Contraception gratuite : le ministre de la santé en pointe dans la culture de mort

Alors que l’Assemblée nationale entame mardi après-midi l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2013, le ministre de la Santé, Marisol Touraine, annonce sa volonté de rendre la contraception gratuite : elle proposera donc un amendement pour rembourser la pilule à 100 %, pour les jeunes filles de 15 à 18 ans. Le ministre de la Santé est tout à fait dans son rôle, c’est évident. Elle assume en effet la délicate mission de prévenir la maladie. Et la grossesse, comme chacun sait, est l’une des maladies qui fait le plus de ravages dans le monde.

Non, sans rire Madame le Ministre, la relation sexuelle est donc un acte à ce point anodin selon vous ? N’est-il pas, pourtant, en même temps que le don total de soi-même, l’acte qui conditionne la transmission de la vie ? N’aurait-il pas fallu au contraire mettre l’accent sur l’éducation affective, sur la responsabilité, plutôt que de créer les conditions d’une banalisation qui déresponsabilise ?

Mais j’oubliais, leur corps leur appartient. Suis-je bête. Le corps, ce n’est donc pas ce que nous sommes, c’est désormais ce que nous possédons : l’individu a été séparé de son corps et en a été rendu propriétaire. Mai 68 a fait ainsi rentrer le corps dans le domaine marchand : il est devenu une propriété privée, un objet de jouissance. Le domaine de l’avoir s’est en effet substitué au domaine de l’être. Hé bien Madame le ministre, nous avons la prétention de nous rattacher à une autre vision de l’homme à laquelle, nous semble-t-il, est suspendue sa dignité. Et nous ne nous tairons pas.

Jean de Rouen

Les manuels scolaires, bientôt vecteurs de l’idéologie homosexualiste

Le ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, a accordé un entretien au magazine « Têtu », dans lequel elle annonce vouloir « passer en revue » les manuels scolaires à propos de l’homosexualité. Dans la revue gay, le ministre  déplore qu’ « aujourd’hui, ces manuels s’obstinent à passer sous silence l’orientation LGBT (lesbienne, gay, bi et trans) de certains personnages historiques ou auteurs, même quand elle explique une grande partie de leur oeuvre comme Rimbaud« .

L’homosexualité de Rimbaud n’est pourtant pas inconnue du grand public. Mais faut-il pour autant associer systématiquement les personnages historiques à ce qui, de leur vivant, s’est passé en dessous de leur ceinture, à ce qui relève davantage de leur vie intime que de leur vie publique ? Faut-il souligner par exemple l’hétérosexualité de la plupart de ces personnages ? Mais à quelle fin ? Absurde.

« Comment les « hétéros » ont livré le mariage aux « homos » »

En exclusivité pour Contre-info, une intéressante tribune de Christine DOL. Matière à réflexion.

« Comment les « hétéros » ont livré le mariage aux « homos »

Les homosexuels ont voulu le droit de crier haut et fort leur différence. Leurs « strip-teases » sur des chars dans la rue ont été acceptés et applaudis. Puis le PACS, fait sur mesure pour les contenter, reconnaît officiellement leurs « unions » et leur « amour »… Au nom du droit à la différence, ils ont réclamé moult changements culturels et sociaux. Et au nom de l’égalité, ils réclament de pouvoir se marier et d’avoir des enfants comme « tout le monde ».

Le mariage?
Ringard, traditionnel, cucul, catho coincé, prison hypocrite, convention, tue-l’amour, atteinte à la liberté sexuelle, routine, maison de banlieue, marmaille etc. Cela ne correspond pas vraiment à l’appétit de liberté, de création, de vie urbaine nocturne, de développement artistique, d’ouverture d’esprit et de mœurs que prônent pourtant les adeptes de l’homosexualité.

Pourquoi ne se contentent-ils pas du PACS, ou ne souhaitent-ils pas le modifier encore?

