Cédric, chef d’escadron de gendarmerie mobile en Guyane, fait un discours devant ses subordonnés et le sous-prefet en relatant son séjour ultramarin.
Dans doute un peu goguenard et peu soucieux de la religion de l’antiracisme, il ose une allégorie : « Quelle faune exceptionnelle que tous ces singes hurleurs lançant autant de jurons que de parpaings pour marquer leur territoire, ces petits caïmans trempant jour et nuit dans l’alcool et entourés de plantes euphorisantes, s’en prenant sans prévenir à des proies toujours crédules.
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Il n’aura pas fallu longtemps avant que le héros hivernal de la presse française, se fasse attraper la main dans le pot de confiture…