intérêts…

Bellefont-Belcier : le château est racheté par les Chinois

Un grand cru classé de Saint-Emilion, Bellefont-Belcier, vient d’être racheté par un industriel chinois. Un grand cru qui appartenait depuis 1994 à trois associés, Dominique Hébrard, Alain Laguillaumie et Jacques Berrebi.

« C’est l’acquisition la plus prestigieuse en termes de notoriété et de prix en France », déclare Frank Lagorce, l’intermédiaire mandaté qui a conduit la vente. Bellefont-Belcier devient ainsi le premier grand cru classé acquis par un investisseur chinois dans le bordelais. Alain Laguillaumie, actionnaire majoritaire, a en effet remis les clés de ses 20 hectares, la semaine dernière, à Monsieur Wang, riche industriel de 45 ans possédant 1% des minerais de fer en Chine et spécialisé dans son extraction.

Un cas loin d’être isolé. Si même les produits du terroir ne sont pas suffisamment enracinés dans notre Histoire pour demeurés français, c’est la France qui, à l’heure de la mondialisation, se vend morceau par morceau…

Goldman Sachs finalise sa prise de contrôle économique sur l’Europe

A la surprise générale, le chancelier de l’Échiquier britannique, Georges Osborne, a annoncé lundi 26 novembre la nomination de Mark Carney, 47 ans, actuel gouverneur de la Banque centrale du Canada, au poste de gouverneur de la Banque d’Angleterre. Le nouveau patron de la Bank of England (BoE) doit succéder à l’actuel gouverneur Mervyn King en juin 2013.

Mark Carney a fait des études à Harvard et Oxford, puis travaille treize ans pour la compagnie Goldman Sachs International à Londres. Il s’impliquera notamment dans l’économie post-apartheid de l’Afrique du Sud ainsi que dans les opérations de Goldman Sachs liées à la crise financière russe de 1998 , en conseillant la Russie de parier contre la capacité du pays à rembourser sa dette.

La nomination de Carney survient à peine six mois après sa participation à la conférence du Groupe Bilderberg de 2012 à Chantilly, en Virginie, une réunion annuelle de plus d’une centaine de personnes les plus puissantes de la planète, qui usent régulièrement de leur position afin d’imposer certains choix … ou nominer certains hommes.

La présence de Carney à la réunion du Bilderberg de cette année lui a sans aucun doute permis de gagner les faveurs des membres du groupe pour le poste de gouverneur de la Banque d’Angleterre, tout comme pour d’autres sommités, comme Herman Van Rompuy, qui a été choisi comme président de l’Union européenne, quelques jours après avoir assisté à un dîner avec le Groupe Bilderberg.
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Pierre Hillard sur Radio Courtoisie

Pierre Hillard, chercheur en géopolitique et spécialiste du mondialisme (livres ici), exposait cette semaine ses analyses au micro d’Yves-Marie Laulan, sur Radio Courtoisie.
A écouter pour se familiariser ou se mettre à jour sur la question mondialiste.

2e partie :
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Renaud Camus : « L’Europe est en train de changer de peuple, donc de civilisation »

L’écrivain Renaud Camus participait, le 13 novembre dernier, à l’émission Ce soir ou jamais, sur France 3. Il y a dénoncé ce qu’il appelle « le grand remplacement », c’est-à-dire la substitution de population, et par là de civilisation, dont l’Europe est actuellement le théâtre, et dont les leviers sont évidemment l’immigration de masse et la démographie.