Parce qu’il semble bien que ce qui meut réellement ce désir de « mariage » n’est pas le bonheur recherché par tout à chacun, mais la jalousie, l’envie.
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L’homosexualité est-elle devenue une réalité sacrée dans notre République ?

Ci-dessous la réaction d’un lecteur de Contre-info suite aux propos de l’éditorialiste d’un grand quotidien régional.

« L’homosexualité est-elle devenue une réalité sacrée dans notre République ?
On peut se poser la question, quand on lit sous la plume de l’éditorialiste d’un grand quotidien régional (
La Voix du Nord), au sujet du projet de « mariage homosexuel » (= « cercle carré ») :

« Les opinions pour ou contre sont légitimes, une seule position est inacceptable, c’est la réfutation morale de l’homosexualité. Que ce soit au nom de la religion, de la norme sociale ou de la perpétuation de l’espèce, rien ne peut condamner moralement une préférence sexuelle exercée entre adultes consentants. » (source)
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Transsexuel, marié, trois enfants…

La cour d’appel de Rennes l’ a autorisé. Wilfrid pourra devenir officiellement Chloé, tout en restant marié et parent de trois enfants de 8, 12 et 15 ans… Wilfrid/Chloé veut en effet faire évoluer la loi, plutôt que de divorcer comme il aurait sans doute été convenu : la loi, en effet, n’autorise pas encore le « mariage » homosexuel.
Faire évoluer la loi ? Oui, mais dans quel sens ?
Doit-on légaliser toutes les situations de fait, pour être « de son temps » ?
A cette école, étant tributaires des faits, il faudra donc finir par reconnaître la polygamie et tant d’autres « réalités » présentes sur le sol français… Et si l’on faisait, pour une fois, appel au sens commun ? Plutôt que de jouer aux apprentis sorciers. C’était l’histoire d’un homme qui voulait se faire Dieu… A lire ici.

Les maires face au « mariage » gay : quelle objection de conscience ?

Ce matin sur Europe 1, Laurent Guimier revenait sur l’opposition de certains maires de France au « mariage » homosexuel, et leur refus de le célébrer en mairie si la loi devait passer. Le recours à l’objection de conscience est-il possible pour justifier un tel refus ? Voilà la question sur laquelle se penche le journaliste. Et il semblerait que cette éventualité soit juridiquement possible, pourvu qu’une clause soit introduite dans la loi, laquelle permettrait au maire de déléguer à son adjoint, ou à un conseiller municipal, le « mariage » de deux personnes du même sexe, ou encore de délocaliser le « mariage » dans une autre mairie. Ce sera ainsi le prochain combat que mèneront ces maires, si la loi doit passer, désormais juridiquement armés pour se soustraire à de telles mascarades.

A la vérité, l’objection de conscience n’a pas à prendre racine dans la loi puisque, par définition, elle suggère un autre droit, supérieur à la loi civile, et au nom duquel elle s’oppose à la loi civile. C’est Antigone qui invoque face à Créon ces  «lois non écrites qui ne sont ni pour hier ni pour demain, mais de tous les temps». Si en revanche l’on n’admet pas de loi morale qui transcende la volonté humaine, et qui s’appuie sur un ordre métaphysique dont l’homme n’est pas l’auteur mais dont il est tributaire, il n’est plus possible alors de distinguer ce qui est légal de ce qui est légitime. Cette distinction est suspendue en effet à la reconnaissance d’un droit naturel, antérieur à la loi, et à l’aune duquel il est possible de juger la loi des hommes. Evidemment, depuis que la loi est devenue «l’expression de la volonté générale», qu’elle est donc exclusivement déterminée par la volonté humaine, il est plus difficile de la remettre en cause…

Jean de Rouen

Revendications « gay » : entre sondages et référendum…

Selon un sondage Ifop pour le Figaro, les français reste opposés à l’adoption par les couples de même sexe, à une courte majorité de 52%. A souligner qu’en 2011, les français y étaient pourtant favorables à 58%… En revanche, le sondage indique qu’ils sont aujourd’hui 61% à être favorables au « mariage » homosexuel, contre 65% en août dernier.

