Grèce : deux morts et un blessé grave chez l’Aube dorée

George Fountoylis, 26 ans, et Manos Kapelonis, 22 ans, martyrs et héros de la nation grecque

C’est une nouvelle étape dans la dure répression que subit le mouvement nationaliste grec : après l’incarcération arbitraire de son président et de certains de ses chefs, après la suppression pure et simple des subventions auxquelles l’Aube dorée avait droit, voici l’heure des assassinats.

Ce vendredi soir en effet, deux inconnus ont ouvert le feu devant les locaux de l’Aube dorée à Héraklion, en banlieue d’Athènes.
Descendus d’une moto, ils ont tiré à bout portant à l’arme automatique sur les gens qui se trouvaient devant le siège du mouvement, avant de prendre la fuite. Ils n’ont actuellement pas été arrêtés.
Deux jeunes Grecs sont morts : George Fountoylis et Manos Kapelonis, et un troisième est gravement blessé.

Dans un communiqué, l’Aube dorée écrit que « cette attaque contre deux jeunes était aveugle » et dénonce le fait que « le gouvernement a refusé d’octroyer une protection policière au parti malgré les menaces » pesant sur certains de ses membres. Et de préciser : « Ce crime est imputable au gouvernement antigrec de (Antonis) Samaras, qui a laissé des terroristes incontrôlables assassiner des jeunes gens de sang froid ».

Gageons que ces odieux assassinats aura bien moins de répercussions médiatiques en Europe que la mort d’une racaille grecque d’extrême-gauche il y a quelques semaines, décédée alors qu’elle attaquait des patriotes.

Nouvelle loi en Grèce : les opposants à l’UE risquent désormais deux ans de prison !

Depuis le jeudi 24 octobre, le Code pénal hellène a introduit l’article 458, qui est une mesure relative à la « violation du droit communautaire », dans lequel il est prévu un emprisonnement pouvant aller jusqu’à deux ans pour les citoyens qui agissent contre les structures européennes, mais aussi, pour ceux qui protestent ou expriment un désaccord comme l’opposition aux sanctions.
Deux ans de prison aussi pour ceux qui vont à l’encontre des gouvernements et des représentants de l’UE.

Vous l‘aurez compris, toute personne qui entrave la politique de l’UE risque la prison !

Après les 2 millions d’euros dépensés par le Parlement européen pour bloquer les blogs, sites web et autres affiches eurosceptiques, aujourd’hui, en Grèce, pour pouvoir s’exprimer librement, il faut ne pas avoir peur de passer derrière les barreaux.

Source

Mortel euro : l’Allemagne prête à replonger dans la crise

Un article de Laurent Camus :

« Contrairement à ce que les apparences pouvaient laisser penser, l’Allemagne n’est pas sortie de la crise de 2008, elle serait même en passe d’y retomber… et ce n’est pas le gouvernement de cohabitation, Chrétiens-démocrates et sociaux-démocrates, qui se met en place à Berlin sous le vocable de « grande coalition » qui changera profondément cette tendance. La crise de l’Euro est là et bien là et l’Eurozone est fort loin d’être sortie de l’auberge. Quant à l’affaire dite Léonarda – une agitation de plus dans le bocal médiatique – elle n’est là en effet que pour – à grands coups de cymbales – nous en faire oublier d’autres, d’une toute autre importance.

La Chronique Agora [17oct13] n’a pas manqué de nous rappeler opportunément que « la Zone euro est toujours malade. L’euro à Madrid, Athènes ou Rome n’étant déjà plus tout à fait celui de Berlin, Vienne ou Helsinki. Le système inter banques centrales de la Zone euro reste paralysé. L’Eurozone ne fonctionne plus correctement car les capitaux allemands ne sortent plus d’Allemagne pour aller [re]financer [directement] les déficits des pays du sud de la zone comme par le passé  ». En un mot les mécanismes mis en place par Bruxelles ne remplissent pas leurs promesses, ceci aboutissant à ce que les déséquilibres se renforcent en dépit ou en raison de l’interventionnisme de le Banque centrale européenne et de la pertinente complexité des dispositions mises en œuvre.
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L’ignoble jugement de la CEDH ou le deuxième crime de Katyn

Alors que chaque jour les Européens sont culpabilisés et rackettés au nom de l’imprescriptible Shoah, les familles de victimes de Katyn n’ont droit qu’à se taire et à oublier.

