C’est ce qu’elle explique dans la vidéo ci-dessous. « Le Printemps français sera poursuivi, je vous le dis solennellement aujourd’hui ! Poursuivi pour vol d’affiches, pour agression effectivement ! Vol de nos affiches, vol de notre logo, vol de notre slogan « On lâche rien », qui était aussi à M. Mélenchon… », explique-t-elle.
Ou comment étaler publiquement des divisions internes, pour le plus grand bonheur de nos adversaires ! Le but inavoué, mais perceptible derrière ses propos, est de donner des gages de bonne volonté au système. Car elle ne cesse, dans cette interview de Jean-Jacques Bourdin, de nous expliquer que sa manif a toujours été faite avec le concert de nombreux homosexuels, dont on sait d’ailleurs qu’elle voulait les mettre à l’honneur, voire les faire défiler sur un char. Mais qu’a-t-elle donc à vouloir se faire pardonner pour ainsi les mettre en avant ?
Car en enfermant ainsi les individus dans leur orientation sexuelle, en les désignant par leur orientation sexuelle, elle catégorise la population et fait ainsi le jeu de ceux qui sont déjà passés à l’étape suivante : c’est-à-dire, après la reconnaissance des catégories, la satisfaction des intérêts catégoriels ! Là où nous voyons communément des hommes et des femmes, Barjot voit des homos et des hétéros…et ne comprend pas qu’elle se situe ainsi sur le terrain de nos adversaires qui nient l’objectivité de la nature sexuée pour lui préférer la subjectivité du désir sexuel.
Qui veut vendre une colonne vertébrale doctrinale à Barjot, avant qu’elle ne nous fasse perdre toute crédibilité ?
Le président du Sidaction, Pierre Bergé, fait encore parler de lui. Afin de lutter plus efficacement contre la propagation du sida, il vient de
Dans un excès de franchise sur les ondes de RTL, Jean-Pierre Raffarin avoue que les hommes politiques doivent impérativement promettre quelques arrangements aux « acteurs » qui financent leur campagne. Extrait : « Au fond, dans le passé, l’élection présidentielle dépendait d’un seul facteur : l’avis des électeurs. Maintenant, l’élection présidentielle dépend de deux facteurs : l’avis des électeurs, mais aussi l’avis des prêteurs. Nous sommes endettés comme tous les pays endettés. Pour que notre pays marche, il faut que certains lui prêtent de l’argent. Ce “certains”, ce sont des fonds de pension, ce sont des retraités, ce sont des acteurs mondiaux, ce sont surtout des acteurs hors de France. Ces acteurs-là, ils ont leur avis sur l’économie française. »