Yvan Rioufol, s’en prenant au projet socialiste de législation du « mariage pour tous », réclame un référendum sur le sujet. Evidemment, cette option pourrait endiguer une législation qui apparaît inéluctable si elle est laissée entre les mains des parlementaires, majoritaires à gauche. Il reste néanmoins qu’en suggérant de laisser l’issue du débat entre les mains du suffrage, le journaliste s’expose, si les français ratifient le projet -et les sondages indiquent qu’ ils y sont majoritairement favorables-, à devoir s’incliner définitivement devant la volonté du peuple, sans recours possible. Or, ce n’est pas l’addition arithmétique des suffrages qui détermine le bien ou le mal. Ou bien il faut s’interdire d’avoir un avis définitif avant de connaître le choix du plus grand nombre…

Quand Estrosi feint de s’opposer au « mariage » gay…

Christian Estrosi s’exprimait aujourd’hui, au micro de RTL, sur le sujet du « mariage » homosexuel. S’il a déclaré ne pas être « favorable » à l’ouverture du mariage aux couples homosexuels, le maire UMP de Nice a néanmoins estimé que, si la loi était votée, il fallait « la respecter« , soulignant qu’il serait « respectueux des lois de la République » et qu’il ne s’opposerait donc pas à la célébration d’un mariage homosexuel s’il devenait légal. Christian Estrosi refuse en effet de passer pour « rétrograde sur le fond sur ce sujet« , alors même qu’il « célèbre devant Marianne les pacs signés devant les tribunaux de grande instance ».

En adoptant un discours aussi convenu, l’ancien ministre feint d’ignorer les enjeux sous-jacents à la polémique suscitée par ces maires qui refuseront de célébrer demain le « mariage » homosexuel. Car ce qui en jeu, ici, c’est évidemment le maintien de la distinction entre le légal et le légitime.
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Le lycée Saint Stanislas de Nantes et la Gay Pride

Le lycée Saint Stanislas de Nantes avait déjà fait parlé de lui en septembre dernier, lorsqu’un professeur avait « changé de sexe », suscitant la réaction de la section nantaise du Renouveau français. Voici désormais la lecture que cet établissement « catholique » propose en accès libre pour les plus jeunes. Un élève de ce lycée nous envoit en effet une photo (ci-dessous) prise d’une page du magazine Citoyen Junior, « revue juridique pour enfant », disponible au CDI de Saint Stanislas.

Après la défense du transexualisme et de la Gay Pride, les parents qui scolarisent leurs enfants dans ce lycée sont en droit de s’interroger sur que leur réserve demain l’Enseignement « Catholique » de Nantes…

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Décadence : un « congé de parentalité » octroyé à une lesbienne

Les socialistes ont hâte d’en finir avec la civilisation et de fabriquer des générations d’enfants déboussolés et mal dans leur peau.

C’est ainsi que « Le Conseil général de Seine-et-Marne vient d’accorder à l’une de ses salariées, dont la compagne doit accoucher dans un mois, un congé de parentalité. » C’est une première dans l’administration.

« Cette salariée a sollicité un congé que l’on appelle traditionnellement « de paternité », raconte Vincent Eblé, président PS du Conseil général. Il est vrai que je me suis interrogé, mais j’ai rapidement dit «oui»: ce que l’on accorde naturellement à un homme, il me semblait raisonnable de l’accorder à une conjointe! À partir du moment où la légalisation du mariage entre deux personnes du même sexe est tranchée -et pour moi elle l’est- il me semble normal de traiter tous les couples de la même façon ».