La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a débouté les descendants des victimes de ce massacre commis par l’Armée rouge – environ 22.000 officiers polonais avaient été exécutés -, en prétendant que les faits étaient… « trop anciens ». Dans son arrêt, la Cour prétend que les faits qui lui ont été soumis ne sont pas de sa compétence, alors qu’en première instance, la Russie avait été condamnée pour ces faits, ayant menti pendant 50 ans sur cette tuerie, ayant refusé d’enquêter puis ayant refusé d’informer les familles sur le sort de leurs parents.

Source via T. Joly

Appel à témoin pour l’identification d’une jeune Blanche enlevée par des Roms

Puisqu’on parle de Roms en ce moment, voici la très parlante photo qui vient d’être rendue publique et montre une fillette inconnue vraisemblablement enlevée, et le couple rom qui la gardait, en Grèce.

D’après rtl.be : « La justice grecque a inculpé lundi pour « enlèvement » les faux parents roms de la mystérieuse fillette découverte dans un campement dans le centre de la Grèce, et les a placés en détention provisoire, a indiqué l’avocat du couple dont les photos d’identité ont été rendues publiques ce lundi. La décision judiciaire a été prise à la suite du tollé provoqué par la découverte, lors d’un contrôle de police, de cette enfant blonde aux yeux verts. Elle vivait dans un campement près de Larissa avec le couple incriminé qui s’est avéré, après des examens ADN, n’avoir aucun lien de parenté avec elle. »

Moscou : des milliers d’émeutiers suite au meurtre d’un Russe par un immigré

Des milliers de personnes se sont livrées hier dimanche à des émeutes dans le sud de Moscou, en protestant contre le meurtre cette semaine d’un jeune Russe par un homme d’origine caucasienne ou asiatique.
Cet immigré a poignardé un jeune Russe de 25 ans, sous les yeux de sa fiancée, avant de s’enfuir (il n’a pas encore été retrouvé).

Les émeutiers, des jeunes pour la plupart parmi lesquels des nationalistes radicaux, ont enfoncé les portes du centre commercial Biriouza, dans le quartier de Biriouliovo (sud de la capitale), frappé des membres de la sécurité et brisé des vitres et devantures, avant de tenter d’incendier le bâtiment, selon la radio Echo de Moscou.

La foule a ensuite enfoncé les portes d’un entrepôt de légumes voisin où travaillent de nombreux immigrés que les habitants accusent d’être responsables du taux de criminalité très élevé dans ce secteur.

Cinq policiers ont été blessés au cours des affrontements avec les émeutiers et 380 personnes ont été interpellées, a indiqué un porte-parole de la police cité par l’agence Ria Novosti.
Dix autocars des forces spéciales de la police avaient été dépêchés sur les lieux, selon la radio Echo de Moscou.

« La Russie aux Russes », ont scandé les protestataires qui ont brulé et renversé quelques voitures.

La Russie occidentale est victime, avec Poutine, d’une immigration massive et fortement criminogène, principalement issue du Caucase et de l’Asie centrale.
Dans cette affaire, la comparaison de cette réaction russe avec ce qui se passe en France (au mieux une « marche blanche ») lorsqu’un Français est assassiné sauvagement et gratuitement par un immigré (voir des exemples ici), montre que le peuple russe est un peu plus vivant que le nôtre.

Iran : après avoir interdit à la France d’y vendre des voitures, les Etats-Unis réattaquent le marché !

hollandeC’est aussi énorme que pitoyable.

La France, réduite à l’état de larbin des Etats-Unis autant sous Hollande que sous Sarközy, a sacrifié une partie de son économie et de ses ouvriers sur consigne de Washington :

« Le président Obama a donné l’ordre de cesser l’activité en Iran, on n’a pas le choix », avait déclaré le 26 juillet, Carlos Tavares, directeur délégué de Renault, avec une certaine amertume. Faute de quoi, l’alliance Renault-Nissan aurait été interdite de vente sur le marché américain.

Auparavant, en 2012, c’est Peugeot qui avait fait les frais de la politique américaine et de la lâcheté française, avec des conséquences terribles : en quittant l’Iran, PSA avait du renoncer à son premier marché à l’international. Dans la foulée, Peugeot avait annoncé la suppression de 8 000 postes et la fermeture de l’usine d’Aulnay-sous-Bois…
« Pour le premier semestre 2012, on a constaté une baisse des ventes de 240 000 véhicules par rapport à 2011 », avait rapporté le délégué CGT d’Aulnay, avant d’ajouter que « ce chiffre comprenait les 200 000 véhicules que Peugeot aurait dû vendre en Iran. »

Et voilà qu’anticipant un dégel entre Washington et Téhéran, les entreprises américaines ont discrètement repris pied en Iran, vaste marché de 80 millions de consommateurs. «La plupart des secteurs de l’économie américaine, y compris des sociétés cotées au Nasdaq, ont envoyé ces derniers mois des émissaires en Iran», affirme un industriel français, familier de la République islamique, au Figaro.

La filière automobile iranienne est particulièrement courtisée par General Motors. Le géant américain est entré en contact avec Iran Khodro, qui travaillait jusqu’en 2012 avec Peugeot pour fabriquer des modèles 206 et 405 que le groupe français a cessé de livrer à l’Iran à cause des sanctions occidentales imposées à Téhéran… «Depuis au moins six mois que les émissaires de General Motors se rendent en Iran, ils n’en sont plus au simple repérage du marché», avertit l’industriel.

Avec un ton menaçant (décret Executive Order Act 13645 signé le 3 juin dernier par Barack Obama), les Etats-Unis ont « fait le ménage » sur le marché iranien, et maintenant prennent le relais.
Les gouvernements de trahison français ont obéi au doigt à l’oeil et ont même devancé les exigences américaines, quitte à sacrifier les ouvriers français et mettre à mal l’économie… Pour le résultat que l’on sait.

L’Ukraine céde 5% de ses terres à la Chine pour au moins 50 ans

« La Chine a fait l’acquisition de près de trois millions d’hectares de terres agricoles (culture et élevage) en Ukraine, soit un domaine cultivable aussi grand que la Belgique.

Les besoins alimentaires de la Chine semblent tels qu’elle n’a apparemment pas d’autres choix que de cultiver également en dehors de ses frontières. L’Ukraine prévoit à travers cet accord commercial, de céder à la future première puissance mondiale 5% de son territoire, 9% de ses terres arables, pour combler ses besoins gargantuesques.
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Répression contre les nationalistes en Grèce : ça continue !

Arrêté le week-end dernier avec 17 autres députés de son parti, le chef du parti nationaliste grec Aube dorée, Nikos Mihaloliakos, a été placé en détention provisoire mercredi soir.
Le Système l’accuse éhontément de « diriger une organisation criminelle » [sic].
Mercredi, quatre autres députés d’Aube dorée ont été inculpés du même chef d’accusation. Trois d’entre eux ont bénéficié d’une liberté conditionnelle tandis que le quatrième, Yannis Lagos, a été placé en détention provisoire. Le numéro deux du parti, Christos Pappas, doit comparaître à son tour ce jeudi devant le juge d’instruction.

Communiqué du Renouveau français à ce sujet, que nous relayons volontiers :

« Scandale et grave répression politique en Grèce

En Grèce, le Système mène actuellement une campagne d’intoxication médiatique et de répression policière et judiciaire contre le parti « Aube dorée », notamment en emprisonnant son président de façon totalement injustifiée.