On aimerait connaître la définition du mariage de ce monsieur…

Source et détails

François Lebel (UMP), à propos du « mariage » gay : « Comment s’opposer demain à la polygamie en France ? »

François Lebel, maire UMP du 8ème arrondissement de Paris, s’oppose fermement au projet de législation du « mariage » homosexuel. Dans une tribune, déclarant qu’il ne procèdera « personnellement à aucun mariage de cette nature« , il exprime ses craintes à propos « des pires dérives » polygame, pédophile et incestueuse, auxquelles la société sera désormais exposée « si le tabou immémorial du mariage hétérosexuel vient à sauter« .

Paroles fermes, à rebours de l’idéologie destructrice des valeurs et des structures traditionnelles, laquelle domine aujourd’hui l’opinion et les médias, elles valent déjà à son auteur les invectives éculées d’une certaine presse bien pensante : « Un élu UMP dérape sur le mariage homosexuel » titre ainsi Libération. Oui, mais pour constater un dérapage, il faut d’abord admettre l’existence d’un sentier balisé, duquel on se détournerait en dérapant.
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Incroyable : deux lesbiennes veulent déchoir un père de ses droits

Lu sur Atlantico via LSB :

« Le 3 octobre, la Cour européenne des Droits de l’homme va entendre une affaire mettant en cause l’impossibilité pour une femme d’adopter le fils de sa compagne en raison du refus du père de l’enfant (affaire X  et autres c. Autriche). Ce refus faisant obstacle à l’adoption par la compagne de la mère, les deux femmes ont demandé à la justice de déchoir le père de ses droits parentaux et d’autoriser l’adoption de telle sorte que la femme adoptante se substitue au père de l’enfant. Il faut savoir que si l’enfant devait être adopté, le père perdrait tout contact avec son fils, il n’aurait plus le droit de le voir.

Cette affaire est portée par le lobby international LGBT. L’avocat des requérants est le directeur européen de l’International Lesbian, Gay, Bisexual, Transgender & Intersex Law Association (ILGLaw) et conseiller juridique d’ILGA-Europe. Il est également membre d’ECSOL, un réseau européen de juristes militants LGBT dont fait partie la bien-connue Me Mecary. Ces organisations interviennent en outre dans la procédure.

En demandant à la justice d’évincer le père pour prendre sa place, vous rendez-vous seulement compte de l’absurdité de votre demande dans l’affaire que vous avez eu l’audace (l’inconscience ?) de présenter devant la Cour européenne des Droits de l’homme après avoir été déboutées par la justice de votre pays ? […]

Les mots « Père » et « Mère » remplacés par « Parents » sur les documents officiels

Les lois contre nature se succèdent et se ressemblent. L’objectif est toujours le même : effacer du cerveau des Français le bon sens et le respect de l’ordre naturel. C’est ainsi qu’en prévision de la parodie de « mariage » et de l’adoption par les invertis « les mots «mère» et «père» vont bientôt être remplacés par le mot « parents » dans les documents officiels, tandis que pour les personnes mariées, on ne parlera plus du « mari » et de la « femme », mais des « époux ». La mesure fait partie d’un avant-projet de loi sur le mariage du gouvernement du président François Hollande pour légaliser le mariage homosexuel. » Source : l’Express et le Telegraph

Sexualisation des fillettes : un concours de « miss » ouvert pour les 6-13 ans

Comme la démontré l’article d’Alice Lespinet, la société moderne fait des petites filles des objets sexuels au même titre que les femmes (merci les féministes). Le vice est poussé à son comble avec un concours de « Miss » pour filles de 6 à 13 ans… « Le Comité « Graines de Miss », qui a organisé depuis un an et demi une dizaine des concours à travers la France, a tenu ce dimanche 23 septembre son élection régionale en Aquitaine, avec 23 filles âgées de 6 à 13 ans dans un cabaret privé. » Heureusement que ça provoque encore quelques réactions : voir ici. Ci-dessous la vidéo d’une « élection » :