De façon similaire à ce que l’on a connu en France avec les manipulations autour de « l’affaire Méric », la tyrannie en place en Grèce instrumentalise la mort d’un activiste d’extrême-gauche belliqueux, décédé en attaquant des Grecs patriotes.

Confirmé par de prometteurs sondages, l’essor du mouvement nationaliste – seul porteur des solutions aux graves problèmes que connaît le peuple grec -, effraie visiblement l’Oligarchie, qui craint un réveil populaire et le retour de « la Grèce aux Grecs ».

Le Renouveau français salue de nouveau le travail et les progrès de l’Aube dorée, dénonce fermement les scandaleuses manœuvres liberticides du gouvernement grec, et assure les dirigeants et les militants de la résistance nationale grecque de sa sympathie et de son soutien.

Il invite les patriotes français à faire part de leur indignation à l’ambassade grecque :
17 rue Auguste Vacquerie 75116 Paris
Téléphone : 01 47 23 72 28 Fax : 01 47 23 73 85
gremb.par@mfa.gr »

Syrie : la bannière islamiste remplace la croix sur l’église des Martyrs de Raqqa

Le 26 septembre, deux églises catholiques de Raqqa – parmi de nombreuses autres – ont été vandalisées et profanées par les musulmans de l’État islamique en Irak et au Levant (EIIL).
Sur le sommet de cette église catholique, ils ont détruit la croix pour y mettre leur drapeau :

Source : Observatoire de la christianophobie

Une Tunisienne partie pour le jihad sexuel en Syrie : 152 « époux » en un an

Dans son édition du vendredi 27 septembre 2013 l’hebdomadaire Al Mijhar est revenu sur le témoignage d’une jeune Tunisienne revenue de Syrie après un long voyage entre les bras des djihadistes de Jabhat Al Nosra…

« Vous irez au Paradis, ma sœur » est la promesse qu’on lui a faite avant de la convaincre de partir en Syrie pour le djihad. Elle a 21 ans. Voilée depuis l’âge de 17 ans. Elle suivait des cours d’Histoire à la Faculté de la Manouba avant d’abandonner ses études et de partir en Syrie en compagnie de son époux.

C’est en juin 2012 qu’elle a quitté le territoire tunisien pour la Turquie où elle a passé une semaine avant de se rendre en Syrie. Arrivée au Mont al-Arbaine, son époux lui imposa le port du niqab et lui expliqua ce que c’était le djihad al nikah (djihad sexuel).

Aussitôt divorcée, la jeune femme se « maria » avec l’un des leaders de Jabhat al Norsra, Abou Ayoub.
Duquel elle divorça pour se « marier » avec un autre djihadiste… Et puis un autre et encore un autre… Au total, elle eut 152 « époux ».

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Serbie : victoire des nationalistes contre la « Gay Pride »

La marche de promotion du vice contre-nature prévue hier samedi à Belgrade a été interdite pour la troisième année consécutive, le gouvernement serbe invoquant un « risque de trouble à l’ordre public » de crainte de manifestations nationalistes et chrétiennes.

De violentes émeutes avaient en effet suivi la dernière Gay Pride organisée dans la capitale serbe en 2010.

Cette année, le gouvernement serbe avait été soumis à des pressions diplomatiques pour qu’il autorise le défilé, alors que les négociations sur l’adhésion de la Serbie à l’Union européenne doivent s’ouvrir en janvier prochain…

Après une réunion de trois heures avec des responsables de la sécurité, le Premier ministre et ministre de l’Intérieur Ivica Dacic a finalement annoncé que la manifestation ne serait pas autorisée.
Il a invoqué « de graves menaces pour la sécurité publique » qui pourraient entraîner des incidents mortels. La police anti-émeute a été déployée dans le centre de Belgrade vendredi soir. Selon la presse serbe, plus de 6.000 policiers étaient mobilisés pour maintenir l’ordre alors que plusieurs manifestations anti-homosexuelles eurent lieu.

Bref, une méthode qui paie mieux que les ballons roses à la française !